Mouvement démocratique chinois

Les mouvements pour la démocratie en Chine La mort de Mao et la crise économique de 1987-1989 ont entraîné la chute de l'idéologie communiste totalitaire. Mais la Chine a conservé dans ses institutions des caractéristiques d’un régime autoritaire. Face à cette fermeté de la politique, de nombreux mouvements voient le jour dans le pays qui réclament par différents moyens le respect des libertés et l’instauration d’une démocratie. • Le mouvement de 1989 En 1989, d’avril à juin, intellectuels

Robert Mugabe, 84 ans, 28 ans au pouvoir a attribué samedi dernier l'ensemble des ministères de souveraineté à son parti : la Zanu-Pf. Faisant peser de lourdes menaces de rupture sur l'accord dit historique signé entre le leader du Mouvement pour le changement démocratique (Mcd) et Premier ministre désigné, Morgan Tsvangirai et lui. C'est le 15 septembre dernier qu'un accord a enfin été signé entre les deux leaders zimbabwéens sous l'égide de l'ancien président de la République d'Afrique du Sud Thabo

gouvernementales. Après plusieurs tentatives infructueuses, un nouvel accord a été signé à Ziguinchor le 30 décembre 2004[4] entre le ministre de l'Intérieur Ousmane Ngom et l'abbé Augustin Diamacoune Senghor, chef de la rébellion du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (MFDC). Un autre foyer de conflit entre des Casamançais et la Guinée-Bissau s'est développé en avril 2007[5]. En 1989, la Mauritanie et le Sénégal ont rejeté violemment et respectivement les communautés du pays voisin

l’empire colonial français en 1896, Madagascar obtient le statut de territoire français d’outre-mer après la guerre, en 1946. L’île est alors dotée d’une assemblée élue, aux pouvoirs limités. Trois jeunes parlementaires malgaches, membres du Mouvement démocratique de la rénovation malgache (MDRM), parti à la fois nationaliste et pacifique, ont, par cette élection, obtenu des sièges dans les assemblées de la IVème République. Une assise politique qui va réveiller la revendication indépendantiste. Lors

politiques sont[4]: - Partido dos Trabalhadores (PT): Le Parti des Travailleurs est le parti majoritaire et également celui du président. Il possède 88 sièges de députés. - Partido do Movimento Democrático Brasileiro (PMDB) : Le Parti du Mouvement Démocratique Brésilien est un allié important de la coalition gouvernementale, il possède 79 sièges de députés. - Partido Social Democrata Brasileiro (PSDB) : l'un des principaux parti de l'opposition. Le Parti de la Social-démocratie Brésilienne possède

le général De Gaulle. Après les émeutes nationalistes du 8 mai 1945, marqué, il adhère au PPA (Parti du Peuple Algérien) qui veux l’indépendance de l'Algérie, mais ce dernier l'interdit. Ben Bella adhère ensuite au MTLD (Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques) de Messali Hadj. Membre de l'Organisation Spéciale (armée clandestine du MTLD) de Hocine Aït Ahmed, il participe au casse de la poste d'Oran. En mai 1950, il est reconnu coupable et est condamné à sept ans de prison. Il réussit

sa poche indépendance. Devant l’intransigeance des colons (refus d’appliquer l’abolition du travail forcé) et la France qui tarde à prendre en compte leur désir d’émancipation, les nationalistes indigènes se mobilisent au sein du MDRM (Mouvement Démocratique de la Rénovation Malgache). Une propagande anti-français va alors se développer. 29 mars 1947 : le MDRM déclenche une insurrection qui sera durement réprimée. Bilan : 11 300 malgaches massacrés. A la même heure dans une dizaine

Casamance, peut-être ; définitive, le doute est permis. Le 30 décembre 2004, une cérémonie réunissant Ousmane Ngom, ministre de l’intérieur du gouvernement sénégalais, et l’abbé Diamacoune Senghor, leader charismatique du MFDC (Mouvement des Forces Démocratiques de Casamance), met officiellement un terme à plus de vingt-deux ans de conflit, par la signature d’un accord de paix en Casamance. Les circonstances de la signature Les combats entre l’armée sénégalaise et les rebelles (présentés

Durée : 2 heures DIDOUCHE Mourad, héros de la révolution Il commence à militer très jeune au sein du Parti du Peuple Algérien, en 1943, dès sa sortie de l’école. Il est ensuite militant du Mouvement pour le Triomphe des Libertés Démocratiques (M.T.L.D). Dès 1948, il est détaché, comme beaucoup de militants du PPA, à l’organisation spéciale (OS) qui instruit et prépare ses membres à la lutte armée. Très actif, il devient vite un des contrôleurs principaux détachés

Le Mouvement démocratique de la rénovation malgache (M.D.R.M.) est un parti politique malgache fondé le 22 février 1946 et dissous le 10 mai 1947, qui avait pour but à court terme l'indépendance de Madagascar. Il a laissé une forte empreinte dans la mémoire malgache. Bien organisé et pris en main par une partie de l'élite intellectuelle malgache, le fait que la plupart de ses leaders (Joseph Raseta ou Joseph Ravoahangy) soient des Merinas des Hauts-Plateaux, ainsi que ses revendications politiques