Montesquieu Orientalisme

importantes satyres de son temps. En effet, Voltaire s’attache à dénoncer les maux et les intolérances de la société occidentale, par le détour de l’orientalisme, très fréquent à cette époque, que l’on retrouve d’ailleurs dans les Lettres Persanes de Montesquieu, ou encore dans Les Contes des Milles Et Unes Nuits. Il soutient également tout au long du récit, la thèse de Leibniz, sur une potentielle «Destinée». Dans cet extrait, Voltaire s’efforce particulièrement à dénoncer les limites de la Justice, tout

qui a pour cadre l’orient et plus particulièrement la Turquie. Ce procédé de fiction a été fréquemment utilisé au 18ème siècle. A titre d’exemple, Montesquieu et son œuvre Les lettres persanes, imagine la correspondance échangée entre deux Persans dont l’un visite la France et l’autre restant en Perse. 1) Un orientalisme voyant Cette orientalisme s’observe très facilement, de par la date qui correspond au calendrier musulman, mais aussi aux noms des personnages, et à des formules de types orientales

 Les lettres Persanes: Présentation de l'oeuvre : Ce livre a été publié en 1721 à Amsterdam et écrit anonymement par Montesquieu (1689-1755), au début du siècle des Lumières. Il faut savoir que ce roman appartient au genre épistolaire. Après Montesquieu plusieurs autres auteurs vont suivre son idée ( Les Liaisons Dangeureuses de Laclos ) le succès du livre a été immédiat car il est dû à la nouveauté et à l'orientalisme. Résumé : époque : l' action se déroule de environ mars 1711 à 1720

Biographie de Montesquieu C’est un noble de la justice, il est juriste. Il est né à bordeaux, il a de grande connaissance en médecine humaine En 1721 il publie les lettres persanes En 1728 il est élue a l’académie française et en 1748 il publie De l’esprit des lois Il crée des constitution sur les questions des politiques, juridique… Il voyage dans toute l’Europe pour voir comment sont les autres pays et écrit sont livre Il meurt en 1755 Contexte des lettres persanes Montesquieu écrit les lettres

ceux d’entre vous qui auront eu la curiosité de ne pas se contenter des réponses étroites mais auront fait de véritables recherches et seront capables de me le prouver … Il faut bien garder un peu de suspense !! Ahahah… Hihihihi … 1. Qui était Montesquieu ? 2. Citez au moins deux ouvrages de cet auteur. 3. Quelles grandes causes a-t-il défendues / combattues ( en citer 3) 4. Qui étaient les philosophes des Lumières ? : - Quelles idées défendaient-ils ? - D’où vient leur nom « philosophes des Lumières

Lettres persanes, Montesquieu RECHERCHE Histoire des arts 1. Le goût de l’Europe du début du XVIIIe siècle pour tout ce qui est oriental s’illustre dans de nombreux domaines artistiques tels que la peinture., avec notamment la Sultane prenant le café de Carle Van Loo (1755), ou encore l’Odalisque à l’esclave (1839, Fogg Art Museum, Cambridge, Massachusetts) ou le Bain Turc (1862, musée du Louvre, Paris) d’Ingres et Théodore Chassériaux (le Coucher de Desdémone, 1849, musée du Louvre, Paris

Montesquieu Eléments biographiques : -Il est né à paris Châteaux de la Bred -Il passe sa vie entre Bordeaux et Paris, il fait la jonction entre le XVII et le XVIII siècle -Ouverture au monde littéraire, Il participe à l'Encyclopédie. Sa culture est universelle, il a un esprit d'ouverture. -Il est le précurseur du siècle des Lumières, Il s'intéresse à tous les domaines du savoir. -Il est passionné de sciences, Il publie plusieurs ouvrages scientifiques (Ecrit sur l'Echo, Les glandes surrénale)

trompeur. Faire parl er Joussouf-Chér ibi, c’est mettre sur le compte du cruel archaïque despotisme orienta l – tel que se le représente les occidentaux –, l’étroitesse de vue de la censure, et non s’attaquer directement aux censeurs royaux. Un orientalisme de pacotille dont le pitto resque provient tout d’abord de la mention des noms et qualités des dignitaires du gouvernement ottoman (», « Saïd-Effendi, ci-devant ambassadeur de la Sublime Porte »). Et si le nom propre « Joussouf-Ch& eacute;ribi

jugement trompeur. Faire parler Joussouf-Chéribi, c’est mettre sur le compte du cruel archaïque despotisme orienta l – tel que se le représente les occidentaux –, l’étroitesse de vue de la censure, et non s’attaquer directement aux censeurs royaux. Un orientalisme de pacotille dont le pittoresque provient tout d’abord de la mention des noms et qualités des dignitaires du gouvernement ottoman (», « Saïd-Effendi, ci-devant ambassadeur de la Sublime Porte »). Et si le nom propre « Joussouf-Cheribi » a une consonance

part entière – de surcroît épistolaire, et plus seulement comme la juxtaposition de lettres traitant de sujets philosophico-politico-religieux, teintées d’un orientalisme sensé charmer le lecteur et le dépayser. Néanmoins, on peut affirmer à la suite de Roger Caillois que l’Esprit des lois est déjà inscrit dans Les Lettres persanes, que Montesquieu y developpe bien ses idées sur la religion, la politique et d’autres sujets, même s’il le fait par l’intermédiaire de personnages fictifs. Le rapport entre