Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques

les concepts1 que nous entendons utiliser sont pour l’essentiel les suivants : la mondialisation, la globalisation, les firmes transnationales, l’État-nation, la souveraineté de l’État, les organisations supranationales, l’exclusion, le déficit démocratique, la société civile et le néolibéralisme. Les méthodes de recherche que nous prévoyons déployer correspondent à une recherche de type conceptuelle et comparative. Notre étude se base sur des données livresques et porte sur le contenu même de la

indirectement, à l'exercice du pouvoir politique. Le terme, popularisé par la Révolution française, est aujourd'hui remis au goût du jour dans les sociétés démocratiques modernes. Le citoyen est d'abord un sujet de droit. Il dispose à ce titre de droits civils et politiques. Il jouit des libertés individuelles : la liberté de conscience et d'expression, la liberté d'aller et venir, d'être présumé innocent par la justice selon une loi égale pour tous. Il dispose en outre des droits politiques : participer à

l’entre-deux guerre, après la participation des colonies à la Première Guerre Mondiale. La France déteint le second plus grand Empire colonial. L’idée coloniale est alors très à la mode et fortement diffusée. Elle suscite cependant le développement de mouvements nationalistes et les contestations croissantes au sein des colonies qui veulent être indépendantes. Mais la Seconde Guerre Mondiale affaiblit fortement les puissances coloniales qui en émergent brisées. L’idée de la décolonisation est de plus en

enfin, que le PCF doit faire face à un fort anticommunisme qui freine son avancée. Pour ce faire, nous avons à notre disposition 4 documents : un texte rédigé par la section centrale d’éducation du PCF en novembre 1944, une affiche du mouvement Paix et Liberté, une allocution de Marcel Cachin prononcée en décembre 1956 devant les Jeunesses Communistes et enfin un texte de Jean-Claude Lahaxe intitulé La fédération communiste des Bouches-du-Rhône et la direction du PCF 1949 - 1954. Plan détaillé

Hume, Bentham ou Mill, bien qu'ayant des points de vue différents, ont jeté les bases de la désobéissance civile dans le cadre de leur conception individualiste de la liberté négative selon laquelle tout ce qui n'est pas interdit est permis. Cette conception de la liberté est celle de l'Etat libéral de droit, par opposition à la liberté positive de l'Etat de bien-être social, qui veut que tout soit interdit, excepté ce qui est permis. La doctrine « idéaliste » traditionnelle, de Aristote à Hegel, y

par les classes opprimées (paysannerie et plébéiens des villes). Pendant six ans, de1789 à1795, le peuple insurgé prit en main sa propre histoire, se lança à la conquête de ses droits et lutta pour construire une société nouvelle, plus juste et démocratique. Depuis le début du 19e siècle, la Révolution française est ainsi devenue le modèle pour une future révolution qui, elle, serait socialiste. • Ensuite parce qu’il faut bien voir que nombre des objectifs et des transformations projetées, réalisées

développement de l’enseignement laïc permettent aux individus d’exprimer leurs opinions, de développer un esprit critique : la brèche ouverte par les Lumières et la Révolution ne cesse de s’élargir. L’Eglise catholique est donc d’abord hostile aux idées démocratiques qui remettent en cause les pouvoirs traditionnels politico-religieux. Ceci atteint son paroxysme avec la volonté des radicaux d’une réelle laïcisation (politique qui vise à enlever aux religions tout rôle public et politique et ainsi mettre à égalité

I) De l’ordre moral au triomphe de la république A) Les premières années voient la confirmation du pouvoir de l’Église catholique 1) « Le réveil du christianisme » L’Église, après l’épisode de la révolution a réussi à reconquérir progressivement son influence sur la société Française grâce aux missions intérieures et aux congrégations (jésuites). En 1870 la population est donc fortement marquée par le catholicisme. Le temps est rythmée par la temporalité religieuse qui marque

Lucius Cornelius Sulla, réussit à convaincre Bocchus Ier de trahir Jugurtha[66] : il aide les Romains à le capturer dans un guet-apens. Envoyé à Rome, Jugurtha est enfermé dans le Tullianum, où il est exécuté tout de suite après la cérémonie du triomphe en 104 av. J.-C..Dès lors, la Numidie est partagée : sa partie occidentale est attribuée à Bocchus, roi de Maurétanie, le reste étant laissé sous l'autorité d'un roi vassal de Rome. Mausolée royal de Maurétanie, Cherchell Portrait en marbre du

par rapport à la culture scientifique, le triomphe de la raison et la naissance de l’Etat moderne. Elle apparaît dans la gestion difficile des rapports de la raison et du sujet, l’association de la raison instrumentale, l’administration et l’organisation de la société réglée par la loi, la vie privée, l’intérêt et la volonté manifeste d’affranchir le sujet de toute tutelle. La modernité repose essentiellement sur des principes éthiques à l’instar de la liberté, la justice et l’égalité. Elle englobe