Musique indonésienne

CORNEILLE (1606-1684) SURENA (1674) __________________________________________ I, 3, vers 239-294 _________________________________________ - l’enjeu: Comment le dramaturge orchestre-t-il les retrouvailles des amants? - les axes: 1. Dramaturgie et théâtralité 2. Le renouvellement du tragique cornélien DETAILS STYLISTIQUES - des rimes à contre-sens (antithèses à la rime) qui amplifient le tragique : revoir/ devoir (239/240)

Fiche extrait : Entracte : Lamento du Jardinier Lamento : Complainte avec une musicalité d’opéra. Complainte car utilisation du registre pathétique (champ lexical de la solitude + utilisation du je) Registre élégiaque = moitié lyrique/pathétique (affection tendresse, joie, amour que le jardinier réclame aux dieux parce qu’il est malheureux.) Paradoxe dans ce lamento. Entracte : permet une pause pour les acteurs mais aussi pour les spectateurs qui peuvent prendre du recul. Elle sert donc de suspension

culture que vous aurez acquise. 2. Déroulement : 1. Quatre questions de connaissance portant sur la frise chronologique. (1 minute) Si le tirage d'une œuvre au sort exige que vous analysiez une œuvre musicale, vous serez interrogé sur la colonne « musique ». Si vous devez analyser une œuvre visuelle, vous serez interrogé sur la frise chronologique résumée des Arts plastiques. 2. Présentation par l’élève de l’œuvre tirée au sort. (6 minutes) L’élève commente précisément l’œuvre en la situant dans son

|Poèmes à Lou, « Si je mourais là-bas », Guillaume Apollinaire : commentaire | Texte analysé : Si je mourais là-bas sur le front de l'armée Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée Et puis mon souvenir s'éteindrait comme meurt Un obus éclatant sur le front de l'armée Un bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et

Le Neveu de Rameau : Sur la musique p.120-132Résumé : Dans ce passage, le neveu de Rameau « Lui » avoue au philosophe « Moi » toute la sympathie qu'il éprouve pour les nouveaux chants et la musique d'origine italienne. Tous deux entament dans un premier temps une conversation afin de définir ce qu'est un chant. Le philosophe admet que lui ne connaît aucune notion claire et précise, tandis que le neveu donne une définition assurée. Ensuite, ce dernier poursuit son discours en répondant à la question

IDEES POUR COMMENTAIRE « ANIMAUX MALADES DE LA PESTE » Problématique : Comment JDLF à travers un récit aux apparences ludiques et plaisantes parvient-il à dénoncer les défauts des hommes ? / à dresser une satire sociale ? I. Récit court et plaisant 1) Qui suscite le plaisir du lecteur (animaux qui parlent=ludique, rimes=musicalité, ref à mythologie) 2) Structure simple (histoire qui tient sur 64 vers) 3) Mais riche : variation ponctuation, vers (alexandrins, octosyllabes), rimes, césures

Isles laverie du pont des morts 18h00 - 02h00 installation, performance vesna bukovcak 13 Chapelier FOu / GaGGle / auFGanG 08 Shizzle ShapeS basilique St vincent 19h00 / 21h00 / 23h00 musiques actuelles le Chapelier Fou, Gaggle, aufGang Présenté par l'EPCC Metz en Scènes en collaboration avec Musiques Volantes et Zikamine Avec le soutien de la Caisse des Dépôts Cloître de l'abbaye St Clément, hôtel de région 18h00 - 01h00 installation sonore, vidéo et lumière Cédric bachorz aka Diez, Julien

I- La poésie décrit la beauté 1. Par définition : la poésie est l'art qui inclut la musicalité de l'expression et des images. C'est peut-être le genre le plus approprié pour traduire la beauté liée à un jugement, une sensibilité très personnelle ex : "Parfois lorsque tout dort, je m'assieds plein de joie" de Victor Hugo. La beauté poétique fait ressortir l'intensité d'admiration du poète face au ciel. 2. Grâce à la poésie, l'on peut transfigurer le monde et

Fiche FR , l.a 8 Extrait de zone Apollinaire Le poème ici commenté est essentiel puisqu'il ouvre le recueil d'Alcool publié en 1913 , c'est le dernier texte écrit par Apollinaire et pourtant il figure en ouverture. Son titre même Zone nous indique une frontière indécise que le lecteur va franchir. Cette ouverture a donc une valeur de manifeste qui présente le projet poétique du recueil . A travers l'errance du poète dans Paris en proie à un chagrin d'amour( séparation avec Marie Laurencin),

les nombreuses allitérations en « t », « mar » : « un tintamarre de marteaux battant en cadence. » ou « s » : « cadence faisait une grosse sonnerie argentine ». Il y a de la vie dans cet immeuble misérable. A cette évidente musicalité s’ajoute une musique qui, telle une routine, endort celui qui l’écoute, en l’occurrence Gervaise : «C’était la reprise de la tâche après le déjeuner…la maison rentrant dans cette grande paix, coupée uniquement du bruit des métiers, du bercement d’un refrain, toujours