Montaigne Du Mensonge

sont abordés. Ainsi tout ces points de vues construisent des dialogues intéressants gagnés souvent par les plus raisonnables comme le personnage de Martin, le plus philosophe. Il nous permet de nous interroger sur la violence de l'homme, sur ces mensonges et son oisiveté mais surtout sur la quête du bonheur. Enfin l'apologue peut aussi se présenter sous formes de fables comme celle de La Fontaine , Le loup et l'agneau. C'est un débat entre le loup, le prédateur qui représente l'élite et l'agneau qui

soutenu le relativisme culturel dans son célèbre ouvrage La Morale et la Science des Moeurs. Selon lui, les codes moraux ne sont que les moeurs et les coutumes d'une société érigées en système. Quatre cent ans plutôt, son compatriote, Michel de Montaigne (1533-1592), soutenait la thèse du relativisme culturel et concluait au scepticisme en matière de morale. L'ethnologue américain Ruth Benedict (1887-1948) défendit la même thèse dans son étude comparative qu'elle consacra aux Indiens du sud-ouest

Introduction Tous les domaines de la philosophie sont concerns par la vrit pistmologie, morale, politique, art, sciences, psychologie, etc. Deux sens possibles Vrit par opposition au mensonge dire le faux tout en sachant ce qui est vrai. Vrit par opposition lerreur. L vrit, cest ladquation entre lintellect et les choses la vrit se dfinit par la conformit de lintellect avec les choses. Il en rsulte que connatre une telle conformit cest connatre la vrit. (St Thomas dAquin (italien, XIIIme sicle) dans

1 L'ORAL DU BAC DE FRANÇAIS LES 23 TEXTES DE VOTRE ORAL SOMMAIRE 3 Présentation de l'épreuve 9 Foire aux questions 11 Questions pour l'entretien 15 19 23 28 31 35 38 42 Montaigne (1) Montaigne (2) Diderot, Bougainville Voltaire, L'Ingénu Nouveau Apollinaire, « Zone » « Le Pont Mirabeau » « Mai » « La Prose du Transsibérien » Nouveau 47 Baudelaire, « Invitation au voyage » 51 Rimbaud, « le Bateau ivre » Nouveau 55 « Tu es plus belle… » 59 63 67 71 Dom Juan I, 2 III, 2 IV, 3 V, 2 76

permet de maintenir l’ordre psychique et la tranquillité ». La Généalogie de la morale 27. Friedrich Nietzsche (1844-1900) : « Nul bonheur (…) de l’instant présent ne pourrait exister sans faculté d’oubli. » La généalogie de la morale. 28. Montaigne (Michel Eyquem de), « Savoir par cœur n'est pas savoir : c'est tenir ce qu'on a donné en garde à sa mémoire ». - Essais, I. 29. Saint Augustin (354-430) : « nous n’avons pas encore totalement oublié ce que nous nous souvenons d’avoir oublié

pensée de derrière » (voir cette notion) qui solidarise en quelque sorte le chrétien parfait avec le peuple font de Pascal un penseur altruiste. Amour propre : Pour Pascal, « le moi est haïssable », c’est ce qui justifie sa distance à l’égard de Montaigne qui avait donné à l’expression de ses idées philosophiques une forme autobiographique. Toutefois, Pascal reconnait qu’il est nécessaire de bien se connaitre soi-même pour régler sa vie et ses actions ; mais il s’en prend principalement à l’amour

penser. Conséquence du Théorème : si une personne quelque qu'elle soit suite à une prise de conscience d'un aspect de son identité nous dit " c'est ainsi je n'y peux Rien je suis comme ça" on peut dire qu'il y a là un aveux de mauvaise foi, un mensonge aux autres et à soi même car : - il y a contradiction entre le fait de prendre conscience quelque chose et le fait de s'en revendiquer déterminé car la prise de conscience déjoue le déterminisme - les seuls aspect par lesquels nous

l’enfance. II.L’œuvre Il convient de résumer l’œuvre en quelques mots, telle qu’on la découvre en tant que lecteur, c'est-à-dire avec des révélations qui se font petit à petit. Ce livre aborde les thèmes du secret, de la culpabilité, de la passion, du mensonge. Attention, il y a de grandes chances que les membres de votre jury n’aient pas lu le roman, ce qui veut dire que vous devez être très clairs dans vos propos. a- Le contexte historique Rappeler le contexte historique de l’œuvre, qui commence après

frapper les esprits pour la rendre compréhensible (peut-être peut-on rapprocher la démarche de Pascal de du Marsais dans Le traité des tropes qui considère qu’on s’exprime par figure pour faire entendre plus aisément une idée abstraite, ce que déjà Montaigne mettait en œuvre par exemple dans le livre « sur l’éducation » : « il est bon qu’il le fasse trotter devant lui… ». La série d’exemples aboutit à une première conclusion provisoire sur l’imagination : « L’imagination dispose de tout, elle fait la

justifier le mensonge. Il y a toujours une part d’aléa qui fait qu’on n’est jamais maitre des conséquences et que du coup on peut participer à l’arrivée du mal. Question de la valeur d’un énoncé. Il apparait un lien très fort entre le langage et la vérité : premier couple : le couple vrai faux. Quelle est l’intention qui nous anime ? : Il veut le tromper pour sauver son ami. Axe du mensonge te de la véracité ce qui définit le mensonge de l’erreur. Au contraire ce qui définit le mensonge c’est le