Multipartisme

Shangaans, Ndébélés. Cet exemple reflète qu’il y a un multipartisme très fort au sein de l’assemblée nationale, que celui-ci représente un nombre considérable d’Ethnie, or nous savons aussi que l’Afrique du Sud est un pays très peu touché par les guerres depuis la ségrégation, nous pouvons donc nous demander s’il n’est que très peu touché par les guerres, justement par le fait de cet ensemble de parti à l’assemblée nationale. B) Le multipartisme, base de la démocratie. Il existe deux genres de

leur âme et que leur âme repose en paix. Voici un an, notre parti, l'UDPM, a entamé une réflexion [allusion au débat sur le multipartisme qui avait commencé mi-1990, NDLR]. Le parti a décidé une concertation pour trouver un terrain d'entente et permettre ainsi au pays d'aller de l'avant. Les responsables du parti n'ont pas du tout estimé que la perspective du multipartisme était un risque grave à écarter. Mais le parti a décidé qu'il fallait l'expliquer au peuple et à partir de la base parce qu'il

sur le choix des électeurs sont apparente, en effet comme le dis Bracke «  Au premier tour on choisit, au second on élimine ». Comme tout mode de scrutin il a des avantages comme des inconvénients. Il a pour avantage de favoriser l’apparition du multipartisme tempéré ainsi que la bipolarisation et la stabilité gouvernementale. De plus, depuis les élections législatives de 2002, il a même favorisé le bipartisme en France. Cependant, il provoque aussi une sous-représentation des extrêmes et une sur-représentation

sont ensuite répartis entre les listes ayant atteint le seuil d’éligibilité, proportionnellement au nombre de voix qu’elles ont obtenu. L’objectif de représentation parfaite entraine un éclatement de l’offre électorale. B) … Entraine le multipartisme * Le système est bénéfique pour les petits partis et contraint les deux principaux partis travailliste et le Likoud, qui n’ont jamais obtenu de majorité absolue au Parlement. * On parle de « partitocratie » * Il n’existe qu’une

placées sur l’axe droite-gauche, s’opposent pour l’accès au pouvoir. L’alternance a lieu de façon plus ou moins régulière. En France, les socialistes succèdent à l’UMP qui a « régné » pendant 2 mandats… Le scrutin majoritaire n’interdit pas le multipartisme mais incite les partis à former des coalitions , les Socialistes et les Ecologistes en France) ou à se regrouper (l’UMP a absorbé des gaullistes, des libéraux, des centristes). Par ailleurs, le scrutin majoritaire modifie le comportement de

Dans les années qui ont suivi la vague d’indépendance de 1960, le Sénégal a été le premier pays d’Afrique à permettre le pluripartisme, d’abord en le restreignant à quatre partis (1974) pour ensuite l’élargir définitivement et le transformer en multipartisme intégral (1981). Le 31 décembre 1980, dans une cérémonie restée mémorable, le Président Léopold Sédar Senghor (qui détenait les rênes du pays depuis son accession à l'indépendance en 1960) annonçait qu’il mettait fin à ses fonctions de chef

coalition. Elle entraine un multipartisme. Le système du plus fort reste favorise les petits partis. Intro: définir les 2 modes + exemples proportionnel + juste mais beaucoup d'imperfections I. le plus juste A]une meilleur représentation les petits partis représentés (photographie) le majoritaire lui représentait les grands partis B]une meilleure représentatitivté de femmes (parité) + de minorités II un scrutin imparfait A]source d instabilité le multipartisme entraine l'instabilité

positionnement des ous catégories sur un axe allant de l’expression minimale à la pression maximale de la masse. Ainsi le système qui reste pluraliste pourra évoluer entre les catégories du Parti prédominant, Bipartisme, Multipartisme modéré, Multipartisme polarisé et Multipartisme atomisé. Les systèmes bipartites Le système bipartite passe pour être le plus simple et le mieux étudié, car pratiqué par des pays importants ; néanmoins, quels états peuvent véritablement se prévaloir d'appartenir à cette

bon port. Tout cela doit se faire par le dialogue, le compromis. L’État des partis Dans les régimes de pouvoir ouvert qui correspondent ce qu’il est convenu d’appeler les démocraties occidentales; l’État est un état de partis. Bipartisme ou multipartisme en constitue la caractéristique essentielle. La concurrence d’une pluralité de forces anime la vie politique et procure à l’opposition la possibilité de contester l’ordre établi. Aussi on pourrait dire que, dans le contexte d’une pluralité de partis:

élection doit se faire au suffrage universel direct (sauf les sénateurs qui, eux, sont élus par ceux qui sont élus par le peuple) : tous les citoyens, sans aucune distinction, doivent avoir accès aux élections. Il faut aussi qu’il y ait un multipartisme, c’est-à-dire qu’il faut des candidats venant de différents partis politiques. Le fait d’avoir un parti unique aurait été un régime extrémiste et totalitaire. Souvent, c’est le bipartisme qui est avantagé. Le scrutin doit se dérouler en transparence