Mouvement républicain populaire

Le Mouvement républicain populaire (MRP) est un ancien parti politique français, classé comme démocrate-chrétien et centriste. Héritier du Parti démocrate populaire et de mouvements régionaux comme l'Union populaire républicaine (Alsace) et l'Union républicaine lorraine, fondé en 1944 par Georges Bidault, il se voulait le parti des résistants démocrates-chrétiens qui souhaitaient dépasser le clivage droite-gauche et celui de la « fidélité » au général de Gaulle. Avec le Parti communiste français

Les Forces politiques sous la IV République Le Mouvement Républicain populaire 1944- 1965 Au lendemain de la Libération, la structure politique de la France est affaiblie. La population, qui a fait l’expérience de l’abus de pouvoir personnel sous le régime de Vichy craint le retour d’un despotisme politique => Reconstruction politique urgente – mise en place de la IV République le 27 Octobre 1946. La IV République se compose de 3 principales forces politiques qui se sont rénovées par

LE COURANT DEMOCRATE-CHRETIEN ″Il peut paraître étonnant de consacrer un ouvrage à quelque chose qui, en apparence tout du moins, n’existe pas.″ François-Georges Dreyfus  QU’EST-CE QUE LE COURANT DEMOCRATE-CHRETIEN ? Un mouvement d’idées… Les prémices  Origines communes avec catholicisme social et libéralisme chrétien. Réaction contre le catholicisme intransigeant.  Transfo des valeurs chrétiennes en programme politique.  Rejet du capitalisme sauvage comme du marxisme : il s’agit

restera sa secrétaire particulière jusqu’à sa mort en 1983. Elle est considérée comme la cofondatrice du Mouvement Emmaüs. Après la guerre, sur les conseils de l’entourage du général de Gaulle, et l’approbation de l’archevêque de Paris, il est élu député de Meurthe-et-Moselle aux deux assemblées nationales constituantes (1945-1946), comme indépendant apparenté au Mouvement républicain populaire (MRP) de résistants démocrates-chrétiens, puis à l’Assemblée nationale de 1946 à 1951, où il siège d’abord

régime parlementaire vers un régime d'Assemblée, A)Première législature (novembre 1946-juin 1951): Les élections confirment la domination des trois partis constituants, PC, SFIO (Section Française de l'Internationale Ouvrière) et MRP (Mouvement Républicain Populaire), Le socialiste Paul Ramadier, président du Conseil de janvier à novembre 1947, accentue le pouvoir de l'Assemblée nationale, Il soumet l’action du gouvernement à l’arbitrage des partis. Henri Queuille est la principale personnalité

et à son parti de l’époque (parti démocrate populaire ) et de l’autre une participation active en faveur de la défense de l’enfance en danger et des adolescents handicapés. Sa conduite qui fut brillante au service de la résistance et toutes les actions qu’elle mena lui valurent de nombreuses décorations et la reconnaissance des marseillais qui l’élisent en mai 1945 au conseil municipal (jusqu’en 1959). Après avoir adhéré au Mouvement républicain populaire (MRP), Germaine Poinso-Chapuis se présente

coalitions. A la libération s'impose le Tripartisme (coalition des trois partis qui dominent la vie politique française à ce moment : le PCF, la SFIO, le MRP) Section française de l’internationale ouvrière (SFIO) : Parti socialiste Mouvement Républicain Populaire (MRP) : Parti constitué pour beaucoup par des résistants chrétiens, il a pu apparaître comme le parti de la fidélité au général de Gaulle. Mais en 47,les communistes se désolidarisent du gouvernement à cause du blocage des prix et des

La réponse des électeurs est «oui». L'assemblée élue est surtout composée de trois partis principaux : le Parti communiste français (PCF), qui a tiré un grand prestige de son rôle de force de résistance et de la victoire de l'URSS, le Mouvement républicain populaire (MRP) d'inspiration démocrate-chrétienne et le Parti socialiste (SFIO). Ces trois partis forme ce que l'on nommera le tripartisme. Le 5 mai 1946, l'assemblée constituante soumet à référendum un texte qui prévoit un régime d'assemblée avec

Félix Gouin, que remplace Georges Bidault, président du MRP, en juin suivant. La France vit alors sous un régime d’assemblée que domine la formule du «tripartisme» 80% des députés sont communistes, socialistes SF10 ou membres du Mouvement républicain populaire (MRP), c’est-à-dire démocrates-chrétiens. Quand la Constitution préparée par l’Assemblée est soumise à référendum le 5 mai 1946, le MRP préconise son refus pour éviter un régime d’assemblée qui paralyserait l’exécutif: elle

de l'Internationale Ouvrière ou S.F.I.O. (les socialistes) retrouve ses dirigeants d'avant guerre : Léon Blum, Vincent Auriol qui sera le 1er Président de la IVème République. Un nouveau parti arrive en seconde position ; le M.R.P. ou Mouvement Républicain Populaire ; s'y retrouvent surtout des réformistes modérés, souvent catholiques, qui soutiennent le général de Gaulle. De janvier à mai 47 des ministres de ces 3 grands partis gouvernent ensemble; cette période unique est connue sous le nom de