Monoparentalité

développement du temps partiel, la raréfaction des appartenances de métier et des sentiments corporatistes, les nouveaux modes de management affaibliraient le travail dans sa fonction intégratrice.  Sur le plan de la famille, la banalisation de la monoparentalité, l’augmentation du célibat, la mobilité résidentielle, le desserrement des relations intrafamiliales, ne permettraient plus à la famille de jouer le rôle qu’elle a tenu durant des décennies.   Sur le plan sociétal, de plus en plus de personnes

effets de la crise économique et ne peut pas les atténuer. • La monoparentalité Les familles monoparentales représentent aujourd’hui près de 20% du total des ménages avec enfants en France. Il s'agit d'une famille constituée d'une mère ou d'un père sans conjoint, vivant avec un ou plusieurs enfants. Le concept apparaît dans les années 1970 comme catégorie des politiques familiales et sociales. La monoparentalité peut être choisie ou subie mais la plupart du temps elle est consécutive

USA proviennent des minorités ethniques, cela a pour conséquence que ces minorités ethniques vont devenir majoritaires aux USA d’ici 40 ans. Et la majorité de ces naissances proviennent de femmes hispaniques. Par rapport aux divorces et à la monoparentalité, seuls 68% des enfants américains vivent avec leurs deux parents mariés en 2008, ce qui est le taux le plus bas au monde. Il y a 24% des enfants qui vivent dans une famille monoparentale, et le plus souvent avec la mère seule, c'est-à-dire que

le mariage). * La dénatalité * Des rôles qui changent : la recherche de symétrie dans les rôles familiaux. Et aujourd’hui… des familles reconstituer, monoparentale, homoparentale. Nouveaux modèles familiaux (4 modèles) 1. La monoparentalité : départ d’un parent toujours vivant qui ne subvient pas au besoin de sa famille. Deux types : soit matricentrique (mère-enfant), soit patricentrique (père-enfant). En 2006, 28% était monoparentale, dont 21,7% était matricentique et 6% patricentrique

scolaire et qui abandonnent l'école sont souvent issus de milieux plutôt pauvres, la raison étant que ceux ayant des difficultés scolaires n'ont tout simplement pas les moyens de s'offrir de l'aide supplémentaire, une autre raison peut être la monoparentalité, du fait que le parent est seul il n'a pas la possibilité de suivre son enfant sur le plan scolaire surtout si le ménage est composé de plusieurs enfants. Il y a aussi l'intérêt que le jeune porte pour son école ou son option dont il n'a pas toujours

elles représentaient 3% des ménages, auj elle représente 9% des ménages. La monoparentalité s’est banalisée, d’autant plus qu’elle a cessé d’être stigmatisée. o Les causes de la monoparentalité ont-elles aussi évoluées. Il y a 50 ans, la cause majoritaire de la monoparentalité, c’était le veuvage (+50%), ensuite la séparation des parents, le divorce (15%), le célibat (8%). Auj, la prin cause de la monoparentalité est le divorce qui entraine la moitié de ces situations. Au même niv, pr environ

aujourd'hui (2005) cela ne représente que 10%. L'entrée en mono-parentalité tend a allé de pair avec une paupérisation de ces familles, c'est-à-dire en difficulté économique. Elles sont plus touchées par le chômage. Du point de vue social, la monoparentalité est plus fréquente dans les milieux populaires, les groupes sociaux les moins touchés sont le groupe des travailleurs indépendants (agriculteurs...) • Il y a une stigmatisation des familles mono-parentale : elle s'observe quand on parle

voit une ↑. Raisons de la baisse : insécurité matérielle, difficile articulation entre vie professionnelle et privée, femmes de + en + au travail. Modèle biactif = norme → recul de l’âge du mariage et du 1er enfant. Taille des ménages ↓. ↑ Monoparentalité. Europe divisée en 2 : le nord, avec des mesures d’aide aux femmes, a plus diminué la chute du TF que le sud qui n’a rien fait. Depuis les années 90, ré↑ (grâce aux familles recomposées). Augmentation de l’espérance de vie : Ne cesse d’↑

lequel les conjoints sont de même appartenance sociale). Donc les cadres ont moins de difficulté que les ouvriers car ils sont mieux protégé par le chômage. L'homogamie contribue à une polarisation des inégalités. De plus le développement de la monoparentalité accentue les inégalités car il entraine la pauvreté. De plus en plus de personnes sont aujourd'hui vulnérables économiquement et socialement. On constate que la frontière entre classe moyenne et défavorisés est de plus en plus facilement traversable

caisses d’allocations familiales de recouvrer les pensions impayées. Cette logique d’un Etat-Providence, garant des équilibres familiaux, substitut économique du conjoint défaillant, s’appliquant à diminuer le risque de pauvreté associé à la monoparentalité, est le produit de l’histoire familiale française. Dans d’autres pays, Etats-Unis, Canada, Royaume-Uni, le démantèlement de l’Etat-Providence s’accompagne d’une diminution drastique des transferts sociaux et d’une plus forte exposition des familles