Musée d'histoire naturelle de Londres

lors de la réunion de la « British Association of Sciences » le nom de « Dinosauria » (du grec « deinos », terrible et « sauria », reptile). Avec l'aide du prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha, mari de la reine Victoria, il créa le Museum d'Histoire naturelle de Londres, à South Kensington, pour exposer la collection nationale de fossiles de dinosaures.

Le musée est notamment connu pour son hall d’entrée (Central Hall) que domine le squelette d’un diplodocus et pour l’exposition de squelettes de dinosaures. L'architecte a fait pour les parties intérieures et extérieures un grand usage de briques de terre cuite pour résister à l'atmosphère londonienne riche en suie de l’époque victorienne. Des bas-reliefs de plantes, d’animaux et de fossiles décorent ces briques. L’axe central du musée est aligné avec la tour de Imperial College, le Royal Albert

MY TRIP IN ENGLAND FROM THE 24th OF MARCH TO THE 1st OF APRIL BY PAULINE CUNIN WEDNESDAY, MARCH THE 24th 2010 It’s the beginning of our amazing trip! We were going to see our exchange partner again, or to meet them, in my case! It was 5h45 am, I was waiting for the bus to come in front of the high school with Agathe, Chloé and Lucie. It was 6h00 am when it finally came. We put

IT’S HARD not to think of the Ashmolean as a national asset, alongside the Tate and the British Museum. It's almost as big, it seems, with elements of its collections comparable, and it was Europe's first public museum. But it is a university museum, and like all university museums it has laboured for decades as officially no more than part of a faculty, and a fairly minor part at that. It struggled to be anything more than a study collection — albeit a very exalted one — but all that is changing

Informations Londres Hébergement Deux adresses d’auberges de jeunesse où j’ai séjourné : Picadilly Backpackers 12 Sherwood Street, Picadilly W1F 7BR London (en plein centre de Londres) Le petit-déjeuner est censé être gratuit (biscotte + confiture) mais en réalité pour un petit-déjeuner copieux tout est payant. Les tarifs varient en fonction de quand on réserve (plus c’est tôt moins c’est cher). J’ai regardé pour le dernier week-end de novembre et les tarifs sont les suivant :

and organizations that have arisen to support the specific business needs of the French community in London, including the Franco British Lawyers Society, Association des Français self-employed en Grande-Bretagne (A.S.S.E.M) and Club Financier de Londres. ----------------------- [1] Royal Borough of Kensington and Chelsea

civiles remarquables (C) Citadelles, forteresses et architectures militaires (F) Sites et musées archéologiques (A) Musées des beaux arts (M) Musées et sites historiques (H) Ecomusées et musées d'art et tradition populaire (E) Muséums et musées d'histoire naturelle (N) Musées thématiques (Th) Lieux non-culturels Parcs récréatifs et bases de loisirs (P) Parcs animaliers (zoos et aquariums) (Z) Grottes, gouffres, avens et grottes préhistoriques (G) Sites et villages pittoresques (S) Parcs et jardins (J)

Introduction Le Muséum d’histoire naturelle de Bruxelles a ouvert ces portes en 1846. Il fait partie intégrante de l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique (IRSNB)[1], un centre de recherche de renommée internationale. Le Muséum représente la vitrine de l’Institut, lequel est une institution de l’Etat fédéral belge puisqu’il appartient au Service Public Fédéral de Programmation Politique Scientifique – Service du Premier Ministre. Une des missions de l’Institut est la diffusion de

des modules de programme intéressants et programmes d'expérience pour des groupes et classes scolaires pour 3 et 5 jours. Deplus, dans la ville, il est possible de visiter la ville avec la cathédrale, le musée de Gutenberg, le musée central germanique romain, musée de l’histoire de la nature, musée de la navigation ancienne, ce qui fait partit de la cité de Mayence. Enfin, Bingen se trouve à 30 km de là ce qui nous permettrait de prendre le bateau pour nous promener

existence réelle. Il se trouvait même quelque esprit pour croire que cet oiseau n'était en fait que l'avatar délirant de marins en mal d'imagination. .Après 1800, un livre, à lui-seul, suffit à rétablir la vérité, « The Dodo and its kindred » (1848-Londres). Bien qu'il s'agisse du tout premier ouvrage traitant du Dodo, il s'avère remarquable car, ne disposant pas des ossements archéologiques trouvés depuis, il contenait nombre détails s'avérant parfaitement exacts. Le fait, par exemple, d'avoir suivi