Montaigne Les Monstres

matière se mouvoir : pour Diderot : il faut toujours voir le mouvement. Pas d’immobilité Idée du chaos : attention explication du mot Chaos : il n’y a pas d’ordre. Idée du chaos de lantiquité : les cents-bras les Titans, les géants. La norme : le monstre « être informes » / « bien organisés » : « multitude » / « quelques êtres » : utilisation de l’antithèse. Lignes 14 à 26 : Ligne 14 : à nouveau concession « si je n’ai rien à vous objecter » A nouveau : opposition présent / passé : ligne

L.A. N*2, séquence 2 "Au sujet d'un enfant monstrueux" Essais,MONTAIGNE(1595) Intro: Au moyen-âge et à la renaissance, la norme humaine rejète tout ce qui est anormal. Au XVI eme, il y a un grand engouement pour les monstres, il attire, y sont fascinant mais font aussi peur car ils sont associés à la divinité. Montaigne explique que Dieu est le créateur de tout les êtres vivants quel qu'il soit( les monstres ne sont pas une punition). La tonalité didactique et épidictique sont omniprésents. Il

question qu'est-ce que l'humaine ? Mais c'est toutefois comme cela que nous pouvons parler de monstres . Puisque oui , comment pouvons nous affirmer que quelqu'un est un monstre ? Nous nous attachons bien sùr à son physique car il n'est pas comme le notre c'est une faute de l'homme mais de nos jours les monstres ne sont pas consièrait comme humaine . Comme dans ma série Vampire Diaries où les vampires sont des monstres puisqu'ils sèment la terreur autour d'eux et tuent des gens mais certains d'antres eux

Intérêt des textes : En mettant en regard les textes d’Ambroise Paré et de Montaigne, l’enjeu est de permettre à l’élève de réfléchir sur la notion d’humanité dans une perspective scientifique. L’exemple du monstre permet d’identifier une problématique essentielle de l’anthropologie : peut-on donner des limites à la notion d’humanité ? La « norme » humaine Origine des monstres Ambroise Paré a occupé la fonction de chirurgien du roi sous les règnes d’Henri II, de Charles IX et d’Henri

Montaigne entreprend d’écrire cette œuvre maitresse qui va l’occuper le temps de sa retraite. Cette œuvre paraitra en 3paritions la première en 1580, la seconde en 1588 et la troisième publié après sa mort en 1895. D’une édition à l’autre Montaigne ne va pas chercher à remanier son texte mais seulement à l’augmenter selon la seule règle qu’il se fixait et qui consistait à revoir son texte, faire des additions sans jamais rien supprimer. Dans cet extrait Montaigne relate une expérience troublante

Question sur corpus Nous allons étudier un extrait des Essais, écrit Par Montaigne pendant le mouvement humanisme en 1595, nous avons choisis un deuxième texte qui est un conte, il s’intitule La Belle et la Bête, il a été écrit par Jeanne Marie Leprince De Beaumont en 1757 pendant les lumières. Dans leur discours argumentatif, les deux auteurs évoquent la monstruosité tout en gardant des qualités sur ces monstres. Nous nous interrogerons sur comment les auteurs nous réfléchir sur l’humain.

« Des monstres et prodiges », A. Paré, 1574 «Les essais », M. Montaigne, 1595 Introduction : Ambroise Paré était chirurgien des derniers Valois 1510-1590 (France). Il est considéré comme le père de la chirurgie moderne et a publié un certain nombre de traités scientifiques. Michel Montaigne (1533-1592) est, avec Rabelais, le principal auteur humaniste, aristocrate, il fait une réflexion sur l’Homme en s’étudiant lui-même. Chacun de ces auteurs nous livre une thèse différente sur l’origine des « monstres »

Michel Montaigne, Les Essais, Livre II, chapitre 30, « Au sujet d’un enfant monstrueux », 1595 Introduction La question de la nature et de la diversité humaine est au centre des préoccupations du mouvement humaniste au XVIème. Montaigne participe à cette réflexion dans ses Essais auxquels il travaille de 1572 jusqu’à sa mort, en 1592. Cette œuvre de forme très libre se présente comme en exercice de la pensée, nourrie par l’expérience et la lecture des auteurs grecs et latins, et propose des

cas de monstres aux lignes 5 à 9 (« ceux qui ont », « un autre », « un autre »), Ambroise Paré énonce une idée générale : « Il est certain que... » (l. 10). Cependant, l’auteur ne s’appuie pas véritablement sur l’expérience pour dégager une vérité. Il ne procède donc pas selon un protocole scientifique tel qu’on l’entend aujourd’hui (depuis la naissance de la « science expérimentale » au XIXe siècle). 2. Paré et Montaigne font tous deux référence à Dieu pour expliquer le phénomène des monstres. Néanmoins

nos jours AUX FRONTIÈRES DE L’HUMANITÉ Ambroise Paré, Des monstres et prodiges, ^57‹ Michel de Montaigne, Les Essais, ^5•5 ^ p. 27›-275 Objectif : Définir la nature humaine en s’interrogeant sur la notion discutable de norme. Intérêt des textes : En mettant en regard les textes d’Ambroise Paré et de Montaigne, l’enjeu est de permettre à l’élève de réfléchir sur la notion d’humanité dans une perspective scientifique. L’exemple du monstre permet d’identifier une problématique essentielle de l’anthropologie