Mont hydrothermal

Longtemps on y pensa toute vie impossible, pourtant les premiers bathyscaphes y découvrirent, dans les années 1970, un foisonnement de vie au sein d'écosystèmes inconnus, à proximité d'importantes ressources minérales. Aujourd'hui, certaines sources hydrothermales profondes (fumeurs noirs) sont associées à une des principales hypothèses quant à l'origine de la vie sur Terre. Les abysses restent néanmoins très mal connus ; à l’heure actuelle, 95 % des abysses restent inexplorés, les grands fonds sont cartographiés

impossible. Vers la fin du 20ième siècle, des organismes ont été découverts à de grandes profondeurs, venant contredire toutes les hypothèses quant à la possibilité de vie dans cet environnement. De plus, différents écosystèmes, tel les monts hydrothermaux, présentant des conditions de vie spécifique y ont été répertoriés. Les scientifiques se sont alors questionnés sur les adaptations qui ont permis à la vie de prospérer, malgré les contraintes importantes de l’environnement. Parmi celles-ci, notons

entre 5000 et 6000 mètres de profondeur. ( ensuite la description du schéma ) Jusqu’aux années 1970 on pensait que la vie n'y était pas présente mais on a put trouver par la suite de nombreuses espèces vivantes, faunes et flores et de cheminées hydrothermales malgré des conditions peu favorables au développement de la vie. Ainsi, plus on va dans les profondeurs, moins la biodiversité y est dense. 2° Des conditions de vie extrêmes a) L'obscurité La lumière est une chose indispensable à la vie

importantes d’activité hydrothermales. Puis, en 1980, français et américains, repartis à bord d’Alvin, observent enfin les sources hydrothermales en activité : les êtres aux morphologies exubérantes grouillent en réalité autour de ces sources à une température d’environ 350°C ! Lieu de dégagement en grande quantité de molécules minérales et d’énergie chimique, dans un océan primitif où l’hydrothermalisme était beaucoup plus actif qu’aujourd’hui, les édifices hydrothermaux ont pu former de véritables

étape, celle du sommet, aucune végétation avec des éboulements de roche sombre, de forme ronde et sans cristaux ni bulles, ce sont des Basaltes. On peut observer, sur les gabbros, des petits minéraux verts, qui nous montrent un métamorphisme hydrothermal (refroidissement brusque du gabbro, qui se fissure pour laisser passer l’eau de mer, ce qui modifie la composition des roches) On peut donc conclure à la fin de cette journée qu’il y avait un océan alpin à l’époque du Jurassique Supérieur. Etape

e
à
 fondre)
que
si
celle‐ci
est
hydratée.


 
 D’où vient cette eau ?  Au
cours
de
l'expansion
océanique,
la
croûte
océanique
 emmagasine
de
l'eau
lors
de
réactions
métamorphiques
 qui
produisent
des
minéraux
hydroxylés
 (métamorphisme
hydrothermal).

 
 
 Lors
de
sa
subduction,
la
croûte
océanique
subit
un

métamorphisme
de
haute
pression
‐basse
 température
permettant
la
formation
des
schistes
bleus
puis
de
l’éclogite.
Ce
métamorphisme

 s’accompagne
d’une
déshydratation
des
minéraux

dorsale sous l’effet de la divergence, celle-ci se refroidie en grande partie grâce à l’hydratation qui est le résultat de la circulation de l’eau de mer dans la croûte nouvellement formée. La circulation de l’eau de mer entraîne un métamorphisme hydrothermal des roches. De nouveaux minéraux hydratés (OH-) appelés amphiboles apparaissent formant des auréoles autour des minéraux que contiennent les gabbros, c'est-àdire pyroxènes et feldspaths plagioclases. On voit apparaître en premier des auréoles de

rechercher dans les roches des vestiges d'un ancien plancher océanique. Celui-ci est observable en surface lorsqu'il a été charrié sur le continent lors d'une collision lithosphérique. Le plancher océanique, plus ou moins modifié par un métamorphisme hydrothermal, présente alors une séquence de roches caractéristiques portant le nom d'ophiolites. On y trouve, de bas en haut : des péridotites verdâtres, dont l'olivine est transformée en un minéral hydraté, la serpentine ; des gabbros, présentant des auréoles

star) quotidienne qui a dit que cinq personnes sont mortes : le gué, la pierre, des sables, rapproche et le mont(support). Mais maintenant je peux vous dire les bonnes nouvelles. Seulement quatre personnes sont mortes! C'est ça! Le mont(support) de Mary est revenu du voyage à ce terrain(terre) étrange sur le superoiseau. Elle a soixante ans maintenant. Ce matin ils me laissent visiter le mont(support) de Mary. Ceci est la première fois qu'elle était a jamais parlé du voyage et l'accident(la faillite)

épaisseur de la formation : 300 à 400 m) , b) des basaltes en filons, c) des gabbros (épaisseur : 150 à 200 m), d) des péridotites serpentinisées. (remarque : dans ces roches, les pyroxènes et les olivines soumises à une intense altération hydrothermale sont entourés d’un minéral hydraté vert: la serpentine). ☯ Toutes ces roches appartiennent au faciès des « schistes verts » (métagabbros ou métabasaltes du faciès des « schistes verts ») : elles ont été transformées par hydratation (= hydro