Morphine

CODEINE® 1 cp Patient avec trouble de la conscience ou/et trouble de la déglutition - Si patient ? 50 kgs et/ou ? 75 ans avec créatininémie ? 12 mg/l : SAP de Chlorhydrate de Morphine 10 mg/24h en S/C + interdose de Chlorhydrate de Morphine 2,5 mg toutes les 4h si nécessaire - Dans les autres cas : Chlorhydrate de Morphine 2,5 mg en S/C à renouveler toutes les 6 heures si nécessaire - Dans les 2 cas : poursuite ATG palier I à dose optimale (PARACETAMOL IV ou IR 1g x 3/24h) SURVEILLANCE : Réévaluation

production de morphine ou de matières premières utilisées en pharmacie. - soit illégalement pour la production d’opium. Lorsque l’on incise la plante au niveau de la capsule, elle sécrète un latex blanc. On le laisse sécher au soleil afin d’obtenir une résine brune : l’opium brut. De l’opium à la morphine. Ce latex une fois séché est mélangé à de l’eau chaude puis filtré. Il est ensuite soumis à une succession de réactions chimiques pour obtenir la morphine. De la morphine à l’héroïne

non Barbituriques. Ils entrainent une dépression respiratoire, une hypothermie. Ils ne sont pas analgésiques, myorelaxants Analgésie : Suppression de la douleur MORPHINIQUES Produit de base : la Morphine ; on utilise le FENTANYL et ses dérivés RAPIFEN et SUFENTA (action 100 fois > à la Morphine) Action sur le SNC, diminution de la FR (voire apnée) et diminution reflexe toux donc tolérance à l’intubation, bronchoconstriction, nausées, vomissements, constipations, rétention urinaire, myosis

Caféine (potentialisateur) ; équivalent 1mg morphine (gélule, 3 à 5/j, maxi 10) ou 3 mg de morphine (suppositoire, 2 à 3/j, maxi 6). Agonistes/antagonistes : agonistes des récepteurs µ principalement, antagonistes des autres morphiniques Buprénorphine (Temgesic®) 0,3 à 0,6mg toutes les 6-8h par voie IV, IM ou SC (voie médullaire possible), 0,2 à 1mg/prise; 3 fois/24h per os. Nalbuphine : 10-20mg SC, IV ou IM toutes les 3-6h, maxi 160mg/24h. En aigu Morphine : forme LI et LP per os, formes injectables

trentaine d'alcaloïdes(2), dont 10 % de morphine ! Morphine que l'on peut récupérer par une simple cristallisation de l'opium avec de la soude.  C'est pour la morphine que le pavot somnifère (aussi appelé pavot à opium) est cultivé, officiellement tout du moins : la morphine restant encore aujourd'hui le meilleur analgésique(3)connu. L'histoire ne s'arrête pas là ! La cristallisation de la morphine avec de l'anhydre acétique donne le chlorhydrate de diacétyl-morphine, plus connu sous le nom… d'héroïne 

de prendre une substance Développement: Origine: Les opiacés désignent l'opium et ses dérivés, substances obtenue à partir de la plante de pavot. Les principaux dérivés de l'opium sont la morphine ( substance chimique ayant l'aspect d'une poudre blanche ) et l'héroïne ( dérivé chimique de la morphine et ayant aussi l'aspect d'une poudre blanche ). Effets: L'effet en début de consommation est celui d'une euphorie intense (flash), tout particulièrement pour l'héroïne, associée à une sensation

morphiniques Situation de souffrance physiologique vécue le 13 mars 2014 La situation que je vais analyser concerne la prise en charge infirmière d’une patiente qui souffre physiquement et qui s’avérait sujette à une possible dépendance à la morphine. Cela amène plusieurs axes de réflexion à propos de cette prise en charge en milieu hospitalier. Je l’ai choisi car cette étude nécessite de se renseigner sur les mécanismes d’actions, notamment d’absorption, des thérapeutiques morphiniques ainsi

générale/médecine spécialisée, champ clinique/champ de la recherche…) en relation avec les instances de régulation de l’État. La morphine La morphine est une substance qui contrôle la douleur et se fixe sur les récepteurs opioïdes (mu, delta, kappa), situés au niveau des synapses. Elle imite un neuromédiateur naturel, appelé endorphine. En se fixant sur les récepteurs mu, la morphine enlève l'inhibition de sécrétion de GABA , ce qui augmente la libération de la dopamine (un neuromédiateur qui participe à

ou chez soi, seul, en couple ou avec des amis. Les effets varient donc selon la nature de la drogue : Les dépresseurs : Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines...), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine, etc.). Ces produits entraînent une sensation de détente, de bien-être et de rêve ainsi parfois qu'une perte d'inhibition.  Les stimulants : Tabac, Cocaïne, Crack, Amphétamines, Médicaments stimulants et dopants, Ecstasy, GHB. Ces produits favorisent

B/La dépendance à la morphine (La même chose que pour petit 1. mais seulement pour la morphine) Dépendance Il existe une dépendance à la fois psychique et physique à la morphine qui se développe souvent rapidement après l’arrêt. Ainsi l’arrêt brutal à la morphine d’un morphinomane se traduit par un manque physique et psychique. Ces symptômes de dépendance apparaissent généralement seulement après 8 à 12 heures qui suivent l’arrêt. En effet ce phénomène de servage est du a une accoutumance, une