Monopole de la violence

la scène internationale, caractérisée par l'anarchie. Aucune autorité des États possédant le monopole de la violence légitime 3.Objectif primaire de l'État = intérêt national + sécurité 4.Le système international influencent les dirigeants politiques I)Une politique de puissance centrée sur l'État A)L'État de nature omniprésent Les scènes internationales sont marqués par l'État de nature – violence expression normale – société anarchique et conflictuelle – État dépositaire exclusif du recours

véritable régime totalitaire tel qu’il sera défini plus tard, n’est établi. Mussolini qui s’est emparé du pouvoir à l’occasion de la marche sur Rome en 1922, n’obtient le monopole du pouvoir qu’en 1926 avec les lois fascistissimes. En 1922, Staline devient secrétaire général du PCUS, mais il n’entame sa marche vers le monopole du pouvoir à la suite de la mort de Lénine en 1924. En 1933, Hitler s’empare du pouvoir à la suite d’élections législatives en Allemagne dans un contexte de dépression économique

continuation de la politique – La guerre est un phénomène socialisé – « Paix impossible » / « Guerre improbable ». . Guerres civiles et dissémination de la violence à l’âge de la société mondiale : découplage entre les conflits et la scène internationale – Autonomisation des acteurs locaux par rapport aux acteurs étatiques – Recours aux violences armées à des fins politiques et privées – La plupart des conflits existaient déjà pendant la GF – Les guerres civiles représentent aujourd’hui la quasi-totalité

importants de vendeurs et d'acheteurs sur un marché on distingue plusieurs structures de marchés dont la concurrence le monopole ou encore l'oligopole 1) typologie -> concurrence pure et parfaite multitudes tous de petites tailles économiques et qui n'ont donc aucune influence sur le marché ->oligopole quelques vendeurs pour une multitude d'acheteur ->monopole 1 vendeur pour une multitude d'acheteurs ->oligopsone quelques acheteurs pour une multitude de vendeurs 2) la concurrence

caractéristiques de la souveraineté selon Bodin, 1) « la puissance de donner la loi à tous et à chacun en particulier » en termes modernes : le pouvoir législatif. 2) « comment décerner la paix et la guerre » concept du monopole de la violence légitime (weber) le monopole de la diplomatie et de la force armée il s’agit d’une idée très moderne dans le 16e siècle où les armées nationales et permanentes n’existent pas (France : il faut trouver des mercenaires suisses etc…). Finalement jean Bodin

totalisante de la chose publique absorbant tous les droits individuels ; le droit de propriété s’en trouve nié au profit de l’intérêt général. D’autre part, la conception de l’Etat par Karl MARX, pour qui l’Etat est considéré comme un appareil de violence et d’oppression. Dans ce cadre, l’Etat permet de maintenir uniquement les rapports d’exploitation de la classe bourgeoise sur la classe ouvrière. La pensée de MARX fait de l’Etat un instrument d’oppression de certains groupes (le clergé et la noblesse)

défaut de contrainte. Il n'y a pas de monopole de la contrainte, elle est inexistante, non organisée. Le droit international n'a pas de pouvoir supra étatique. En effet, les juristes négateurs constatent la carence des tribunaux et l'absence d'une législation provenant d'un organe supérieur. Par conséquent, les Etats ne sont pas tenus de respecter une quelconque règle. De ce fait, Les Etats ne sont pas soumis à une autorité supérieure, et il disposent seuls du monopole de la contrainte. Ainsi le droit

processus de civilisation. Les modifications spécifiques du comportement désormais pacifié vont être assuré en partie par la mise en place d’un monopole militaire et policier qui va inculquer des habitudes nouvelles aux individus. En créant des espaces pacifiés, l’emploi de la violence physique n’est plus toléré et se fait plus rare. Cette monopolisation de la violence assure le développement normal de la vie sociale à l’intérieur des sociétés au sein desquels la divsion sociale du travail est forte.

fonction administrative avec par exemple la gestion des immatriculations des populations avec l’Etat civil. L’Etat a aussi comme rôle le « monopole de la contrainte organisée », plus précisément ce que Marx Weber qualifie de « monopole de la violence légitime ». Pour assurer l’ordre social du point de vue interne, il a seul le pouvoir d’user de la violence avec la police pour instrument : c’est l’Etat gendarme ; l’on peut parler ici de la figure du Léviathan développée par Hobbes, entité qui doit

l'Etat: -les frontières: linéaires et stricte garantissant la protection et la surveillance du territoire. Ces caractéristiques ne sont plus tout à fait vraies: voir UE -incarnation de la volonté collective -a le monopole de l'usage de la force (violence légitime) La construction de l'Etat s'est souvent faite par l'unification de territoires, il y est donc dépendant: on voit ici le problème que pose les mouvements sécessionnistes et indépendantistes. L'idée d'espace politique