Mötley Crüe

À quoi sert un barrage ? De l’irrigation à la navigation, la production d’énergie ou à l’alimentation en eau potable, les barrages remplissent un rôle essentiel promis à un bel avenir. L’eau est une ressource cruciale, au centre de nos activités.... L’irrigation est une des applications les plus anciennes et les plus courantes des barrages. Aujourd’hui encore, près de la moitié des ouvrages dans le monde sont construits dans ce but. Historiquement, la première technique à se développer fut celle

D'un débit de 30 000 m³/s, le fleuve Bleu est le troisième plus long fleuve du monde après l'Amazone et le Nil. Il prend sa source au Tibet, à plus de 6 600 mètres, dans les monts Tanggula, dans un paysage extrême de glaciers et de terres enneigées. Il parcourt 5 800 km avant de rejoindre la mer de Chine orientale, au nord de Shanghai. Lors de son parcours, il reçoit les eaux de plus de 700 affluents et draine un bassin de 1,8 millions de kilomètres carrés ,déverse près de mille milliards de mètres

Origines des pierres (théories ) Le point de départ de tous les blocs de pierre , est la carrière dans laquelle les ouvriers cassaient ces blocs dont le poids moyen a été estimé à 2,5 tonnes. Pour cela ils perçaient des trous dans lesquels des coins de bois étaient placés. Une fois arrosé, le bois se dilatait et faisait éclater la roche . Sur place, plusieurs  hommes travaillaient le bloc pour lui donner les bonnes mesures et les formes voulues par l'architecte. Acheminés sur des traîneaux de bois

Mésopotamie. L’ampleur et la brutalité des crues sont spectaculaires. Alors que le débit moyen du Tigre est de 1410 m3/s à Bagdad, le fleuve a enregistré des crues de 13 000 m3/s. Pour l’Euphrate à Hit, ces valeurs sont respectivement de 775 et 5 200. La crue maximale théorique est estimée à 8 000 m3/s. Ces crues sont très supérieures aux possibilités d’évacuation des lits qui ne dépassent pas 2 000 m3/s pour l’Euphrate et 8 000 pour le Tigre. La gravité de ces crues est renforcée par le fait qu’elles se

LES  CENTRALES  HYDRAULIQUES       Une  centrale  hydraulique  produit  de  l’électricité  grâce  à  une  chute  d’eau   entre  deux  niveaux  de  hauteurs  différentes,  qui  met  en  mouvement  une   turbine  reliée  à  un  alternateur.  (Barrages)   Les  centrales  hydrauliques  sont  les  seules  qui  ne  fonctionnent  pas  en   continu.  Lors  d’un  besoin

une multitude de biotopes, organisés suivant le gradient hydrométrique mais régulièrement perturbés par l’alternance saisonnière des crues et des étiages. Alors qu’en période d’étiage, les cours d’eau sont restreints à leur lit mineur, en période de crue, ils recouvrent les grèves, les îles, les boires (bras morts), les ripisylves de saules et de peupliers ; plus rarement, et s’ils ne sont pas endigués, ils s’étendent au lit majeur (ou plaine alluviale), recouvrant alors les forêts alluviales, les

rétention long de 660 km est monté de quatre mètres en 24 heures. Il n'avait toutefois pas atteint la capacité maximale fixée à 175 mètres. Les vannes avaient déjà dû être ouvertes pour évacuer jusqu'à 70 000 mètres cubes d'eau par seconde. Cette première crue a été, jusqu'ici, la plus forte que le barrage ait rencontré depuis sa mise en service. Mais lundi, les ingénieurs du barrage ont  indiqué qu'après avoir baissé de quelques centimètres durant le week-end, le niveau d'eau du réservoir a battu un nouveau

c’est-à-dire que la distribution des espèces (animales et végétales) sera gouvernée par les stratégies (alimentaire, de survie, de développement) mises en place par chacune. Ainsi, une perturbation naturelle ou anthropique (modification du débit, pollution, crue) en amont du cours d’eau, aura des répercussions au niveau biologique en aval. C’est pourquoi la construction d’un barrage nuit au continuum fluvial. - Maladies : Dans les zones où les maladies hydrique tropicales sont endémiques, la construction

puis son meurtre qui explique en partie le départ de sa femme ne se justifie pas. En outre, les fugitifs dans leur fuite se heurtent à un fleuve mugissant. Ici aussi, le texte précise d’une part que les pluies hivernales avaient provoquées une crue des eaux du fleuve le rendant impraticable au point même que l’activité de pêche s’est interrompue. D’autre part, on justifie la violence des courants d’eaux du même fleuve par le fait que son génie est irrité. Ainsi a-t-on pu sacrifier une vie humaine

La récurrence des inondations dans le midi : catastrophe naturelle ou erreur de gestion environnementale ? Les inondations dans le midi sont récurrentes car elles reviennent très régulièrement et sont dues à l’abondance de précipitations dans un laps de temps très court. La récurrence des inondations est-elle due à des erreurs de gestion environnementale ou peut-on parler de catastrophe naturelle ? Pour répondre à cette question on étudiera dans un premier temps les erreurs de gestion