Monologue Laurent Gaudé

Accablé sous le poids de la haine de Bérénice, Antiochus n’attend plus pour partir que la tombée de la nuit et la confirmation que la reine n’a pas, par désespoir, cherché à attenter à ses jours (III, 4). Acte IV. Au début de l’acte IV un bref monologue de Bérénice nous révèle son profond et douloureux désarroi : Phénice ne revient pas assez vite lui annoncer que Titus accepte de la rencontrer (IV, 1). Au retour de Phénice, elle refuse de se laisser apprêter par elle, l’image visible de son désespoir

Jean-François Samlong (série collège, avr. 2008)¾½ Sujet 11 • Texte d’Émile Zola (série collège, juin 2008) . . . . . . ¾¾ Sujet 12 • Texte de François Librini (séries tech. et prof., juin 2008)¾¿ Le discours descriptif 244 Sujet 13 • Texte de Laurent Gaudé (série collège, sept. 2007) . . . ¾ Sujet 14 • Texte d’Henri Troyat (série collège, juin 2008) . . . . . ¾ ¿ La poésie Sujet 15 • Texte de Charles Ferdinand Ramuz (série tech., sept. 2006) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sujet

dimanche de fiançailles, Denoël, 1991. – Joseph Kessel, L’Armée des ombres, Pocket jeunesse, 2010. – Laurent Mauvignier, Des hommes, Les éditions de Minuit, 2009. – Ahmadou Kourouma, Allah n’est pas obligé, Seuil « Points », 2000. – Andrée Chédid, Le Message, Flammarion, « J’ai lu », 2002. Ouvrages complémentaires – Marc Dugain, La Chambre des officiers, Pocket, 2010, J.-C. Lattès. – Laurent Gaudé, Cris, Actes Sud, « Babel », 2001. – Ernest Hemingway, Pour qui sonne le glas, trad. de D. Van Moppès

plaisir d’entendre le cry ! Autour de vous, la foule bigarrée et rigolarde des ouvriers, des bourgeois, des paysans, des étudiants, des nobles même ! Le cry, c’est la première pièce, elle fait environ cent vers. C’est le hors-d’oeuvre. Souvent un monologue. Mais qui sont-ils, ces joyeux acteurs qui s’en donnent à coeur joie ? C’est une confrérie, peut-être les Cornards de Rouen ou bien les Clercs de la Basoche de Paris, ou leur sous-section : les Enfants sans souci, ou bien encore les Sots. Par ici

plaisir d’entendre le cry ! Autour de vous, la foule bigarrée et rigolarde des ouvriers, des bourgeois, des paysans, des étudiants, des nobles même ! Le cry, c’est la première pièce, elle fait environ cent vers. C’est le hors-d’œuvre. Souvent un monologue. Mais qui sont-ils, ces joyeux acteurs qui s’en donnent à cœur joie ? C’est une confrérie, peut-être les Cornards de Rouen ou bien les Clercs de la Basoche de Paris, ou leur sous-section : les Enfants sans souci, ou bien encore les Sots. Par ici

survient avec Gronte et ses valets. Matamore senfuit, Clindor touche Adraste mais doit cder (sc.11). nouveau, il ne reste que Pridamant et Alcandre sur scne. Le pre croit son fils mort mais Alcandre le rassure (sc.12). ACTE IV Lacte IV souvre sur le monologue tragique dIsabelle Adraste est mort, Clindor est bless et il est condamn mort. Isabelle jure de ne pas lui survivre (sc.1). Elle est rejointe par Lyse qui aprs stre moque delle finit par la rassurer Isabelle et Clindor pourront senfuir le soir mme