Mort De Léopoldine

Le livre IV des Contemplations, Pauca meae, expose les sentiments éprouvés par Victor Hugo après la mort de sa fille Léopoldine. Les textes sont regroupés par thèmes et selon une progression logique : d’abord le désespoir, puis la nostalgie, la méditation sur la mort, enfin l’acceptation et l’espoir d’une vie après la mort. Le poème III, Trois ans après, est le poème du désespoir et de la révolte contre Dieu. Il se présente comme une réplique de l’auteur à ceux qui tentent de le consoler

VI ils sont dédiés aux souvenirs de l’enfance de Léopoldine et du honneur perdu. POEME V: DE QUOI PARLE CE POÈME? Dans ce poème Victor H nous parle sur son passé. A travers celui-ci il décrit sa douleur mais il évoque également des moments de bonheur lorsqu’il était joyeux et sa fille étais présente.(vers 3) “Je l’attendais ainsi qu’un rayon qu’on espère” On voit reflété tout au long du poème l’amour de Victor vers Léopoldine. (vers 24)“je n’étais jamais gai quand je la sentais

se révèle soucieux et douloureux. Le rendez-vous n'est pas celui de la vie, mais celui de la mort. Le choc du deuxième hémistiche du vers 11 conduit à une lecture rétrospective. Celle-ci est marquée par la présence obsédante de Léopoldine, que la poésie célèbre et fait, en quelque sorte, échapper à la mort. L'emploi du présent d'actualité renforce cette idée ainsi évoquée, avec certitude, Léopoldine échappe à la disparition. La négation de tout ce qui n'est pas la jeune fille traduit, implicitement

de 158 poèmes rassemblés en six livres. La plupart de ces poèmes ont été écrits entre 1841 et 1855, mais les poèmes les plus anciens de ce recueil datent de 1830.Les Contemplations est un recueil du souvenir, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée . D’abord l’expérience de la douleur le fait communier avec tous ceux qui souffrent

poèmes les plus anciens de ce recueil datent de 1830.Les Contemplations est un recueil du souvenir, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée. Ce recueil est également un hommage à sa fille Léopoldine morte noyée dans la Seine. I) BIOGRAPHIE : Victor, Marie Hugo est le fils du général d'Empire Joseph Léopold Sigebert Hugo (1773 1828)

Aujourd’hui ». Ce quatrième livre est consacré à sa fille Léopoldine morte noyée dans la Seine le 4/09/1843. Dans le poème en alexandrins « Oh ! je fus comme fou », Victor Hugo évoque ce qu’il a éprouvé à la mort de sa fille et comment il a accusé le coup. (LECTURE DU POEME). Ce poème s’articule autour de 3 mouvements. Le premier du v.1 au v.6 témoigne de la tristesse et du désespoir vécus par le poète après l’annonce de la mort de Léopoldine. Le deuxième mouvement (v.7 au v.16) exprime l’instant

qui en fait la valeur affective et le drame. Le rendez-vous n'est pas celui de la vie, mais celui de la mort. Le choc du deuxième hémistiche du vers 11 conduit à une lecture rétrospective. Celle-ci est marquée par la présence obsédante de Léopoldine, que la poésie célèbre et fait, en quelque sorte, échapper à la mort. III. LE POUVOIR D'IMMORTALITÉ DE LA POÉSIE La négation de la mort passe par plusieurs procédés propres au langage poétique, et mis en relief par les techniques de versification

peine de mort, Dernier jour d’un condamné), il s’impose aussi comme un des plus grands poètes de son temps. Son recueil Les Contemplations est publié en 1856 pendant son exil sur les îles anglo-normandes de Jersey et Guernesey sous le règne de Napoléon III. L’année 1843 marque un tournant dans la vie d’Hugo. En effet, le 4 septembre, sa fille aînée se noie avec son mari. La douleur du père est atroce : elle reste d’abord muette ; lorsqu’il l’exprime, c’est en composant des poèmes ; aussi, la mort de Léopoldine

Marie-Victor Naissance : Le 26 Février 1802 à Besançon (Nord-Est France). Mort : Le 22 Mai 1885 à Paris (Âge de mort : 83 ans) Poète, Ecrivain, Critique, Journaliste, Romancier, Homme politique (député en 1848) et Intellectuel Dramaturge. Sa femme : Adèle Foucher épousée le 2 octobre 1822, en l'église Saint-Sulpice. Ses enfants : 5 enfants Léopold (16 juillet 1823 10 octobre 1823) 3 mois Léopoldine  (28 août 1824 4 septembre 1843) 19 ans Charles  (4 novembre 1826

les plus anciens de ce recueil datent de 1830. Les Contemplations est un recueil du souvenir, de l’amour, de la joie mais aussi de la mort, du deuil et même d'une certaine foi mystique. Le souvenir, surtout, y prend une place prépondérante, puisque Hugo y expérimente le genre de l'autobiographie versifiée. Ce recueil est également un hommage à sa fille Léopoldine Hugo, morte noyée dans la Seine. Sommaire [masquer] 1 Structure du livre 2 Les Contemplations comme recueil de l’amour 3 Le lyrisme