Mousseline

à ceux qui passent dans l’ombre. Faut-il y voir ici une allusion aux lecteurs ? Vers 7 : « Les sentiers bruns sont pleins de blanches mousselines; » : l’adjectif « bruns » renvoyant à l’obscurité contraste avec l’adjectif « blanches ». La métaphore « blanches mousselines » est une évocation métonymique des femmes suggérant leur sensualité. Les blanches mousselines désignent à la fois l'étoffe et, par métonymie, les promeneuses portant des robes de mousseline.Vers 8 : « L'herbe s'éveille et parle

redresser le tissu avant d'étaler le patron. Pour redonner sa forme au tissu: 1. Prenez deux coins opposés assez distancés et étirez en diagonale. 2. Refaites de même sur toute la longueur du tissu. 3. Si ce n'est pas assez, roulez le tissu dans une mousseline non blanchie, en évitant tout nouveau faux pli et essorée et attendez une heure. 4. Étirez-le maintenant et laissez sécher à plat. Décatir ou comment prévoir le rétrécissement Certains tissus contenant de la laine en plus ou moins grande proportion

détient beaucoup de marques: thé blanc, thé rouge, thé or, pure ceylan, earl grey, lipton yellow, • Lipton sir thomas : gamme qui est une invitation au voyage ces thés répondent à un désir d’évasion, deux formats : thé en vrac et sachets mousseline. Le sachet mousseline est une spécificité Lipton qui conserve les feuilles et leur redonne toutes leur saveur. • Lipton Tchaé, les thés parfumés : Lipton a révolutionné le marché des thés parfumés en mélangeant de grandes feuilles de thé à de gros morceaux

attirant, ils sont intrigués. La bosse que il portait sur le dos semble imposante au point de «[…]caresser la nuque »du bossu . Ses vêtements d’une décence des plus rigoureuses avec un costume noir complet avec des manchettes et des jabots de mousseline plissées d’une éclatante blancheur impose encore plus la présence d’Esope vis-à-vis des autres personnages et du narrateur. Il parlait d’une petite voix qui « grinçait comme une crécelle d’enfant » Le portrait moral : Dans ce passage, Esope

à cette époque. Les égyptiens avaient précédé les juif dans l'art de broder. Et leur on enseigné la pratique de la broderie ceux sont les caravane venant du Gange on appris au peuple du Nord de l'Asie puis aux égyptiens à utiliser le coton. Les mousselines confectionnées alors aux Indes étaient si fines et si transparentes qu'on les appeler brouillard du soir ou tissu d'air. Elles étaient souvent soigneusement brodées. Les grecs on eux découverts le coton au 4ème siècle avant Jésus-Christ et ils

aux yeux de son mari représente pour Clémence des « devoirs » et « soins ». On est donc loin de l’improvisation que laisse supposer l’adverbe « simplement ». Le vêtement a son importance : elle est «parée pour la nuit d’un élégant peignoir et de mousselines. Elle se parfume. L’entrée de madame Jules dans la chambre nuptiale est soigneusement mise en scène : le mari n’a pas accès au cabinet de toilettes et ne voit rien de ce qu’elle y fait. Pour lui, cela reste « mystérieu[x] ». Enfin, par le charme

demandant ce qu’il va se passer : Le trafiquant va t-il se réveiller et se défendre ? Tchen va t-il être vu et dénoncer ? Cela amène donc des hypothèses de lecture, ainsique des attentes. Le regard de Tchen est tout d’abord attiré par le « tas de mousseline blanche » qui contraste avec la pénombre de la pièce : « la seule lumière venait du building voisin : ungrand rectangle d’électricité pâle ». Puis il va être fasciné par « ce pied », métonymie de sa victime. « ce pied à demi incliné par le sommeil

large chapeau de paille, avec des rubans roses qui palpitaient au vent, derrière elle. Ses bandeaux1 noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa fgure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait à plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose ; et son nez droit, son menton, toute sa personne se découpait sur le fond de l’air bleu. Comme elle gardait la même attitude, il ft plusieurs

m’embrasser quand je serais dans mon lit » (Proust 13) «  Mais ce bonsoir durait si peu de temps, elle redescendait si vite, que le moment où je l’entendais monter, puis ou passait dans le couloir à double porte le bruit léger de sa robe de jardin en mousseline bleue, a laquelle pendaient de petits cordons de paille tressée, était pour moi un moment douloureux » (Proust 13). « De sorte que ce bonsoir que j’aimais tant, j’en arrivais à souhaiter qu’il vint le plus tard possible, a ce que prolongeât le

méprisant. Le régiment s’arrêta ce qui permit à Madame de Chasteller de bien voir Lucien. Elle le trouvait plutôt bel homme. Lorsqu’elle se rendit compte que Lucien l’a regardé également, ferma sa croisée et regarda, à demi cachée par le rideau de mousseline brodée de sa fenêtre. Continuant à l’observer du coin de sa fenêtre, la jeune femme ne savait que penser du soldat. En effet, elle ne savait pas ce qu’elle ressentait pour ce dernier. Etait-ce du mépris pour ce garçon qui avait l’air de mépriser