Muralisme

au service de son engagement politique (communisme) en s’exprimant à travers de monumentales fresques murales, accessibles au plus grand nombre car peintes sur les murs de lieux publics, au style simple et dépouillé. Cet art engagé fut nommé « le muralisme ». L’œuvre ici représentée est une partie d’un vaste ensemble de fresques réalisées par Diego de Rivera pour orner la cour centrale de l’Institute of Arts de la ville de Détroit. Il y rend hommage à l’industrie, activité dominante de la ville. Sur

au service de son engagement politique (communisme) en s’exprimant à travers de monumentales fresques murales, accessibles au plus grand nombre car peintes sur les murs de lieux publics, au style simple et dépouillé. Cet art engagé fut nommé « le muralisme ». L’œuvre ici représentée est une partie d’un vaste ensemble de fresques réalisées par Diego de Rivera pour orner la cour centrale de l’Institute of Arts de la ville de Détroit. Il y rend hommage à l’industrie, activité dominante de la ville. Sur

des points est à la limite de deux choses qui se confondent : la vibration de couleur et la touche ; cette dernière est très présente, elle va lui servir de point de départ pour faire évoluer son idée de la couleur et de la peinture plate issue du muralisme de son temps. Matisse est d’abord un formaliste, il essaie les choses comme moyens plastiques et non comme idées, ces dernières ne l’ont jamais guidé sur le chemin de la peinture, le point de Seurat sera pour lui le moyen de vivre dans ses tableaux

1970, Ben VAUTIER, artiste du mouvement Fluxus, écrit sur les murs ses réflexions. Le mur, avec son caractère public, représente l'un des forums où les artistes peuvent concrétiser leur rêve d'un art ouvert, accessible et mobile tel que le fit le muralisme mexicain dont Diego RIVERA et Frida KAHLO dans les années 1920. L'éphémérité de leurs interventions ne les gêne pas. Les protagonistes de ce mouvement international concevaient l'art comme une forme d'expression s'écoulant dans un flux constant.

matériel car c’est cet aspect qui est officiellement condamné par la loi. Ce n’est pas l’art tout entier qui est mis en cause par ces articles, ni même la légitimité de ces œuvres mais leur lieu d’action et leur support autrement dit, ce phénomène de muralisme qui est apparu. Mais, une fois de plus, il faut faire une différence entre les « tags sauvages » et les graffitis des artistes muralistes. Les « tags sauvages » eux apparaissent comme agressifs et inquiétant pour l’opinion car ils modifient violemment

KAHLO GENS DES NUAGES LANGUE BRETONNE Littérature(s) MEDELLÍN WANDERING STAR (THE) Bienvenue sur le site des éditions Passage(s) ! GUERRE (LA) LETITIA ELIZABETH LANDON (L.E.L.) LOUVRE (LE) MEXICO VOYAGE TO RODRIGUES DÉSERT LONGFELLOW MORNE (LE) MURALISME Shop DIEGO ET FRIDA MALINCHE (LA) NIGER (FLEUVE) OISEAUX (MAURICE) Panier Checkout MA EL AÏNINE PACHACAMAC PROSE POÉTIQUE « ÉCHAPPÉ (L’) » MENCHÙ RIGOBERTA Mon Compte PLATE (ÎLE) SAINT-AUBIN-DU-CORMIER (BATAILLE DE) « GÉNIE DATURA (LE) » « GRANDE

la consigne : « Prière de faire passer ».) El primer gol del pueblo chileno Auteur : Roberto Matta et Brigade Ramona Parra (Un groupe de jeunes engagées politiquement, appartenant au parti communiste, qui se dédie à la peinture et surtout au muralisme. Le nom de cette brigade fait allusion à une jeune femme militante du parti communiste qui fût assassinée dans une grève en 1946) Date: 1971 Lieu de conservation: Centre Culturel Matta, La Granja, Santiago. Technique : Fresque murale

de Pollock exposées, extrêmement difficiles à rassembler, raconte Marc Restellini, directeur de la Pinacothèque, sont des oeuvres de jeunesse. Elles commencent avec un paysage de mer, puis des peintures fortes aux couleurs profondes, inspirées du muralisme mexicain, lui-même sensible à la culture des Indiens. Puis plusieurs thèmes directement liés au chamanisme sont abordés: le sacrifice, la fusion homme animal, la fusion homme femme, la renaissance et l'extase. A côté d'un mât totémique de Colombie

Le tag : c’est une signature codée marquant un territoire, souvent illisible pour les non-initiés, c’est la base de lettrage du graffe. Le tag comme le graffe s’inscrivent dans la tradition graphique issue de l’immigration hispanique avec le “Muralisme mexicain”. En 69, à New-York, le tagueur Cay qui écrivait son tag en l’occurence son surnom, sur tout le métro disait : “Le nom, c’est la religion du graffiti, je regarde mon nom qui passe !”(1). Il pouvait rester ainsi des journées entières à regarder

tous les mexicains 1927 : Enthousiasmé par l'expérience soviétique qui représente un immense espoir pour beaucoup de jeunes intellectuels de sa génération, il se rend en Union Soviétique et rejoint la Ligue communiste internationale LE MURALISME Cette forme d'art caractéristique du Mexique a trouvé ses lettres de noblesse dans les années 20, après les remous de la Révolution de 1910. On peut parler d'une véritable "Renaissance" de l'art mexicain. Tout commence à l'École Nationale Préparatoire