Munichois Antimunichois

La Nouvelle association des artistes munichois (Neue Künstlervereinigung München, abrégé couramment en NKVM) est fondée en janvier 1909, avec Kandinsky comme président1. L'association regroupe des artistes modernes d’écoles diverses, allant du néo-impressionnisme à l'Art nouveau. Les plus célèbres représentants en sont Kandinsky, Münter, Alexej von Jawlensky. Le NKVM organise ses deux premières expositions en décembre 1909, puis en septembre 1910 à la Moderne galerie Thannhauser1. Suite à ces expositions

l’opposition munichois/antimunichois qui s’amplifia après la signature des accords (II). I. Le recul progressif des puissances européennes : l’opposition au sein de la classe politique petit-à-petit vaincue Début 1938, la balance penchait en faveur du soutien à la Tchécoslovaquie (A), mais petit-à-petit, l’indécision se mua dans tous les pays vers l’acceptation des accords (B). Ces mois d’évolution furent le théâtre d’une première opposition entre munichois et antimunichois : celle des hommes

préférer Hitler à Blum et admire donc les régimes fascistes dans un but de revanche. La droite libérale lutte également contre la politique du front populaire. Dans une ambiance pacifiste, il y a alors polémique entre les munichois (parti sans concession face à Hitler) et antimunichois (parti qui lui, souhaite la fermeté). Le 23 Août 1939, il y aura alors la signature du pacte germano-soviétique qui influencera Daladier à interdire le parti communiste un mois plus tard. C- Un pays affaiblit. (Un

de la France entière :  Effectivement, dès le début, les préoccupations de la population française sont plus que jamais tournées vers l'inquiétante situation européenne. La population s'était même partagée à propos de Munich (entre "munichois" et "antimunichois"), et ce désaccord est l'un des plus profonds qui ait divisé l'esprit public en France depuis l'affaire Dreyfus. Toutefois, la très grande majorité des Français qui vivaient en septembre 1938 (comme sans doute un grand nombre d'Européens)

de cette ampleur, il ne faut plus qu'une telle catastrophe se reproduise. --> septembre 1938, le gouvernement Daladier signe les accords de Munich. Les Français, majoritairement « munichois », sont satisfaits de cette « politique d’apaisement » qui préserve la paix, tandis qu’une minorité d’« antimunichois » proteste. III. Relations internationales à la veille de la Seconde guerre mondiale, l'apparition d'États totalitaires. a) La monté du nazisme - Ascension du parti nazi au cours

constitue les munichois et les antimunichois, toutefois cette partition de l’opinion ne regroupe pas tout à fait le clivage pacifiste/militariste, puisque que bon nombre de munichois le sont car ils pensent que la France n’est pas prête et qu’elle a besoin de temps, c’est donc un pacifisme momentanée. Ce repositionnement qu’oblige les accords de Munich transcendent tout les partis, exception faite le PC et la Parti démocrate populaire qui rejette unanimement ces accords, alors que le camp munichois était

milieu des années 1930 en France. La gauche craignant l'arrivée au pouvoir des fascistes s'allie et forme le Front Populaire. La politique sociale de se dernier a marqué les esprits. En 1939, La France est affaibli (division entre les munichois et las antimunichois, les décès est supérieur aux naissances) et ne souhaite pas se battre (traumatisme de Première Guerre Mondial), et politique défensive Maginot) alors que pointe à l'horizon la menace allemande. Sources : Sites : http://www.herodote

Première Guerre mondiale, est profondément pacifiste. – En septembre 1938, le gouvernement Daladier signe les accords de Munich (Cf. Séquence 6 p. 46). Les Français, majoritairement « munichois », sont satisfaits de cette « politique d’apaisement » qui préserve la paix, tandis qu’une minorité d’« antimunichois » proteste. – Les chefs militaires français choisissent, devant le risque de guerre, une stratégie défensive. Ils font construire, dans l’est du pays, les fortifications de la ligne Maginot

et la Tchécoslovaquie n’ont pas été invitées. – France + GB ont fait confiance à Hitler. – Accueillis avec enthousiasme dans leur pays réciproque. – Pourtant par ex en France il existe munichois / antimunichois. ( Munich marque en fait une étape décisive dans la marche à la guerre. = Hitler ne peut qu’être incité à de nouveaux coups d’audace. 3) Le monde entre en guerre. “Une fois le problème des Sudètes

« pause sociale ». lvi. La situation à la veille de la guerre. France affaiblie et vieillie qui déclare la guerre, Vichy accusera le FP. Incapable de comprendre la guerre moderne (fixée sur la ligne Maginot), division entre munichois et antimunichois. On passe directement au : VIII. Le Tiers-Monde. a. L’émergence du « troisième monde ». Accélération du mouvement de décolonisation en 50-60 : Cambodge, Laos redeviennent complètement indépendants, Vietnam séparé en 2