Moucharabieh

conférences & banquet : Style théâtre Banquet Réception Style théâtre Banquet Réception Style théâtre Banquet Réception Style théâtre En U Style théâtre En U 300 200 450 140 110 150 40 30 35 15 10 15 10 Tente IFRANE « 400 m² » HALQA « 172m² » MOUCHARABIEH « 53m² » ISSARAG « 26m² » GUARA « 26m² » Fiche d’identification : Raison Sociale Adresse Patente C.N.S.S Telephone Fax Chaine Hotelière E-mail Site Web LE MERIDIEN N'FIS hôtel boulevard Mohamed VI -40000 Marrakech –Maroc45118118 104 1904

outrepassé Minerais⇒ mosaïque et bois très travaillé (décors de stuc⇒ travaillé de manière très très fin). 6) Medersa Attarine, Maroc : patio⇒ mosaïques de céramique sur la partie inférieure et décors de stuc sur la partie supérieure. On réserve le Moucharabieh à la fenêtre ajourée. 7) L’alhambra, grenade : monument rescapé de l’espagne islamisée⇒ architecture militaire défensive Petite ville fortifiée mais aussi connue pour son palais, c’est fou que les détails de stuc se retrouvent vraiment sur toute

‘équipement apparaît comme un demi-cube noire comme une référence au quadrilatère noir de Malevitch. De jour, rien ne filtre de la forme compact, à part quelques façades vitrées doublés par un caillebotis noir. La nuit, le caillebotis se transforme en moucharabieh laisse passer les lueurs colorées des éclairages. L’organisation intérieure symétrique est simple et tramée. Banquets, conférences, spectacles de danse et de théâtres peuvent y alterner rapidement. le fond de scène peut s’ouvrir sur l’extérieure

du projet : _ Notre projet dans son ensemble est traité d’un style architectural moderne avec des baies vitrée pour leur donné une certaine transparence et légèreté. _ On a aussi introduit quelque légère traitement arabo-moresque matérialisé en moucharabieh a l’issue de donner une touche locale du projet et le rendre territorialement identifiable. 88 Complexe touristique à Marsat Ben M’hidi APPROCHE TECHNIQUE 89 Complexe touristique à Marsat Ben M’hidi 1-Introduction : Le rôle du système structurel

On utilise du BRV, un béton renforcé en fibres de verre. On prend en compte l'importance de la vie privée dans les pays arabes, tout en optimisant l'ombrage et réduisant le besoin de lumière artificielle et de climatisation et en s’inspirant du moucharabieh arabe. Figure 60: Traitement des façades à Masdar City [2daydubai.com] Centre d’interprétation du patrimoine vernaculaire du Djérid | Approche analytique 62 5. Energies propres, sûres et renouvelables L'énergie solaire sera exploitée au

Jussieu et la rue.Lafaçade tournée vers l’intérieur de l’îlot, dont le décorum, à l’origine innovation technique qui s’est avéré plus tard inapproprié et gênant pour les utilisateurs de la bibliothèque, est une juste adaptation contemporaine du moucharabieh qui voit dehors en cachant dedans. Malgré cette référence à la culture arabe, il reste dans son utilisation et sa spatialité un bâtiment du post-modernisme occidental. Le nord sait infléchir l’image de sa contemporanéité quand il consacre

la façade tournée vers l’intérieur de l’îlot, l’innovation technique qui compose le décorum s’est avérée plus tard inappropriée et gênante pour les 89 utilisateurs de la bibliothèque. Elle est pourtant une juste adaptation contemporaine du moucharabieh qui voit dehors en cachant dedans. Malgré cette référence de façade à la culture arabe, il reste dans son utilisation et sa spatialité un bâtiment du post-modernisme occidental. Le Nord sait infléchir l’image de sa contemporanéité quand il consacre

L’après-midi, il n’y avait aucun client dans cet établissement nommé l’Aero, un bar plutôt qu’un café, si l’on en jugeait par ses boiseries claires, son plafond à caissons, sa façade de bois clair elle aussi, avec un vitrail protégé par une sorte de moucharabieh. Un homme brun d’une quarantaine d’années se tenait derrière le comptoir et lisait un journal. Au cours de l’après-midi, il lui arrivait de disparaître par un petit escalier. La première fois, Daragane l’avait appelé en vain pour régler sa consommation

Kaboul, hormis la misère et les affronts ? Comment a-t-elle pu accepter d’enfiler ce monstrueux accoutrement qui la néantise, cette tente ambulante qui constitue sa destitution et sa geôle, avec son masque grillagé taillé dans son visage comme des moucharabiehs kaléidoscopiques, ses gants qui lui interdisent de reconnaître les choses au toucher, et le poids des abus ? Pourtant, c’est exactement ce qu’elle redoutait. Elle savait que sa témérité allait l’exposer à ce qu’elle déteste le plus, à ce qu’elle

estampes où des guerriers armés de lances apparaissent en haut de talus moins grands qu’eux. Nous traversons au galop cette merveilleuse petite ville, une des plus pittoresques de France, avec ses balcons sculptés, arrondis, s’avançant comme des moucharabiehs jusqu’au milieu des rues étroites, avec ses vieilles maisons noires aux petites portes, moresques, ogivales et basses, qui vous reportent au temps de Guillaume Court-Nez et des Sarrasins. À cette heure, il n’y a encore personne dehors. Le quai