Moralité Début Fable

à 3 classes différentes : 1L, 1ECO, 1STLB. Elle permet de réviser en début d’année les exercices de l’écrit de l’EAF : • La question sur le corpus • Le commentaire • Le sujet d’invention • La dissertation Thématique : L’image de la femme dans la littérature du XVIIème au XXème siècle I. Première séquence : Groupement de textes, Lectures analytiques Séries générales • • • • • LA FONTAINE, Fables (16681693), livre VIII, fable 6, "Les Femmes et le Secret". MOLIERE, Les Femmes savantes (1672), I

de guerre de tradition orale, chantés par un jongleur qui s’accompagne d’un instrument de musique (luth ou vielle) pour un public de chevaliers. Elle relate les exploits des rois et chevaliers francs légendaires. Elle est attestée depuis le début du XIème siècle semble avoir perduré jusqu’à la fin du XIIème siècle. Elle est composée en vers octosyllabes ou décasyllabes à rimes plates (aabb) ou suivies (aaa… bbbb…). Poèmes épiques, elles ont pour but de glorifier la chevalerie franque

deux mille mètres, de se fixer cet objectif, en s’obligeant dès le début à ne pas courir cent mètres en moins de trente secondes, et en ne se « lâchant » que dans les deux dernières minutes ! L’auteur en question courut donc à la montre, se laissa au départ distancer, et, peu à peu, remonta le peloton fatigué, le doubla et obtint une note qui l’étonna lui-même. Il n’était pas inutile de s’attarder ainsi sur ces histoires : leur moralité est que, pour réussir, il faut d’abord, et dès l’entraînement, régler

descendre une fin d’après-midi de l’été, quand dans le Nord les charmilles vite solitaires et profondes, entre lesquelles est intercalée et perdue la gare, sont déjà roussies par la fraîcheur de l’hiver ». IV- Hugo, Les Misérables, Première partie, début du livre II, chap I : énigmes sur le nom propre Cette structure d’énigme sur le nom propre d’un personnage entrant dans une ville et appelé tantôt « l’homme », tantôt « le voyageur » // beaucoup d’incipits romanesques au XIX°. Toutes sortes de procédés

tranquillement, ils allaient voir si le déjeuner était prêt. En attendant, ils récitaient clairement, en y mettant le ton, quelques sentences retenues de la leçon. Cependant, Monsieur l'Appétit venait, et ils s'asseyaient à table au moment opportun. Au début du repas, on lisait quelque histoire plaisante tirée des anciennes légendes, jusqu'à ce qu'il eût bu son vin. Alors, selon l'envie, on continuait la leçon ou bien ils commençaient à converser joyeusement ensemble : les premiers temps, ils parlaient

roman : œuvre d’imagination en prose qui présente des personnages donnés comme réels. La nouvelle : récit généralement bref et présentant des personnages peu nombreux. Le conte : récit de faits et d’aventures imaginaires destinés à distraire. La fable : petit récit en vers ou en prose destiné à illustrer un précepte (formule qui exprime un enseignement, une règle). La parabole : récit allégorique d’un livre saint sous lequel se cache un enseignement. Qu’entend-on par « récit » ? Il s’agit

de par des personnages représentant un stéréotype du mauvais enfant. 1 Élaine Moss in The Times I. Un conte moral Le conte est un récit généralement bref d'aventures merveilleuses, composé à des fins de divertissements. Contrairement à la fable, il n'y a pas de but pédagogique. D'origine populaire, on le connait à travers une tradition orale. Ses protagonistes sont en premiers lieux des êtres surnaturels comme des sorcières, des ogres, des fées ou des gnomes. C'est un genre d'une extrême

ou verbal chez les classiques) Solomon Marcus dégage le “degré de verbalisation du conflit” qui est le nb de présence avec répliques d’un perso / le nb de présences scéniques total de ce perso. I.B.2 L’exposition Présentation du conflit dès le début de la pièce  Problème du dramaturge : concilier cette nécessaire explication et l’action, pas de temps d’arrêt trop long. Exemple La Mère coupable I2 Figaro (à Suzanne qui lui reproche de lui rappeler des choses qu’elle connaît déjà) “Encore faut-il

ce qu’on peut adapter. ¿Cómo lo adapto ? ¿Es creible ? - Ne jamais imiter une ouvrage déjà écrite dans la langue française. Les règles générales 1) La vraisemblance, est une règle général qui s’applique à : 1. La Fable 2. Les 3. La représentation Les poètes doivent dire, non ce qui était arrivé (la vrai histoire) mais le possible selon la nécessité et la vraisemblance. Le classicisme distingue : 1. Le réel : ce qui s’est passé

merveilleux 112) Définition structuraliste du conte merveilleux 113) Quelques caractéristiques essentielles du conte : 8 12) Différences avec d’autres types de récits proches : 121) Le mythe : 122) La légende : 10 123) L’épopée 124) La fable 11 125) Les autres types de contes 13) Le conte, issu de la tradition orale : 131 Les sources populaires orales dans les contes de Perrault 132) Les sources du recueil des frères Grimm 14) Le conte inventé 141) Andersen 142) Les écrivains