Mouvement national des chômeurs et précaires

Grand Sud › Toulouse Annie Dreuille : « Les chômeurs sont des citoyens à part entière » SOLIDARITE - ELLE LANCE LA SOUSCRIPTION DU MOUVEMENT NATIONAL DES CHÔMEURS ET PRÉCAIRES -Même à la retraite, Annie Dreuille n'en a pas fini avec le militantisme. Celle qui, en 1986, a fondé la première Maison des chômeurs de Toulouse (la deuxième en France quelques mois après Paris) vient aujourd'hui au secours du Mouvement national des chômeurs et précaires qu'elle a également contribué à créer. Elle lance

points) 3)Présentez les objectifs et les modes d’action de l’un des nouveaux mouvements sociaux cités dans le texte. (document 2) (2 points) 4)Pour quelle raison l’auteur conclut-elle que certains nouveaux mouvements sociaux concurrencent l’action syndicale traditionnelle ? (document 2) (1 point) 5)Que signifie la phrase soulignée dans le texte ? (document 3) (2 points) 6)En quoi les nouveaux mouvements sociaux sont-ils producteurs de normes sociales nouvelles ? (document 3) (2 points)

sur l’ensemble du territoire, à un rythme jusque-là inédit des chômeurs se lancent dans des occupations de bâtiments administratifs (ANPE, ASSEDIC, bâtiments EDF etc.), de lieux de mémoire à haute valeur symbolique (Normale Sup’, IEP) et organisent de nombreuses manifestations locales ou nationales. Ces sans emplois étaient alors réputés isolés, incapable de se mobiliser, sans aucun tissu social ou syndicale fort au niveau national. Une sorte de déterminisme de l’inaction et de la passivité leur

Saindou Saoudati Rousselle Anaïs Groupe 3 La précarité Introduction : Actuellement il est difficile de définir le nombre exact de personne précaire en France, car chaque étude est basée sur différents critères. Mais tout le monde s’accorde à dire que le nombre de précaire ne cesse d’augmenter et la situation risque de perdurer car peu de solution sont mises à disposition de ces personnes. Cette situation d’instabilité ne permet pas aux individus de se projeter dans l’avenir, en effet

nouveaux enjeux, et utiliser de nouvelles formes d'action et de revendication. * Les NMS mettent en scène de nouveaux acteurs : les “ travailleurs ” ne sont plus les seuls à manifester leur mécontentement. On voit aujourd'hui, les étudiants, les chômeurs, les opposants à l'installation d'une décharge nucléaire, les femmes, les Corses ou les homosexuels, par exemple, manifester leur mécontentement. Autrement dit, des acteurs, qui peuvent être par ailleurs des travailleurs, ont fait irruption sur la

une dernière partie pourquoi la diminution des conflits du travail rend impossible l'émergence de nouveaux mouvements de grèves comme ceux de 36 ou 68, et donc si l'on peut parler d'une fin des grandes grèves. I)la grève de juin 1936 A) le contexte. → Début des années 30 : crise économique mondiale, avec krach boursier aux USA, la production diminue d'un tiers en France, 500 000 chômeurs (chiffre officiel), et pas d'indemnités comme les allocations chômage. → faiblesse du mvt syndical, 7%

de la population pour 1975 et 1990, Enquête emploi pour 2000. Document 5 Lutte contre le mal-logement, organisation des chômeurs ou des sans-papiers sont autant de terrains où les associations se sont imposées. En revanche, les syndicats se sont au cours des dernières décennies concentrés essentiellement sur le seul champ de l'entreprise, à l'exclusion des précaires. [...] Cette attitude a été lourde de conséquences : les organisations syndicales n'ont pas pris la mesure du développement de

de 16,5 millions à 20 millions de personnes de 1850 à 1911. Puis elle se stabilise autour de 20 millions jusque dans les années 50 pour connaître une forte augmentation. Lors des 30 Glorieuses (→ 28millions d'actifs aujourd'hui dont 3millions de chômeurs) Cette période est marquée par l'augmentation du nombre de salariés, dans le privé comme dans la fonction publique : 1900 : 53% de la pop active 2012 : 90% de la pop active. La majorité ont un CDI (87%) A partir de 1850, avec l'industrialisation

L’apparition du chômage suppose que le travail social soit l’objet d’un échange marchand, c’est à dire que le travailleur vende sa force de travail à un employeur. C’est le fait de ne pas trouver un acheteur pour sa force de travail qui définit le statut de chômeur. Le chômage naît avec la généralisation du salariat ; dans ce cadre, le travailleur ne dispose pas d’autre possibilité de participation au travail social, et donc de source de revenu, que l’obtention d’un emploi salarié.  L’histoire du chômage est

principe majoritaire > la dérogation aux normes supérieures Affaibli, divisé, contesté, le mouvement syndical en France est entré depuis 1995 dans une nouvelle phase de son existence. Il est confronté à une triple crise : existentielle, stratégique, idéologique. · Le paysage syndical français : Présomption irréfragable de représentativité pour les syndicats affiliés à l’une des 5 centrales nationales interprofessionnelles : -CGT Confédération générale du travail- Bernard Thibault - 1895 -CFDT