Monoxyde d'azote

comme la plupart des polluants. · les particules en suspension "PS" pénètrent plus ou moins profondément dans l'arbre pulmonaire suivant leur taille. Certaines particules ont des propriétés mutagènes et cancérigènes. · le dioxyde d'azote "NO₂" est un gaz irritant pour les bronches. Pour un asthmatique, il augmente la gravité et la fréquence des crises. Chez l'enfant, il peut provoquer des infections pulmonaires. · l'ozone, de formule "O₃", est un gaz agressif qui pénètre

ces dernières qui font élever la température pouvant atteindre des dizaines de millions de degrés centigrades et la font retomber brusquement. Ce phénomène est appelé « hiver nucléaire ». Ces conditions sont donc idéales pour la production de monoxyde d'azote (NO) formé par la fusion entre l’air et les particules de poussières du sol. Les explosions thermonucléaires sont donc un autre facteur aggravant de la destruction de la couche d’ozone, la multiplication des bombes nucléaires ajoutée aux autres

ses 60% de consommation. La voiture Particulière est la principale consommatrice dont le parc automobile a augmenté de 25% en 12 ans. Le transport routier représente aujourd'hui la première source d'émission de gaz carbonique, de monoxyde de carbone, d'oxyde d'azote et de poussières. Les émissions dans l'air et dans l'eau provenant de sources diffuses représentent une proportion importante de la pollution globale, dépassant même dans certains cas les rejets émanant de grandes installations industrielles

Sommaire : 1-introduction 1-Introduction : L'air que nous respirons peut contenir des centaines de polluants, préjudiciables pour notre santé, Sous forme gazeuse, liquide ou solide. Les polluants tels que SO2, HAP, métaux lourds, oxydes d’azote, radon, CO, O3, amiante, COV et formaldéhydes, polluants allergéniques sont considérés Comme des indicateurs de pollution de l’air, nuisibles pour la santé. Ils font donc l'objet d'une Réglementation. Il faut distinguer les épisodes de pollution intense

conditions de cette combustion, il y a oxydation d'une partie de l'azote de l'air et production d'oxydes d'azote (NOX) ; ces oxydes se forment également par oxydation de l'azote organique contenu dans le charbon ou le pétrole ; ° les produits de combustion rejetés dans l'atmosphère contiennent aussi, en proportions variables, des composés résultant d'une oxydation incomplète du combustible (monoxyde de carbone CO), des imbrûlés (particules de carbone), des hydrocarbures volatils, en particulier des

 1) La qualité de L’air en France L’air que nous respirons tous les jours est constitué à 99% d’azote et d’oxygène,  0,9% d’argon, et d’autres gaz présents à l’état de trace. L’air que nous respirons peut être perturbé par la présence de composés chimiques supplémentaires, sous la forme de gaz ou de particules, et en des proportions qui pourraient avoir des conséquences néfastes sur la santé humaine et l’environnement. Ils proviennent de nos activités humaines et parfois de phénomènes naturels

d’émissions naturelles ou anthropiques et des transformations chimiques des composés ainsi émis, sont : Les oxydes de soufre Les oxydes d’azote Les composés organiques volatils ou COV (butane, propane, méthane, acétone…) Le monoxyde de carbone Les particules primaires et secondaires L’ozone Sous l’effet du rayonnement UV, des réactions chimiques entre les oxydes d’azote, le monoxyde de carbone, le méthane et d’autres composés organiques entraînent la formation d’ozone troposphérique, à la fois gaz à effet de

poussière que peut dégager ces matériaux. • les appareils à combustion (chauffage, production d'eau chaude) : monoxyde de carbone, oxydes d'azote, particules, certains COV, • les plantes et les animaux : pollens, allergènes de chat, de chien et d'acariens. • la présence et l'activité humaine (tabagisme, activités de cuisine ou d'entretien, bureautique, ...) : particules, monoxyde de carbone, COV et aldéhydes,... L'humidité crée par les parties vitales de la maison comme la cuisine et la

plus ténue et plus mince que celle de la Terre. Sa température moyenne est de -63°C. Son atmosphère est composé principalement de dioxyde de carbone CO2 (95,32 %), d'azote N2 (2,7 %) et d'argon Ar (1,6 %). Viennent ensuite l'oxygène O2 (0,13 %), le monoxyde de carbone CO (0,07 %), la vapeur d'eau H2O (0,03 %) et le monoxyde d'azote NO (0,013 %) Nous pouvons remarqué que l'atmosphère de Mars contient une infime proportion d'eau. La pression atmosphérique à la surface est de 6 millibars en moyenne

épidémiologique nationale effectuée de 1974 à 1976 permet d’apporter une réponse à cette question.   Cette enquête a porté sur 20 zones réparties dans 7 villes et a pris en compte les principaux polluants : SO2 particules en suspension et oxydes d’azote. Une corrélation est établie entre les affections respiratoires et SO2, uniquement.   La concentration en SO2 variait, suivant les zones, de 22 à 85 microgrammes (g) par m3 d’air en moyennes annuelles.   L’étude met en évidence la corrélation entre