Muralisme

Boogie - boogaloo, danse debout connue en France début 80 sous le terme réducteur de smurf. L’immigration portoricaine et sud-américaine apporte à New York la tradition du mur peint (1920/30), forme artistique narrative descriptive telle que le muralisme mexicain qui se mixe avec la culture noire du ghetto. Jean-Michel Basqquiat et Keith Haring seront quant à eux influencés par la peinture européenne et la culture underground. Mais c’est la rencontre avec les tagueurs qui donnera au mouvement son

l'art et l'architecture précolombiens, la colonisation, la mythologie aztèque et l'héritage indigène, le syncrétisme religieux, la frontière avec les États-unis, les dichotomies zone urbaines et rurales, la peinture symbolique de Frida Kahlo, le muralisme et Diego Rivera, les masques, la gastronomie, la musiques et les traditions. Par ailleurs, depuis le mois d'avril nous sommes en train de découvrir la culture cubaine : La havane et ses provinces, Fidel Castro et le communisme, la découverte de

experimentar, la paradoja, la ambigüedad. Objectifs culturels  : Les fondements historiques du Mexique présents dans le tableau. Le monde moderne et les Etats-Unis. L’autoportrait et la frontière. La peinture mexicaine et le muralisme (première moitié du XX siècle). Quelques pistes pour la mise en œuvre . L’étude de ce tableau permet dès le début de la séquence de mettre en exergue le hiatus qui sépare les deux univers décrits par l’artiste mexicaine. Cela

au service de son engagement politique (communisme) en s’exprimant à travers de monumentales fresques murales, accessibles au plus grand nombre car peintes sur les murs de lieux publics, au style simple et dépouillé. Cet art engagé fut nommé « le muralisme ». L’œuvre ici représentée est une partie d’un vaste ensemble de fresques réalisées par Diego de Rivera pour orner la cour centrale de l’Institute of Arts de la ville de Détroit. Il y rend hommage à l’industrie, activité dominante de la ville

source :  Il était une fois le Hip‐hop...  par lil'freak pour reprezent.ch   Le graffiti L’immigration portoricaine et sud‐américaine apporte à New York la tradition du mur  peint  (1920/30),  forme  artistique  narrative  descriptive  telle  que  le  muralisme  mexicain qui se mixe avec la culture noire du ghetto.   Importée de Philadelphie en 1967, l’idée d’inscrire son nom suivi du numéro de sa  rue sur les murs de leur quartier est reprise par les premiers taggers comme Julio  204,  Frank  207  ou 

Il était une fois le Hip‐hop...  par lil'freak pour reprezent.ch   Le graffiti L’immigration portoricaine et sud‐américaine apporte à New York la tradition du mur  peint  (1920/30),  forme  artistique  narrative  descriptive  telle  que  le  muralisme  mexicain qui se mixe avec la culture noire du ghetto.   Importée de Philadelphie en 1967, l’idée d’inscrire son nom suivi du numéro de sa  rue sur les murs de leur quartier est reprise par les premiers taggers comme Julio  204,  Frank  207  ou 

tableau de Frida Kahlo (Unité 6, p. 153) S’exprimer en interaction • Participer à un débat sur la peinture et l’engagement politique (Unité 1, p. 143) 175 Programme Thème culturel Espaces et échanges • Le corrido mexicain (Atelier 3, p. 157) • Le muralisme mexicain (¿Lo sabías  ?, p. 162) • L’impérialisme américain à Cuba dans les années cinquante (p. 146) •L’émigration vers les États-Unis à la fin du xxe siècle : les balseros (p. 150) Lieux et formes du pouvoir • La Révolution mexicaine (Ouverture

de difficultés majeures d’autant que le passé composé y est très présent et que l’on sait avec quel empressement nos élèves l’utilisent par analogie avec le français. L’étude préalable du document El héroe de América latina p. 79 et le renvoi au muralisme développé dans La independencia y su representación p. 84, aideront à l’étude de ces deux documents. Informations sur le document La fotografía fue sacada durante el discurso del Subcomandante Marcos después de una marcha pacífica en el pueblo de