Montauban-de-Bretagne

royale. Les mariages sont alors bien réfléchis. A compter du XIVè, malgré les difficultés, l'accroissement du domaine s'accélère, Charle V acquiert ainsi le Dauphiné, Charles VII la Guyenne. AU début du XVI è est annexé le dernier grand fief avec la Bretagne. Il y a bien des difficultés, notamment s'allier à la féodalité des apanagistes, qui mènent une politique personnelle en toute méconnaissance du bien commun et qui exerce dans leur fief des prérogatives régaliennes. Le roi n'est pas toujours capable

s'étendant sur plusieurs continents, ce qui explique la portée mondiale du conflit. Cette guerre fut surtout le fait de deux grandes alliances : la Triple-Entente et celle des Empires centraux. La Triple-Entente était composée de la France, de la Grande-Bretagne, de la Russie et des empires qu'elles contrôlaient en tant que grandes puissances coloniales. Plusieurs États se joignirent à cette coalition, dont le Japon en août 1914, l'Italie en avril 1915 et les États-Unis en avril 1917. La coalition des Empires

juifs participent activement aux organisations de résistance. L’Eglise catholique et silencieuses mais les réactions sont nombreuses de la part des ecclésiastiques. Il y a des condamnations publiques par des évêques (Salièges à Toulouse ou Théas à Montauban). Les Tsiganes : ● Ils subissent le même principe d’exclusion raciale que les juifs par les nazis, ils sont internés dés 1938. Cela ne faisait pas parti du projet initial. Les allemands exigent leur internement en zone occupée (Jargeau,

nécessite de prendre en compte différentes temporalités : le court terme de la défaite ; la crise des années 1930 et la consolidation des systèmes totalitaires ; l’héritage séculaire des anti-Lumières. I. Étrange défaite, étrange victoire La Grande-Bretagne et la France se sont déclarées en guerre contre l’Allemagne le 3 septembre 1939. Le 10 mai 1940, après huit mois de quasi-inactivité sur le front occidental, la « drôle de guerre » s’achève subitement par une offensive générale des armées allemandes

nationaux et étrangers, sans restrictions. En général tous les étrangers ne sont pas logés à la même enseigne et l’on a des droits différents selon sa nationalité. Par exemple les pays nordiques privilégient les ressortissants des pays voisins, la Grande-Bretagne privilégie les citoyens du Commonwealth, le Portugal les lusophones et applique une condition de réciprocité, comme l’Espagne. De plus, l’Union européenne a institué la différenciation entre citoyens de l’Union et extra-communautaires. 20 21

en collaborant eux-mêmes activement au mouvement. Une vie intellectuelle à l'échelle européenne Extension des frontières vers l'Est (Pologne, Russie,...) - déplacement des centres d'intérêt de la Méditerranée au Nord de l'Europe. La Grande-Bretagne, la France et l'Allemagne ont conquis une réelle avance économique et culturelle. C'est un siècle cosmopolite multiplication des échanges. Voltaire fait connaître à la France le régime anglais (monarchie éclairée). Les chercheurs des grandes capitales

Pierre Jacky ont en effet largement battu à deux reprises leurs homologues irlandais lors de deux 19 19 LES LES SPORTS Automobile/Rallye de Grande-Bretagne Pour Loeb, les fans sont prêts à tout Cardiff (pays de Galles) DE NOTRE ENVOYEE SPECIALE En tête pour… cinq secondes ! L’ISSUE de la première journée du Rallye de Grande-Bretagne, Sébastien Loeb est virtuellement champion du monde. Le pilote Citroën ne possède toutefois que cinq secondes d’avance sur son grand rival, Mikko Hirvonen

l’histoire de France auparavant. Or par un jeu de coïncidences, ces grandes principautés reviennent toutes à la fin du XVe siècle sous l’autorité du roi. C’est le cas de cette principauté très importante qu’est la Bourgogne, mais aussi la Provence, la Bretagne. Sur le plan culturel et intellectuel : On y associe humanisme et renaissance qui doivent beaucoup pour la fascination de la culture. L’imprimerie se développe, donne un accès nouveau aux livres. Renouvellement des méthodes intellectuels

Guillaume II refusa, ce qui révèle la fragilité de la triplice. En 1914, l’Allemagne peut aussi compter sur la sympathie de l'Empire ottoman26, qui ne digère pas d'avoir été privé par Winston Churchill de deux cuirassés construits par la Grande-Bretagne. La menace russe pour prendre le contrôle des détroits se précise. En effet, l’Angleterre qui, jadis, protégeait l’Empire ottoman, est maintenant alliée à la Russie. Pour la Turquie, seul un rapprochement avec l’Allemagne de Guillaume II peut la

dans la bataille parmi ses fils, comme s’ils étaient des possessions privées ; aucune idée d’état, aucune durabilité des frontières. A la parenthèse unificatrice de Charlemagne suit une nouvelle dispersion des territoires : l’invasion normande de la Bretagne insulaire et la ‘révolution féodale’ (860-900). Deux siècles de paroxysme où prédomine la hiérarchie “châtelaine”, abritée et agressive, où le ‘vassal’ s’incline et le ‘serf’ s’agenouille devant le ‘seigneur’. Le territoire ‘français’ s’en sort de