Montagnes de Brume

|verdure... Jour troisième. | |L1:C1:P14 - Comme la brume, comme un nuage, comme un nuage de |QUATRIEME JOUR. | |poussière, ainsi était la création quand les montagnes émergèrent des|1:14 à 19 - Et les Élohîms dirent : qu'il y ait des luminaires au | |eaux; et instantanément les montagnes grandirent. |firmament des cieux pour séparer le jour de la nuit et qu'ils servent|

amoureuse, Car aussi tost que tu as beu Dessus les arbrisseaux un peu De la rosée, aussi contente Qu'est une princesse puissante, Tu fais de ta doucette vois Tressaillir les monz et les bois. Tout ce qu'aporte la campagne, Tout ce qu'aporte la montagne, Est de ton propre. Au laboureur Tu plais sur-tout, car son labeur N'offences ni portes dommage N'à luy, ni à son labourage. Tout homme estime ta bonté, Douce prophette de l'été. La Muse t'aime, et t'aime aussi Apollon, qui t'a fait ainsi

: Soyez sages ! Ton masque obscur qui fait le guet dans les nuages, Tes cratères tordus par de noirs aquilons, Tes solitudes d'ombre et d'oubli, tes vallons, Peut-être heureux, peut-être affreux, édens ou bagnes, Lune, et la vision de tes pâles montagnes. Oui, je crois qu'après tout, des enfants à genoux Sauraient mieux se servir de la lune que nous ; Ils y mettraient leurs vœux, leur espoir, leur prière ; Ils laisseraient mener par cette aventurière Leurs petits cœurs pensifs vers le grand Dieu

sablier, Ce cavalier Des ballades d'Allemagne Qu'à travers ville et campagne, Et du fleuve à la montagne, Et des forêts au vallon, Un étalon Rouge-flamme et noir d'ébène, Sans bride, ni mors, ni rêne, Ni hop ! ni cravache, entraîne Parmi des râlements sourds Toujours ! toujours ! Un grand feutre à longue plume Ombrait son œil qui s'allume Et s'éteint. Tel, dans la brume, Éclate et meurt l'éclair bleu D'une arme à feu. Comme l'aile d'une orfraie Qu'un subit orage effraie

Mais, Ian disait qu' en Chine, ils l’avaient aussi. Edouard avait du mal à le croire. Après dîner, oncle Ian dut s’exécuter, et commencer le récit de ses voyages. Récit épique et qui dura des jours et des semaines. Chaque soir, nous empilions une montagne de branches sur le feu, et nous nous accroupissions en cercle autour de lui. Once Ian était le plus grand voyageur. Il avait ça dans le sang. En écoutant ces récits, il parlait des avancements de d’autres pays, et cela m’était en colère Edouard.

o 5.3 Lutte contre les incendies o 5.4 Alimentation humaine * 6 Politique et économie o 6.1 La production d'eau potable + 6.1.1 Épuration, assainissement o 6.2 Problématique de l'eau en montagne o 6.3 Problématique de l'eau et l'urbanisme o 6.4 Géopolitique : la « guerre de l'eau » + 6.4.1 Inégalité d'accès à l'eau potable + 6.4.2 Conséquences sanitaires du manque d'eau potable

ouverts Et ne me laisse pas dormir. Ses rêves en pleine lumière Font s’évaporer les soleils, Me font rire, pleurer et rire, Parler sans avoir rien à dire. Paul Eluard, Mourir de ne pas mourir. La chanson du mal aimé Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre Et le regard qu’il me jeta Me fit baisser les yeux de honte Je suivis ce mauvais garçon Qui sifflotait mains dans les poches Nous semblions entre les maisons Onde ouverte

plus, l'image de Pierre se rétrécit au loin. Loin du regard de son frère et surtout de sa mère. Lorsque celle-ci se retourne une dernière fois, "elle ne vit plus rien qu'une petite fumée grise, si lointaine, si légère qu'elle avait l'air d'un peu de brume". 4 Personnages: Pierre Roland: L'ainé de la famille âgé de 25 ans vient d'obtenir son diplôme de médecin. Il souhaite s'installer dans la région du Havre et ouvrir un cabinet. Il est brun, assez maigrichon et doté d'un tempérament très

week-end à la campagne. Il nous (falloir) ……………… préparer notre voyage. Ecoutons la météo : Dans le sud ouest le temps (être) ……………. nuageux. Il (pleuvoir) ……………………. faiblement en montagne. Les nuages et la pluie (se déplacer) ………………………….. vers la côte. Dans toutes les autres régions il y (avoir) ………………… de la brume ou du brouillard. Il (tomber) ………………………….. une pluie fine. On (trouver) ……………………. les températures les plus basses à Paris mais il (faire) …………….. 18° à Nice. L’après midi vous (pouvoir)

de vie : capables de sensations « les pierreries regardèrent « , ou de mouvement, avec la synecdoque des « ailes » qui se lèvent, les souffles comparés à des « haleines » vivantes...puis métamorphose soudaine du paysage, qui devient paysage de montagnes enneigées, puis descente vers « la plaine », avec l’étrangeté de l’article défini « l’allée », lieu précis mais inconnu…puis espace devient urbain, citadin, « la grand ville », minéral « les quais de marbre » « les cloches et les dômes » : aspect