Monoparentalité

fléau juridique, social et économique. Il touche aujourd’hui une famille sur trois en France (et une sur deux à Paris). Le divorce est à l’origine d’un nouveau mode de vie et crée la famille monoparentale. L’augmentation de la monoparentalité va de pair avec une précarisation accrue de beaucoup de femmes élevant seules leurs enfants (dans 80 pour 100 des cas, c’est la femme qui obtient la garde des enfants à majorité). Pour elles, occuper la position de "chef de famille " est d'autant

la même manière que nos parcours professionnels et sentimentaux peuvent être multiples au cours de notre existence, les rôles parentaux apparaissent dès lors comme une réponse à cette multiplicité, et à l’auteure d’en donner des exemples : « monoparentalité, bi ou coparentalité, homoparentalité. (…) Ainsi au-delà de la différenciation biologique entre le masculin et le féminin, il pourrait y avoir une pluralité d’identités sociales sexuées ». La réponse ne serait donc pas aussi binaire mais bien

reste identique et la famille « idéale » est toujours constitué d'un couple marié et des ses enfants. Le mariage garde une place importante (mais plus symbolique) dans la construction familial, et cela même si le PACS a été créé. De même, la monoparentalité ne serait pas un phénomène de société. Les parents isolés qui étaient des veufs hier, sont majoritairement des divorcés aujourd'hui. La solidarité familiale, et le lien social que crée la famille serait toujours aussi important, et il n'y aurait

Le nbre moy de personne par ménage baisse La taille des ménages baisse car : * augmentation du nombre ménages de personne agées, * désafffectation pour la vie en couple, * vie en solitaire ++ * monoparentalité++ 3 L’ emploi public Les administrations publiques emploient + de 5 millions de personnes soit 18 % de la pop active en 2003 selon l’ observatoire de l’ emploi public. 4 Le phénomène associatif Grnade vitalité en terme d’ activité

vulnérable au Canada et aux États-Unis ...d’Osofsky et coll. (1988) avec des mères adolescentes, la relation de l’intervenant avec ... [ Premières lignes ] [ Ajouter au panier ]   Déviance et Société 2001/2 (Vol. 25)   Laurent Mucchielli   Monoparentalité, divorce et délinquance juvénile : une liaison empiriquement contestable [ Résumé ][ Version HTML ][ Version PDF ]   Devenir 2008/3 (Vol. 20)   Henri Chabrol et al.   Prévention et traitement de la dépression du post-partum [ Résumé ] [ Ajouter

familiale » de 1999, neuf familles monoparentales sur dix le sont parce que les parents vivent séparément. Parfois, les parents n’ont même jamais vécu ensemble : 15 % des familles monoparentales se sont formées ainsi. En opposition à la monoparentalité la famille recomposée représente 710 000 familles en France selon l'INSEE en 2008. Elles comprennent un parent, les enfants d'une précédente union et un nouveau conjoint. Nous pouvons identifier deux catégories: la première, caractérise le modèle

entreprises et les syndicats imposent des mesures de sécurité au travail en plus d’instaurer de nouvelles formations professionnelles continues et de nouveaux standards de compétivité. Les valeurs sociales ont aussi beaucoup évolué et le phénomène de monoparentalité, de plus en plus courant, et de la participation plus active des femmes sur le marché du travail force les employeurs à trouver des ententes de conciliation travail-famille. Un autre facteur à considérer est celui de l’éthique de travail. On fait

commises plus généralement par les jeunes dans l'espace de la ville ont plusieurs causes croisées qui deviennent souvent leur conséquence dans une série de cercles vicieux engendrant une paupérisation -Une situation familiale critique telle que la monoparentalité. Cette dernière autoriserait le relâchement du contrôle parental sur les jeunes, -L'échec scolaire, qui peut lui-même découler de la crise familiale. Ainsi, aujourd'hui, la violence telle qu'elle surgit dans les établissements scolaires trahirait

salaires horaires, des faibles durées du travail et des emplois instables sont les trois facteurs qui ont contribué à l’apparition puis à la persistance de la pauvreté laborieuse. Les facteurs démographiques et sociologiques et en particulier la monoparentalité s’ajoutent à tous ces facteurs. Les personnes en emploi qui ont un bas salaire et des conditions de travail précaires ont d’autant plus de risque de vivre sous le seuil de pauvreté qu’elles sont célibataires car elles ne peuvent pas compter

traduire cette fragilisation, notamment pour les enfants (question 3). La famille ainsi malmenée peut connaître des difficultés à jouer son rôle socialisateur car les normes et les valeurs collectives sont intériorisées avec moins de force. La monoparentalité peut renforcer ce phénomène et entraîner une déviance accrue de l'individu. La restructuration de sa personnalité s'opère alors à partir d'idéaux ou de règles qui peuvent s'inscrire en marge de la norme que propose la société. Quand cette rupture