Mort De Gervaise

La Mort dans l’Assommoir Zola se sert d’intermédiaires pour prouver sa théorie du déterminisme et du poids du milieu. En l’occurrence, ici, Gervaise joue ce rôle d’intermédiaire entre ces théories et la mort. Aussi Zola résume-t-il la finalité de son roman lors de son ébauche en disant : « Là, un drame pour finir. Je fais mourir Gervaise tragiquement, ou plutôt je la montre mourant à 41 ans, épuisée de travail et de misère. » I/ La représentation de la mort dans l’Assommoir 1. Les lieux

LA MORT DE GERVAISE (pag 65 esabac en poche) L’ASSOMMOIR Cet extrait appartien à l’Assommoir qui a été publié par Zola en 1876, C'est un roman totalement consacré au monde ouvrier. L'écrivain y restitue la langue et les mœurs des ouvriers, tout en décrivant les ravages causés par la misère et l'alcoolisme. Au fil du roman, l'alambic devient le monstre dévorant ses victimes. C'est cette machine qui va chaque fois enlever un peu plus de bonheur

La mort de Gervaise . Gervaise est donc le personnage au centre de cet extrait, c'est un blanchisseuse qui croyait avoir enfin trouvé le bonheur qu'elle mérite au coté de Coupeau un ouvrier-zingueur, cependant ce dernier vient de mourir de crises de délire dues à l'alcool. Gervaise se retrouve obligée de vendre son petit commerce elle est donc réduite à la mendicité et elle sombre alors dans la misère. !LECTURE!Ce passage décris bien la lente décente de Gervaise vers la mort

La description de la mort de Gervaise, qui est la mère de Nana, caractérise la déchéance qu’elle a subit lentement, sa lente chute dans le gouffre de l’alcool et de la misère. Nana a subit la même descente, pourrie par les vices qu’elle accumulait. Gervaise est alcoolique ; l’alcool est aussi beaucoup présent chez Nana. La boisson est un moyen pour oublier dans le cas de Gervaise : elle dépense le peu d’argent qu’elle possède dans la boisson « Dès qu’elle possédait quatre sous, elle buvait et battait

Situation Nous sommes ici au dernier chapitre du roman : Coupeau a été interné à l'asile Sainte-Anne où il meurt d'un delirium tremens. Gervaise a assisté à ses crises d'hallucination et elle est revenue rue de la Goutte-d'Or. Les locataires s'amuseront à la voir imiter les dernières gesticulations de son mari. Ce passage évoque la fin misérable de Gervaise, avec toutes les caractériqtiques de l'écriture naturaliste. Ier axe : L'expression de la déchéance : L'écrivain naturaliste fait une

Le thème évoqué ici est le thème de la mort lente et douloureuse de Gervaise ainsi que de la misère de la société. Dans ce passage plusieurs types de registres sont utilisés. Le registre tragique car la longue agonie de Gervaise la conduit à une mort lente et douloureuse, puis le registre dramatique qui montre que la situation est poignante et émouvante, et qui évoque la tristesse de la mort. Pour finir, le registre pathétique avec la description de sa mort dans des conditions pitoyable et misérable

Explication de texte : Emile Zola, « La mort de Gervais (excipit) », L’assommoir (1877) Introduction : Je vous propose l’étude d’un extrait tiré du roman L’assommoir d’Emile Zola, paru en 1877. Zola faisait paraître son roman chapitre par chapitre dans des journaux tels que Le Bien public ou la République des Lettres, pratique courante à l’époque pour les auteurs. Ce roman est guidé par le genre littéraire de Zola qui est le naturalisme. Il cherche une retranscription de la vérité, avec un

famille ouvrière puisque l’héroïne, Gervaise, est la femme d’un ouvrier. Il cherche à montrer la misère dans laquelle vivent ces familles, leurs conditions de vie. Cette dernière partie de L’Assommoir est consacrer a la déchéance de Gervaise, une blanchisseuse, qui fait partis du prolétariat abandonnée de tous, et qui va sombré dans alcoolisme, nous somme vers la fin du livre. nous allons répondre a la problématique: Comment Zola nous montre la déchéance de Gervaise? Nous allons commencer par analyser

temps après. Gervaise a assisté à ses crises d’hallucinations et se met à les imiter pour les montrer à ses voisins, ces imitations deviendront une habitude. Ce passage évoque la fin misérable de Gervaise, avec toutes les caractéristiques de l'écriture naturaliste. Quels procédés Zola exploite-t-il dans ce dernier chapitre pour illustrer le naturalisme ? Répondre à cette question suppose d’étudier l’expression de la déchéance, le regard que porte les autres face au personnage de Gervaise, et la futilité

Une mort lente, interminable et dégradante 2- Une destinée pitoyable 3- Une parodie d'oraison funèbre Plan: I - Une mort lente, interminable et dégradante A- La lenteur Temps de la narration une page, en opposition au temps de la fiction ("des mois"). Imparfait durée + habitude ⇒ "mourrait" un peu tous les jours. Tous les jours, Gervaise perd un peu de vie. "La mort devait la prendre petit à petit" : mort annoncée, mais on ne voit pas la mort elle-même.Même vivante, Gervaise paraît