Mort civile

SOMMAIRE SOMMAIRE DE LA PARTIE SOMMAIRE DU TITRE Il s’agit d’étudier deux moments biologiques : la naissance et la mort. Ce principe supporte un nombre de limite. I/ Le principe A) L’exposé du principe L’enfant reçoit la personnalité au moment de la naissance mais cette personnalité n’est pas complète. Elle le sera lorsqu’il ne sera plus soumis à la protection (mineur). Cependant une distinction existe : * La personne est un sujet de droit. C’est un acteur sur la scène juridique

droit des personnes mais pendant longtemps, ce principe ne se trouvait dans aucun textes. Il a fallut attendre la loi du 29 juillet 1994, pour que ce principe relatif au respect du corps humain, soit expressément affirmé dans le code civil. L'article 16 du code civil dispose « la loi assure la primauté de la personne, interdit toutes atteinte à la dignité de celle ci et, garantit le respect de l'être humain dés le commencement de sa vie. ». C'est le premier article du chapitre relatif au corps humain

INTRO « la mort du sujet » La mort c'est la cessation de la vie, elle n'est pas une notion juridique et bien que sa constatation reste parfois difficile, elle est définie juridiquement par le Code de la santé publique article R 1232-1. Elle désigne la fin du sujet de droit, c'est à dire la mort de tout être susceptible d'être titulaire de droits subjectifs et d'obligations. Quelque soient leurs sexe, race, nationalité... chaque être humain acquiert à sa naissance, s'il est vivant et considéré

par le droit objectif Le droit subjectif : ensemble de règle qui a pour but d’organiser la vie en société, entre les individus. Les droits objectifs : Prérogatives dont peut se prévaloir les personnes prises individuellement (Article 144, Code civil) : permet aux personnes ayant atteint la majorité de 18 ans, de se marier. Il a une prérogative de dire qu’il a le droit de se marier. Droit objectif On a deux sortes de personnes, totalement différentes : Personnes physique : êtres humains Personnes

personnes physiques aux personnes morales. TITRE 1 : LES PERSONNES PHYSIQUES : la personne physique est l'individu, l'être humain tel qu'il est pris en considération par le droit. Les personnes constituent le livre 1er du code civil où il y a notamment l'article 16 du code civil aux termes duquel la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantie le respect de l'être humain dès le commencement de sa vie. Cet article n'existe que depuis 1994. il convient

d’être titulaire de droits et de les exercer et met en jeu la responsabilité (civile et pénale). Il existe deux catégories de personnes : les personnes physiques et les personnes morales. La première est le simple fait de l'existence de l'individu. Tous les êtres humains, et seuls les êtres humains, sont des personnes physiques. L’être humain acquiert sa personnalité juridique à sa naissance et ne la perdra qu’à sa mort. La deuxième est un groupement de personnes et/ou de biens. Une personne morale

les droit des personnes physique Section I: la personnalité juridique La personnalité juridique est l'aptitude à être titulaire et exerce des droits elle permet de demande le respect de celle ci . Elle est présenté à la naissance et s'éteint à la mort . 2 : l'acquisition de la personnalité juridique Dans droit français seule les êtres humain ont la personnalité juridique par conséquent les animaux en son dépourvu mais cela m'empêche pas le droit de leur donner des norme protectrice L'être humaine

contre les mauvais traitements, qualifiés de délits par le Code Pénal. Chapitre 1 : L’existence juridique des personnes physiques  La reconnaissance de la personnalité juridique est exclusivement fonction de données biologiques : la vie et la mort. S’agissant de l’existence, 2 séries de difficultés doivent être résolues : • La durée de l’existence de la personne juridique, à partir de quand et jusqu’à quand le droit considère t’il la personne humaine comme existante. • Le doute sur l’existence

y avoir anthropomorphisme et certaines fois l’animal peut être un objet de droit. Dans le Code Civil, l’animal est une chose particulière et le Code Pénal punit leur maltraitance. Cela sert dans les divorces et pour les chiens d’aveugles par exemple. 2) Le fœtus & l’embryon : Pour la Cour de Cassation, l’enfant est réputé né chaque fois qu’il y va de son intérêt. Néanmoins, dans le Code Civil, il n’est pas définit comme un enfant même s’il existe un certain nombre de règle qui régissent

Première partie : La personne humaine C’est une notion complexe qui est ajd’hui à la recherche d’une identité. Opposition entre état des personnes (état civil) et toute une série de libertés individuelles qui seront autant de droits subjectifs (droits à faire quelque chose). Le Droit va chercher à protéger cet état d’identité mais il va essayer aussi de garantir l’exercice de ces libertés. Comment reconnaître à la fois le droit au respect de la vie et le droit de la mère d’interrompre sa grossesse