Musée national des Travaux publics

à la beauté, à l'inédit et à l'inattendu, cette nouvelle nuit sans sommeil vous propose une rencontre unique avec des œuvres contemporaines originales pour la plupart spécifiquement conçues pour cette occasion - inscrites au cœur même de l'espace public. L'an dernier, l'affluence avait pu, dans certains lieux aux capacités d'accueil limitées, entraîner de longues heures d'attente. C'est pourquoi, pour cette seconde édition, nous avons choisi de privilégier des lieux plus ouverts et plus vastes et

Louis XVI, création de l'Inspection générale des carrières pour les gérer, les consolider et lutter contre les effondrements ; transfert de l'ossuaire de l'Inspection à la Direction des affaires culturelles de Paris (1983), puis au musée Carnavalet (2002) ; importants travaux de sécurité à l'ossuaire municipal pour maintenir les visites ; entrée place Denfer-Rochereau (14e arrondissement) et 2 km visitables ; 300 000 visiteurs officiels en 2010 ; certaines autres portions utilisées régulièrement mais

jeunesse à Sarlat. Alors qu'il souhaite être peintre, ses parents l'orientent vers les études d'architecture[1]. Il s’inscrit en architecture à l'École des Beaux-Arts de Bordeaux en 1964, et est admis en 1966, premier au concours d’entrée, à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris dont il sort diplômé en 1972[2]. Influencé par Paul Virilio et Claude Parent, dont il est l'assistant entre 1967 à 1970[3], il fonde en 1970 sa première agence avec François Seigneur[2]. Architecte de la Biennale

- Notion : idée générale ou abstraite, comme un concept. - Patrimoine : ensemble de biens matériels ou immatériels dignes d’intérêt, qui peuvent-être privés ou publics, et que la société souhaite conserver et transmettre, - Patrimoine culturel : ensemble de biens matériels ou immatériels construits par l’homme et considérés comme constitutifs de son identité.

en 1947, le prix Niepce en 1956. En 1960, Doisneau monte une exposition au Musée d'art contemporain de Chicago. En 1975, il est l'invité d'honneur du festival des Rencontres d'Arles (France). Une exposition lui y est consacrée. Il recevra d'autres prix pour son travail : le Prix du Livre des Rencontres d'Arles pour L'Enfant et la Colombe (1979) et pour Trois secondes d'éternité en 1980, chez contrejour, le Grand Prix national de la photographie en 1983 et le prix Balzac en 1986. En 1986, le festival

2 Aménagements et accueil d'événements majeurs o 1.3 Projets de rénovation et d'agrandissement * 2 Description technique o 2.1 Terrain de jeu et tribunes o 2.2 Aménagements intérieurs + 2.2.1 Musée + 2.2.2 Tourisme et aspects commerciaux * 3 Environnement o 3.1 Équipements à proximité o 3.2 Desserte * 4 Principaux évènements accueillis o 4.1 Événements Sportifs + 4.1

Visuels disponibles pour la presse Page 21 Culturespaces, producteur de l’exposition Page 22 L’équipe de conception Page 24 Les outils d’aide à la visite Page 26 Les publications Page 27 Le mécène de l’exposition Page 28 Les partenaires Page 31 Le Musée Jacquemart-André Page 33 Informations pratiques 2 Cette exposition rassemble une soixantaine de tableaux issus de grandes collections privées et de collections publiques européennes (Musées des Beaux-arts de Lille, Nantes, Rennes, Oxford, Liège…)

INTRODUCTION Notre dossier porte sur la Biennale d’art contemporain, manifestation culturelle qui a lieu tous les deux ans à Lyon. La Biennale de Lyon est née d'un projet du Musée d'art contemporain de Lyon (MAC). En effet, suite à quatre éditions d'une manifestation annuelle intitulée « Octobre des arts » tenue par le Musée, Thierry Raspail, directeur du MAC, organise en 1989 l'exposition « La couleur seule, l'Histoire du monochrome » qui remporte un franc succès. De plus, inspirée par le Ministère

institution culturelle nationale, le Centre Pompidou, en partenariat avec des collectivités territoriales, en l’occurrence, la Ville de Metz, la Communauté d’Agglomération de Metz Métropole, le Département de la Moselle et la Région Lorraine. Elle illustre parfaitement le projet culturel de cette institution nouvelle, née au cœur de l’Europe, qui propose à un large public une programmation exigeante en s’inspirant des valeurs du Centre Pompidou – l’innovation, l’ouverture à tous les publics, la pluridisciplinarité

50-60 personnes. Matanzas, Monument National. Fort El Morrillo Il a été construit en 1720 pour fortifier la zone de l'embouchure du fleuve Canímar et défendre la ville de Matanzas des attaques de corsaires et de pirates. Il a été rénové en 1776 et 1807, mais il s'est maintenu inaltéré depuis 1830. Le leader révolutionnaire Antonio Guiteras y a été assassiné à proximité en 1935. L'entrée est admise pour des groupes de 25-30 personnes. Matanzas, Monument National. Fort Rojas Construction militaire