Munitionettes

campagnes, les paysannes doivent se mobiliser dès le premier jour pour faire les récoltes, les moissons et les vendanges. En ville, les femmes intègrent des secteurs jusque-là réservés aux hommes, comme les transports ou l’industrie d’armement. Les munitionettes deviennent une figure emblématique de l’emploi féminin durant la Première Guerre Mondiale. La main-d’œuvre de remplacement est aussi constituée de prisonniers de guerre, d’immigrés, de travailleurs coloniaux et d’affectés spéciaux. Soutenir les

toutes tendances (politiques ou religieuses). Les femmes obligées de compenser la mobilisation d'une grande partie des hommes, sont principalement sollicités,et ce quand à l’exécution du travail dans les champs ou à l'usine .En particulier les «munitionettes»comme dans le doc 3 qui participent à la production d'arme pour «nourrir la guerre». Les conditions morales oppressantes de l’arrière face à la perte d'un être cher, aux heures de travaille énorme,aux restrictions mais aussi aux déplacements forcés

président du Conseil René Viviani en tant qu’ouvrières en particulier dans les usines d’armement en ville et dans les champs. Les femmes sont contraintes de tenir cette position faute d’insuffisance de revenu. Nous pourrons noter prés de 430 000 munitionettes travaillent dans l’industrie d’armement. Le terme munitionnette désigne une ouvrière des usines de fabrication d’armes. Mis à part les usines d’armement occupés plus de 10 heures par jour, les femmes remplacent les hommes dans d’autres secteurs

ce qui fut un grand soutien pour la France. Les femmes de la ville qui se dévouent, par manque de main d'oeuvre à effectuer des taches telles que distribuer le courrier, conduire les trensports publics et rendent service en cas de besoin. Les munitionettes, femmes qui travaillent dans les usines d'armement à mesure de 10h chaque jour. La mobilisation des ouvrières se fait à la fin de 1915, c'est un peu tard mais à la fin de 1917 elles sont près de 400,000. A la fin de la guerre, dans l'industrie

du soldat pris au piège avant et après ceux de la munitionette. Il ne se passe que quelques secondes entre la première et la dernière vignette du soldat alors qu'il se passe plusieurs heures entre celles de la femme.Ceci allonge l'agonie et la souffrance du soldat. Sur les 3 premiers strips, il y a des lignes de force qui donne l'impression que les personnes sont enfermées et prisonnières. Le soldat est piégé par les barbelés et la munitionette est réduite à son travail. Conclusion : Pour

totale ? A Une guerre économique Objectif premier : gagner la guerre Il faut démultiplier la production des armes, mais il y a un problème économique L’Etat dirige l’économie : c’est le dirigisme. Il réquisitionne de la main d’œuvre. Munitionettes : Ce sont les femmes qui produisent, dans les usines, des munitions comme des obus : Il en faut 10.000 par jours en 1914 Puis 30.000 par jours en 1918 Les étrangers seront aussi demandés pour aider à la main d’œuvre comme les Chinois (Coulis) ;

maîtresses des exploitations agricoles. Elles assurent les récoltes et labourent les terres lorsque les bêtes ont été réquisitionnées. Dès 1915 la femme devient ouvrière d’usine, en particulier dans l’industrie d’armement ce qui lui vaut le nom de « munitionettes ». Les enfants vont travailler dans les usines de plus en plus jeunes pour aider leur patrie. L’arrière pendant la Grande Guerre se caractérise également par des difficultés d’approvisionnement des civils au quotidien. Elles ont pour cause la

métallurgique dans le cadre de l'économie de guerre. – Effort de guerre implique le recours à une main d'oeuvre qualifiée et nombreuse. La guerre se gagne à l'arrière comme au front. – Les femmes sont appelées à remplacer les hommes dans les usines (les „munitionettes“) malgré la loi Dalbiez de 1915. Elles jouent aussi un rôle important dans les exploitations agricoles en l'absence de leurs maris. II) Une violence de guerre d'un type nouveau liée à l'ère industrielle. A) La brutalité des combats sur le front

c'est l'Armistice III/ Une guerre totale Tous les aspects de la société sont inclus dans le conflit : Les civils, c'est à dire ceux qui ne combattent pas (femmes, enfants, vieillards) sont mobilisés : -les femmes travaillent dans les industries (munitionettes), les champs, et soutiennent le moral des troupes par des colis et des lettres -les enfants sont éduqués dans le respect du patriotisme -le budget des ménages est entamé car l'État réalise des emprunts afin de financer la guerre : emprunt national

gardienne du foyer. Elles prennent la place des hommes dans les usines, chez renault, 30% des ouvriers sont alors des femmes contre seulement 3% avant le guerre. Elles produisent alors l'artillerie tel que les obus, ce qui leur vaut le surnom «  munitionettes » A la campagne, elles remplacent aussi les hommes dans les champs malgré que les chevaux soit réquisitionné. Les enfants et les personnes âgées avant trop âgés pour travailler sont aussi mobilisé et envoyés dans les usines. Malgré cette mobilisation