Murdochville

pour la préparation à l’examen intra Chapitre 1 : Définitions (employeur, syndicat, convention collective, grève, partage des compétences etc..) Les perceptions des gestionnaires et des employés Pourquoi se syndiquer ! Vidéo la grève de Murdochville Chapitre 2 : Les trois périodes historiques des syndicats (illégal, toléré et reconnu) Pourquoi se syndiquer La provenance de l’accréditation Vidéo les Méandres Chapitre 3 : Le Code du travail, l’employeur et le droit d’association

l'opposition au régime de Duplessis se manifestera à travers une série de grèves importantes (la grève de l’amiante d’Asbestos et de l’alliance des professeurs à Montréal en 1949; celle du textile à Louiseville en 1952 sans oublier la grève des mines à Murdochville en 1957) qui, chacune à leur manière révéleront à la population à la fois les conditions de travail de la classe ouvrière et les concessions importantes dont jouissent les compagnies étrangères dans leur province. Duplessis usera de lois, telle

que la cessation de travail entraîne. Il s'agit d'une épreuve de force : le gréviste n'est pas rémunéré alors que l'entreprise ne produit plus et perd de l'argent. La grève de Louiseville en 1952 est, avec celle de l'amiante en 1949 et celle de Murdochville en 1957, l'une des trois grandes grèves de l'après-guerre restées célèbres dans la mémoire collective des Québécois. Comme les deux autres, elle montre le parti pris du gouvernement Duplessis envers les employeurs, ainsi que ses méthodes visant

qu'une légère augmentation de salaire. Malgré cela, elle représente le premier affrontement majeur entre le syndicalisme et le régime de Duplessis, et elle permet aux forces syndicales de se mobiliser. Une autre grève minière importante a lieu à Murdochville en 1957 : elle dure sept mois et le principal enjeu est la reconnaissance syndicale. Des Québécois se distinguent au cours de ces conflits et deviendront de grands noms de la politique ou du syndicalisme : Jean Marchand, Madeleine Parent (née en

comme typographe[->9] et imprimeur[->10], il devient militant syndical à partir des années 1940[->11]. il participe à toutes les grandes manifestations ouvrières : la grève de l'amiante[->12] en 1949[->13], de Louiseville[->14] en 1952[->15] et de Murdochville[->16] en 1957[->17]. À partir des années 1980[->18], il milite principalement pour les droits des travailleurs accidentés; il est l’instigateur de Fondation pour l’aide aux travailleuses et les travailleurs accidentés (FATA) en 1984[->19].

des villes Régions : Abitibi, Gaspésie, Bas-St-Laurent, Lac-St-Jean Après la Seconde Guerre mondiale Création de nouvelles villes dans les régions pour l’exploitation des ressources naturelles Développement de nouvelles villes (Murdochville, Chibougamau, Schefferville, Sept-Îles) Développement des banlieues et électrification des campagnes L’amélioration des transports (chemin de fer, auto) facilite les contacts entre la ville et la campagne et permet le développement de régions

 : Création de l’impôt provincial sur le revenu, soi-disant à titre provisoire, pour faire accroitre l’autonomie des provinces.  1954 : Création du ministère de l’Éducation du Québec  1957 : Grève de Murdochville / Grève à l'aluminerie d'Arvida  1958  : Publication du roman Les Chambres de bois d'Anne Hébert.  1959 : Grève des réalisateurs de Radio-Canada  1959 : Mort

ici les conditions de travail, pour que les choses bougent. Monsieur James Thwaites illustre très bien ce phénomène de solidarité dans son texte : (…)Quant aux collaborations ad hoc, au Québec, pendant les célèbres grèves d’Asbestos (1949) et de Murdochville (1957), les grévistes ont bénéficié d’une collaboration d’Autres syndicats de leurs centrales, ainsi que des appuis des syndicats d’autres centrales rivales. À la fin des années 1950, les diverses centrales du mouvement syndical au Québec ont réuni

répondre aux nouveaux besoins de la population. Ils le font souvent en intervenant publiquement dans les médias. Saviez-vous que… Deux grèves majeures ont marqué le Québec alors que Maurice Duplessis était premier ministre. Asbestos en 1949 et Murdochville en 1957. 22 Les nouveaux défis On a souvent l’impression que les syndicats sont si puissants que rien ne peut les affaiblir. Toutefois, il faut se rappeler que si le marché du travail change, les syndicats doivent aussi changer. Ils doivent

majestueux fleuve StLaurent aux flots argentés sous un soleil étincelant. Je connaissais cette route pour l'avoir déjà prise avec Janou. Rendus à "Anse-Pleureuse", nous bifurquâmes en direction de Murdochville pour rejoindre Gaspé, puis Percé. Le simple fait de passer pour la première fois par la route de Murdochville allait me servir par la suite. A la prison de Percé, tout se passa normalement... On avait juste renforcé ma surveillance. Un policier se trouvait en permanence devant ma cellule. Le procès