Muse Relation Poète

comme une œuvre maitresse dans le paysage poétique ➢ Sous le signe de Dionysos (l’ivresse) : à la base, son nom était « eau-de-vie » ➢ Le nom « Alcools » qualifie l’alchimie, la distillation de l’expérience vécue qui inspire le poète : il mélange les thèmes, les associe… II. Les thèmes récurrents dans l’œuvre d’Apollinaire ➢ L’amour (surtout avec ses muses) ➢ La fuite du temps ➢ Le monde moderne ➢ Pas de ponctuation, au profit

alexandrin du dernier tercet, laisse entrevoir une restitution complète de l’identité de l’écrivain. En effet la dernière strophe confère à l’auteur les caractéristiques d’Orphée, figure mythologique grecque, poète et musicien ainsi que fils de la muse Calliope et d’Apollon. Tout comme ce dernier, le poète se dit être le vainqueur à deux reprises de l’Achéron, fleuve des enfers (vers 12). « *Orphée est surtout connu pour son mariage malheureux avec la jolie nymphe Eurydice. Peu après le mariage, son épouse

feu et dévorant les hommes qui passent à sa portée. Cette désignation se fond parfaitement dans l’optique du romantisme, dont Nerval, Hugo, Nodier, Vigny et Balzac sont les protecteurs. El desdichado s’inscrit dans ce mouvement littéraire, car le poète y met en avant «*la liberté des formes et l’expression du moi, perçu comme divisé et douloureux ». Il n’est donc pas étonnant de découvrir dans cette œuvre de nombreuses figures mythologiques, mais aussi maintes tristes allusions lugubres et mélancoliques

littérature de la sensibilité opposée au rationalisme des philosophes. Au début du XIXe siècle, Chateaubriand, dans Les mémoires d'outre tombe ou dans René, évoque déjà l'insatisfaction des futurs romantiques. Mais ceux ci voient plutôt Goethe (écrivain et poète allemand, 1749-1832) comme leur père spirituel et considèrent Les souffrances du jeune Werther (1774) et Les affinités électives (1809) comme de purs chefs d'oeuvres romantiques. 2. Définition Pour le définir, nous dirons donc, en somme

matière demeure et la forme se perd. Introduction (Biographie de Pierre de Ronsard) Pierre de Ronsard(septembre 1524-décembre 1582) est un des poètes français les plus importants du XVIe siècle. « Prince des poètes et poète des princes » , Pierre de Ronsard, adepte de l’epicurisme1, est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance. Auteur d’une œuvre vaste qui, en plus de trente ans, a touché aussi bien la poésie engagée 2et « officielle »  dans le

nombreux articles de critique révélant un jugement d’une exceptionnelle maturité et d’une grade sûreté. En 1823, il fonde une nouvelle revue : La Muse française, qui conquiert une certaine notoriété. Il reçoit chez lui des artistes et de jeunes écrivains; ces groupements prennet le nom de Cénacles. Son autorité naturelle, ses premiers success de poète, la clarté nuancée de ses idées littéraires, son affabilité et sa distinction de manières, font vite de lui un chef d’école. On doit se demander

Guillaume Apollinaire (né Wilhelm Albert Włodzimierz Apolinary de Kostrowicki herb. Wąż. Apollinaire est en réalité - jusqu'à sa naturalisation en 1916 - son 4e prénom) est un poète et écrivain français, né sujet polonais de l'Empire russe. D'après sa fiche militaire, il est né le 26 août 1880 à Rome et mort pour la France le 9 novembre 1918 à Paris. Il est considéré comme l'un des poètes français les plus importants du début du XXe siècle, auteur de poèmes tels que Zone, La Chanson du Mal-Aimé

de L. Aragon dans la perspective des arts du langage, afin de montrer comment l'art poétique peut servir l'engagement de l'écrivain.Le poème C s'inscrit dans le recueil Les yeux d'Elsa publié en 1942, pendant la seconde guerre mondiale par Aragon, poète particulièrement engagé dans le PC, mais aussi dans le surréalisme dont il est l'un des fondateurs, et surtout dans la résistance avec sa femme Elsa Triolet, épousée en 39. Fortement choqué par la défaite de la France en 40, Aragon écrira ce poème

au près d'un seigneur, d'une grande dame, pour apprendre le métier des armes. Dévidant : mettre un fil en pelote. Oyant : entendre. Labeur : travail pénible et prolongé. Louange : éloge. Dédain : mépris de la romance. Cadence : rythme. Taquiner la muse : écrire quelques vers en amateur. Mulâtresse : mélange noir et blanc. Velléité : intention qui ne sont pas suivie de faits. Spleen : état d'abattement. Idée plus forte qu'un coup de cafard. Absence d'envie de vivre. Précaire : instable, risque de

A-Un médium jeune, léger, drôle, contemporain. B-Un fond historique qui nourrit une fiction. II – Kiki de Montparnasse. A-Alice Prin. B-Kiki, symbole de la femme. C-Un regard contemporain et idéal. III – Kiki et les arts. A-Kiki artiste et muse. B-Le quartier Montparnasse C-La place du surréalisme. Conclusion à rappeler que la personne d’Alice Prin a vécu dans un contexte particulier (les années folles) à rappeler qu’elle est le symbole de la femme dans ce contexte social particulier