Monsieur Homais

découvre avec sa propre vie déclenche chez elle une maladie nerveuse. Son mari décide alors de s'installer dans une autre bourgade, siège de comices agricoles renommées, Yonville-l'Abbaye. Là, elle fait la connaissance des personnalités locales, Homais, pharmacien progressiste et athée, le curé Bournisien, Léon Dupuis, clerc de notaire, Rodolphe Boulanger, gentilhomme campagnard. La naissance dune fille la distrait un peu, mais bientôt Emma cède aux avances de Rodolphe. Elle veut s'enfuir avec

roman et enfin nous avons pu dégager une vision réaliste et une vision péssimiste de l'oeuvre. Ainsi pour Flaubert, plus que le réel, c'est le vrai qu'il affronte, l'idée de la représentation du vrai. Le réaliste est un rabat-joie, de la trempe d'un Homais; or, Flaubert veutmettre en scène la lutte de deux mondes antagonistes: la réalité et le rêve. En effet c'est bel et bien à cause de ses rêves qu'Emma finit par céder à la mort, incapable de se résigner au fait qu'elle ne puisse appartenir au monde

scène le personnage du bourgeois triomphant qui est caractérisé par M. Homais, un personnage très sure de lui-même avec beaucoup d’influence vu que c’est lui qui désigne Charles comme médecin du village. Ce personnage est mis en contraste lors de sa réussite avec le personnage de Charles qui est plutôt un personnage discret, qui ne se fait pas remarquer, qui n’excelle absolument pas dans son domaine au contraire de M. Homais qui devient riche grâce a sa profession et de l’ambition. Charles est gentil

Madame Bovary recèle des aspects réalistes et des aspects romantiques comme l’œuvre de Flaubert qui oscille elle-même sans cesse de la grisaille à la couleur, de la terne réalité aux fastes de l’imagination. Il y a loin de l’Éducation sentimentale à Salammbô, de Bouvard et Pécuchet à La Tentation de Saint-Antoine. Mais même lorsque Flaubert entend écrire sur un sujet trivial, il renonce au réalisme pur. Qu’il n’ait pas réussi à exorciser les vieux démons de son adolescence, c’est tant mieux ! Nous

agronomique de Rouen…. Section d’agriculture, classe de pomologie ») Flaubert se moque d’Homais. Il utilise des termes techniques destinés à impressionner « le rhume est rebaptisé "Coryza" ; la saignée, "phlébotomie" et le pied-bot, "stréphopode". Homais nourrit une foi dans la Science. Il reconnait un Dieu hors toute religion et il a retenu les leçons de Voltaire pour croire en un Dieu raisonnable, seulement créateur. Tout au long du roman il s’oppose au curé Bournisien. La chevelure d’Emma est

d'Emma. =>Par rapport à l'entourage humain: '' Ils étaient tous , Mr et Mme Bovary , Homais et Mr Léon paris pour voir à une demi-lieue de Yonville (…)'' Comme le dit le passage ils étaient tous là. Le couple Bovary + Homais et ses 2 enfants + Léon + Justin le garçon d'écurie . Hommais se prend pour un guide et fait visiter le lieu a ses camarades . Charles => Ennuyeux , paresseuc officier de santé . Homais => Pharmacien , a de la confiance en lui . Léon => Doux , beau charmant. Justin

yeux, et relut encore. (carta do suicida : sabe-se que nao foi morto por alguem, mas que se matou) – Comment !… Au secours ! à moi ! Et il ne pouvait que répéter ce mot : « Empoisonnée ! empoisonnée ! » Félicité (ajudante da casa) courut chez Homais (farmacêutico), qui l’exclama (gritou) sur la place (praça – cidade pequena); madame Lefrançois l’entendit (o ouviu gritar) au Lion d’or (albergue/hotel); quelques-uns se levèrent pour l’apprendre, à leurs voisins, et toute la nuit le village fut

dort du sommeil du juste, Lheureux n’y a jamais vu qu’une « bonne affaire ». Allons plus loin encore, les coupables sont récompensés, honorés : Lheureux a fait fortune et s’est installé à l’enseigne “les favorites du commerce”, son nouveau magasin ; Homais, parangon de bêtise satisfaite, « vient de recevoir la croix d’honneur ». Le roman se termine sur la vision grinçante de la sottise humaine. Un travail de styliste Face à ce monde éprouvant pour une sensibilité d’écorché vif comme celle de Flaubert

l'adultère que l'insatisfaction, liée au caractère infini du désir Dans ce roman, l'amour maternel est ambigu (mère de Charles envers lui et Emma envers Berthe) Nous assistons dans ce roman à l'échec de l'énergie, étouffée par l'inertie C'est surtout Homais qui semble une véritable allégorie de la bêtise (parler beaucoup trop pour ne rien dire). Ainsi, le langage est le lieu où s'épanouit cette bêtise. Le héros flaubertien est voué à l'échec, incapable d'aimer, de faire et de dire Les vêtement ont

laisse aisément convaincre. Charles, sous la pression de celle-ci et de l’apothicaire, se met en tête de réaliser l’opération. Il commence donc à étudier, non sans difficulté, les différentes formes de la maladie et comment soigner chacune d’elle. Homais, quant à lui, se donne pour mission d’exhorter Hippolyte à se faire opérer en utilisant divers arguments, tels que l’absence de douleur, son embellissement et la facilitation de son métier en tant que garçon d’auberge. Le malade est d’abord hésitant