Musée Unterlinden

formulation archaïque qui pourrait être un souvenir du «Quiconque meurt meurt à douleur» de Villon, l’idée se retrouvant ailleurs chez Aragon : «Mais ce n’est qu’à douleur qu’on naît même à l’amour» (“C’est une absurdité que de mettre des rimes”, dans “Le musée Grévin”) - «Que sais-tu du malheur d’aimer» (“Chanson pour Fougère”, dans “Le voyage de Hollande”). Vers 2 : La meurtrissure que produirait l’amour est une blessure physique. Vers 3 : La flétrissure est une blessure morale, donc plus grave. Vers

1503 et 1506, qui représente un portrait mi-corps, probablement celui de la florentine Lisa Gherardini, épouse de Francesco del Giocondo. Acquise par François Ier, cette peinture à l'huile sur panneau de bois de peuplier de 77 × 53 cm est exposée au musée du Louvre à Paris. La Joconde est l'un des rares tableaux attribués de façon certaine à Léonard de Vinci. La Joconde est devenue un tableau éminemment célèbre car, depuis sa réalisation, nombre d'artistes l'ont prise comme référence. Ce chef-d'œuvre

Portrait présumé de Montaigne par un auteur anonyme (anciennement attribué à Dumonstier) repris par Thomas de Leu pour orner l’édition des Essais de 1608. Ce portrait, dit de Chantilly car acquis par le duc d’Aumale en 1882, est aujourd’hui au musée Condé, Les vêtements et décorations désignent le détenteur de l'ordre de Saint-Michel qui lui fut attribué en 1577. Michel Eyquem de Montaigne, dit Montaigne, seigneur de Montaigne[1], né le 28 février 1533 et mort le 13 septembre 1592 à Saint-Michel-de-Montaigne

Jacques-Louis David qui était un peintre Français, et considéré comme le chef de fil du néoclassicisme. Ce tableau à été commencé à Paris sur une commande du roi (Louis XVI), mais David choisit de le poursuivre à Rome. Il est actuellement exposé au musée du Louvre à Paris. Il représente un grand sujet de l'histoire de la Rome Antique. 2. Sur cette œuvre, on voit les trois frères Horaces tendant le bras en signe de leur promesse faite de se battre pour Rome, le père leur tend les armes ce qui a pour

1805) Présentation de l’œuvre et de l’auteur Je vous présente l’œuvre de Jacques-Louis David : « Le Sacre de Napoléon » qui est une peinture sur une immense toile (9,79 m de long et 6,21 m de haut). Le tableau est conservé à Paris dans le Musée du Louvre. Cette scène se passe à la Cathédrale de Notre Dame de Paris le 2 décembre 1804, c’est quand Napoléon va se faire sacrer empereur par le pape Pie VII, venu de Rome et ensuite Napoléon va couronner sa femme Joséphine. Cette peinture à été

Beaux-Arts, fait recevoir par le jury du Salon une Esmeralda dansant (détruite ensuite) et exécute ses premières commandes, le Portrait de Mlle Lacau (Cleveland Museum of Art), qui révèle son sens de la grâce féminine, et celui de William Sisley (musée du Jeu de paume, Paris), le père de son ami peintre, tableau qui sera accepté au Salon de 1865. Ses parents étant retirés à Ville-d'Avray, il est accueilli par Sisley d'abord, puis, après le mariage de celui-ci, par Bazille. Renoir a peint ses amis

RMN-Grand Palais - H. Lewandowski Auteur : Eugène DELACROIX (1798-1863) Date de création : 1830 Date représentée : juillet 1830 Dimensions : Hauteur 260 cm - Largeur 325 cm Technique et autres indications : Huile sur toile Lieu de Conservation : Musée du Louvre (Paris) Contexte historique Charles X, et son impopulaire ministre, le prince de Polignac, remettent en cause les acquis de la Révolution. L’opposition libérale, par le biais du journal Le National, prépare son remplacement par le duc Louis-Philippe

jugent qu'une architecture aussi moderne « détruit » la partie classique du musée et réduit la visibilité de la cour Napoléon, mais d'autres apprécient ce mélange d'ancien et de moderne. Malgré les critiques, le projet de construction de la pyramide en verre est maintenu par François Mitterrand. Ieoh Ming Pei en commence la construction en 1983. Pei doit répondre à un problème fonctionnel : le Louvre est en 1981 est un musée poussiéreux et saturé qui n’a pas d’entrée digne de ce nom. Il manque certains

haut, 35, 4 m de côté Matériaux : Verre et acier Lieu d'exposition : Au centre de la cour Napoléon, musée du Louvre, Paris Contexte historique, social, artistique...: François Mitterrand, décida de rénover le Louvre. Il s'agissait de rendre accessible à tous les français le patrimoine artistique de ce musée devenu vieux et beaucoup trop petit. L'idée était de créer une entrée en sous sol pour le musée les pyramides ayant un rôle de puits de lumiere. En partie occupé par le ministère des finances en

est coiffée d’un bonnet phrygien et tient dans sa main droite un drapeau tricolore (interdit depuis 1815). Elle foule aux pieds deux soldats du roi, un Suisse et un cuirassier terrassés. La Liberté guidant le peuple, Eugène Delacroix, 1830, Paris, Musée du Louvre - photo Erich Lessing Un ouvrier manufacturier : béret, pantalon à bretelles, tablier. Bourgeois en redingote, avec cravate, chapeau haut de forme. Etudiant en bicorne de l’Ecole Polytechnique. Journalier en blouse bleue Gamin en gilet