Musée Guggenheim

Henri IV reçoit le portrait de la reine et se laisse désarmer par l'amour Petrus Paulus Rubens 1577 1640 Huile sur toile 1622-25 3.94 x 2.95 m Musée du Louvre Série de 24 tableaux réalisés entre 1622 et 1625 commandé par la reine de France Marie de Médicis pour mettre en scène sa propre histoire Description Au centre un portrait de femme tenu par deux personnages ailés, l’un est un enfant, l’autre est plus âgé. Ils sont nus. Le plus âgé porte une couronne de fleur, un drapé sombre cache

écrivain naturalisé français (né polonais), né le 26 août 1880 à Rome et mort le 9 novembre 1918 à Paris En 1911, Le 7 septembre, inculpé pour complicité de vol, sa nonchalante insouciance le fit impliquer dans un vol de statuettes phéniciennes au musée du Louvre ;Le 12, il est relâché et l'affaire se termine par un non-lieu qui termina l'affaire, le poète connut donc un court séjour à la Santé . . Ce court séjour en prison a cependant traumatisé le poète qui rend compte de cette expérience dans ce

à rendre pour le 5 janvier 2008) Oeuvre choisie : Nicolas Poussin, Éliezer et Rebecca, 1648. [Il existe deux autres tableaux de Poussin traitant de ce sujet, dont une version peinte tardivement, vers 1664, peut-être inachevée, et conservée au Musée Fitzwilliam de Cambridge]. I. L’auteur du tableau (biographie) -> Dates, lieu(x) de naissance et de décès, nationalité, origine sociale. Nicolas Poussin est né à Andelys le 15 juin 1594 (près de Rouen). Il meurt à Rome, sa ville d’adoption

jaune, sans gilet, un grand habit à queue carrée...), des invités p112 (Mme Fauconnier, et les Boche, M Madinier...), des témoins p113 ( M Madinier, Bibi-la-Grillade, Lorilleux, Boche), du programme p114 (le mariage a la mairie était pour 10h30...), Musée du Louvre p124 p125 p126 p127 p128 (Dans la galerie d'apollon...), Pont royal pour se réfugier de la pluie p128 (proposa de se réfugier sous le Pont-Royal), du repas prévu pour 6h, ils attendaient la noce depuis 20 minutes, au moulin-d'argents p131

commande à Noisot où il fixe le portrait de son héros. « Napoléon s’éveillant à l’immortarlité » de 1846. Alors que l’aigle a expiré, l’empereur couronné de lauriers sort de son suaire. La verve historiciste est au cœur du romantisme. La création du musée de St Germain en Laye par Napoléon III en 1862 présentant des antiquités celtiques et gallo-romaines est en lien direct avec l’écriture d’une biographie de Jules César. Dans cette lignée, l’Empereur commande à ses frais à Aimé Millet une représentation

surface de plâtre d’une paroi) pour décorer les murs de sa maison, appelée la Quinta del Sordo (« ferme du Sourd »), que le peintre avait acquise en février 1819 ; ces fresques furent transférées sur toile en 1873. Elles sont actuellement conservées au Musée du Prado, à Madrid. La série de peintures à l’huile auxquelles Goya ne donna aucun titre, fut cataloguée en 1828 par un ami de Goya, Antonio Brugada[1] et se compose des toiles suivantes (entre parenthèses, le nom sous lequel elles sont connues en

s'inspire très largement du tableau du même nom de son maître d'alors, Le Pérugin. ← Vierge à l'Enfant couronnée par les saints (vers 1504), 172,4 x 172,4 cm, Metropolitan Museum of Art, New York. ← Les Trois Grâces (1504-1505), 17 x 17 cm, Musée Condé, Chantilly ← Saint Georges combattant le Dragon (1504-1505), 28,5 x 21,5 cm, National Gallery of Art, Washington D.C. ← La Madone du belvédère (ou Vierge à la prairie, Madonna del prato en italien) (1506), huile sur toile de 113 cm

13.André Malraux, L'homme précaire et la littérature, 1977 (posthume) Il est commode de distinguer plusieurs volets ds l'oe de Malraux: romans (Les Conquérants, 1928; La Condition humaine, 1937); essais (Le Miroir des limbes), écrits d'art (Le Musée imaginaire). L'unité de cette oe (et d'une vie consacrée à l'engagement politique, antifasciste d'abord, gaulliste ensuite) peut être cherchée ds la permanence de l'interrogation métaphysique sur la mort, le sens de la vie, le destin, ms aussi ds le

droit et parallèlement fréquente l’atelier du peintre Charles de Steuben. Son ami d’enfance Adolphe Marlet l’introduit à l’atelier de Nicolas-Auguste Hesse un peintre d’histoire qui l’encourage dans la voie artistique [2]. Courbet se rend aussi au musée du Louvre pour y étudier les maîtres, en particulier les peintres de l’école espagnole du XVIIe siècle Vélasquez, Zurbaran et Ribera. Il est admiratif du clair-obscur hollandais, de la sensualité vénitienne et du réalisme espagnol. Courbet est un œil

Courbet (1819-1877) Un Enterrement à Ornans(1850) Huile sur toile,Paris,musée d'Orsay Introduction: Un enterrement à Ornans est une œuvre de Courbet réalisé en 1850, ce tableau est le manifeste du mouvement réaliste dont le peintre sera le chef de fil. C'est une huile sur toile(315*668cm) désormais exposé au musée d'Orsay de Paris. La toile de Courbet obéit à une construction géométrique rectangulaire: • Tout d'abord, si l'on suit les ligne formées par les falaises en arrière-plan et les pieds de