Morale Explicite Et Implicite

passé 5° conte des contes en prose 1695, Courant des Modernes contre les AnciensNature Genre Type(s) Tons, tonalités, registres Conte Récit, Description, Dialogue, Argumentation explicite et implicite Dramatique, Merveilleux, Humoristique, Satirique, Pathétique, SymboliqueIdée générale, thèmesTransgression (enfreindre, violer une loi) par une épouse curieuse de l’interdit posé par un époux monstrueux. Composition, lecture linéaire Formelle

au cours de multiples aventures. Le narrateur est omniscient tout au long du texte car le lecteur sait tout sur tout. Comme c’est un conte il y a la présence du surréalisme et, à la fin, il y a une morale. En quoi Charles Perrault utilise t-il un conte sommaire pour faire passer une morale implicite ? Dans une première partie nous verrons que ce texte est un conte et du coup ce que cela entraine. Puis dans une deuxième partie nous verrons la partie didactique de l’oeuvre. Premièrement,

instruire). Bon nombre d'écrivains se sont prêtés à ce jeux, faisant apparaître au travers de leur récit une morale subtile, ou bien plus simplement explicite. On retiendra ici les noms de Jean de la Fontaine, Jean Anouilh et Jean-Jacques Rousseau. Il s'agira en fait dans ce corpus de relever les leçons qu'on peut tirer des fables dont la morale est implicite pour ensuite se concentrer sur une dont la morale est clairement exposée. Le loup et le chien paraissent dans Fables, qui a été écrit par Jean de

illogique car il a voulu se convertir dans sa religion. - Lavaisse : il serait venu de très loin pour tuer son ami - La mère : (implicite) impossibilité physique de tuer son fils. / explicite: "tendre" Questions rhétoriques Comment...? => Absurdité mise en valeur. Il n'y a pas de réponses car celles-ci sont évidentes. 3- Le supplice de Jean Calas - Critique explicite de la justice. - Premier paragraphe : progression vers l'affirmation "devrait" puis "devraient" puis "doit" (conditionnel et

Sujet : « Une morale nue apporte l’ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui. » Jean de La Fontaine (1621/1695). Vous expliquerez et discuterez cette définition de l’apologue (fable ou conte) en vous appuyant sur les textes du corpus et d’autres apologues que vous connaissez. Au XVII siècle se développe un mouvement d’auteurs français qui transmettent les morales qu’ils veulent faire entendre au lecteur à travers des contes ou des fables. Ils s’appuient donc sur des situations détournées

opposés A. Les thèses en présence o Thèses implicites et explicites o Arguments, raisonnement Sepulveda : - Thèse d’Aristote : plusieurs catégories d’hommes = Indiens : esclaves par nature ⋄ argument d’autorité - Thèse explicite (1ère ligne de l’extrait), il est catégorique : « sont des esclaves » et « en tout point » Las Casas : - Les Indiens sont des hommes à l’égal des Européens - Thèse implicite : plusieurs cultures Deux thèses qui s’opposent :

Introduction : Une fable est une petite histoire avec souvent des personnages allégoriques comme par exemple des animaux qui parlent ou des personnages qui représentent une idée. Derrière cette apparence enfantine, il y a souvent une morale implicite ou explicite. La fable a aussi un but argumentatif pas toujours bien perçu par le lecteur. Nous cherchons donc à savoir si la fable est un moyen efficace d’argumenter ou non. Nous allons d’abord voir plusieurs qualités et défauts de l’argumentation

et philosophe du XVIIe siècle. Il est connu entre autres pour avoir influencé intellectuellement la Révolution Française grâce à son œuvre « Le Contrat social ». Dans le livre deux de son roman « Émile ou de l’éducation », Rousseau critique les morales des fables de Jean de La Fontaine du fait de la mauvaise interprétation que les enfants peuvent en faire, tout en affirmant qu’elles sont bonnes pour les adultes. Pensez-vous, comme Rousseau, que les fables ne sont pas destinées aux enfants ? Nous

transmettre de façon divertissante un enseignement de façon explicite ou implicite. 3) Les constituants de la fable: - Les constituants du divertissement: - une versification variée: *hétérométrie - Un récit vivant, dynamique: *schéma narratif raccourci - Des personnages types: *animaux, végétaux, objets, humains - Des dialogues - Des descriptions pittoresques 4) Éléments de l’enseignement: Une morale explicite ou implicite, mais aussi des éléments de l'enseignement dispersé

Quand on est gamin, toutes les histoires qu'on nous raconte doivent comporter une partie « morale  finale » de manière à nous apprendre quelque chose. Que ce soit par le drame ou par l'heureux dénouement, il est quasiment impossible d'échapper à la petite leçon de fin d'histoire qui, dans l'idéal, doit nous hanter toute notre vie et nous aider à nous constuire de façon équilibrée. Cela va du simple « Soit gentil avec papa-maman » au « Si ta vie est semée d'embuches, n'aie crainte, tout finira par