Monoparentalité

sont désormais parcellisés, et se déclinent selon une multiplicité de temps : enfance, adolescence, puis à l’âge adulte, des périodes de vie en solitaire, d’autres en couple… Les rôles parentaux pourraient répondre à une pareille multiplicité : monoparentalité, homoparentalité Que l’on fasse partie d’une famille traditionnelle, monoparentale, homoparentale ou recomposé, on a tous besoin d’une famille qui nous aiment, qui sait nous écouter, et nous éduquer. Aujourd’hui, il est légal d’avoir des enfants

l'homogamie est encore la règle – implicite – d'or. Au sein même du mariage, les hommes et les femmes sont inégaux car ils n'en perçoivent pas les mêmes conséquences et intérêts. La famille qui peut prendre la forme du mariage ou encore de la monoparentalité connait en son sein, ses propres inégalités. Néanmoins, les inégalités les plus visibles sont celles qui s'expriment à travers les classes dans lesquels les familles s'inscrivent. A la problématique de la reproduction sociale s'oppose la question

qui deviennent souvent leur conséquence dans une série de cercles vicieux engendrant l'apparition de violences urbaines, et une paupérisation ( Appauvrissement d'une population, d'une classe sociale ) : Situation familiale critique telle que la monoparentalité, échec scolaire qui peut lui-même découler de la crise familiale, le chômage qui se nourrit de l'échec scolaire, le développement en conséquence d'une économie parallèle comprenant le trafic de drogues et le commerce de divers matériels volés

Le mode éducatif parentale a une influence directe sur la trajectoire délinquante des mineurs. La famille demeure la base sociale à partir de laquelle l’enfant se lance dans sa carrière scolaire et sociale. Ainsi les mutations de la famille (monoparentalité, divorce, évolution de la fonction paternelle, etc.) favorisent le développement des comportements déviants chez les jeunes. * Libéralités ou avarice des parents pour l’argent de poche. * Alcoolisme, drogue. Les jeunes deviennent

Françoise Dolto et son équipe, mais peuvent aussi fonctionner selon un mode de fonctionnement issu de la réflexion de l’équipe qui l’a mis en place. Soit au sein de groupes de parents -d’enfants ou d’adolescents- (en situation de divorce, de monoparentalité (père ou mère), adoptifs, d’enfants en échec scolaire,…) spécifiques et réunissant des adultes concernés par la problématique de l’éducation pour partager avec d’autres adultes, sous la conduite d’un professionnel, leurs expériences, leurs doutes

sociabilité (de voisinage, scolaire, amical). Les mères désirent parfois «préserver» leurs enfants des changements autres que ceux liés au divorce et maintenir les relations d’amitié, d’entraide, plus particulièrement lors de la phase de monoparentalité. Les femmes interrogées ont ainsi parfois insisté sur les difficultés associées à leur situation de «mère seule», souvent surmontées grâce à leurs réseaux amical et familial. Pourcentage d’enquêtés restés dans le logement suite à une rupture

une évolution de la société vers une inégalité profonde entre ménages biactifs et ménages sans actifs, ou en activité partielle. Il y a de plus en plus de couples où un seul conjoint travaille à temps partiel. Par ailleurs, les situations de monoparentalité, le plus souvent féminines, sont aussi un acteur important de précarisation. Les difficultés concernent aussi les jeunes générations qui entrent dans une « société d’incertitude » (Robert Castel, La montée des incertitudes, Paris, Seuil, 2009)

leur logement, insalubrité, décohabitation, promiscuité, première installation, amélioration de l’habitation… Les difficultés d’ordre éducatifs sont également présent sur le territoire, elles sont principalement liées à : des situations de monoparentalité, non reconnaissance de la place du père au seins de la famille, manque de cohésion dans la fonction parentale, conflits inter générations, problématiques interculturelles, augmentation des conduites additives ( alcool, zamal..) … Les demandes

conciliation travail-vie personnelle. Contexte démographique  On assiste inévitablement au vieillissement de population, à un faible taux de natalité et à l’apparition de la génération sandwich. Contexte social  Il y a une augmentation de la monoparentalité, une diversification des familles, des familles où les deux parents sont sur le marché du travail, mais aussi des chocs de valeurs entre les jeunes et les aînés, les hommes et les femmes ainsi qu’entre les populations locales et les nouveaux arrivants

vivre ensemble et même d’avoir des enfants hors mariage. Le taux de rupture conjugale est élevé, et celle-ci survient de plus en plus tôt dans la vie des enfants. Les structures familiales et les parcours conjugaux sont diversifiés. La monoparentalité constitue de moins en moins une condition permanente. Différents modèles de familles recomposées coexistent ainsi qu’une variété de modes de garde de l’enfant. Des phénomènes sont en émergence, entre autres celui des couples dont les partenaires