Musique profane

LA Musique profane : A cette époque le madrigal se développe. Art de cour et art profane a la fois. Il se dit équivalent au motet. Equilibre qui se fait à 5 voix, et devient l’écriture habituelle. (1550 -> 1580). A cette époque on utilise que 6 notes que sont le ut, ré, mi, fa, sol, la. Exemples de compositeurs : Cyprien de Rore, Palestrina, Roland de Lassus ( 500 madrigaux ) , Philippe de Monte ( + de 1000 madrigaux ). On pourra remarquer des figuralismes dans ces œuvres. Dans les derniers

heureux : Les éléments traditionnels du mariage religieux sont repris mais entremêlés à des éléments fantaisistes. A - Une ambiance festive : - musique, danse : grande impression de vie. Les termes « parade » « le ballet » « pas de claquette » évoquent le mouvement. A cela s'ajoute les verbes signifiant des émissions de sons ainsi que le champ lexical de la musique : « scandait le rythme » « ils chantaient » « exécuta un chorus » « ils firent un autre accord » - les 6 amis apparaissent soudés : « prit

la manière dont on se recueille.   La distinction entre le sacré et le profane est-elle pertinente ?   Cf Roger Caillos. La distinction du sacré et du profane ne suffit pas à définir complètement la religion en général. Elle permet de caractériser un aspect essentiel à toutes les religions. Rend compte l'organisation de toute la vie du croyant qui est séparé entre un domaine sacré et un domaine profane. Domaine profane : ce qui touche superficiellement l'homme qui a la foi. Domaine sacré :

création ou d’une action posée. L’avènement de ces diverses créations divines explique comment une réalité a pu commencer à exister. Tout ce qui se veux réel doit appartenir au domaine du sacré car c’est la seule réalité possible. Tout ce qui est profane est nécessairement irréel puisque lorsque qu’il n’y a pas de modèle mythique, tout activités humaine serraient vaine pour la raison qu'il n’y a aucune signification à leur présence. En effet, l’homme religieux va constamment tenter de poser des gestes

l’apparition d’un fantôme), soit en changeant le cours des choses, soit en inspirant des idées à l’homme, soit par des phénomènes naturels (comme la pluie …). -------------------------------------------- [ 1 ]. Mircéa Eliade, « le sacré et le profane », Editions Gallimard, pour l’édition française, 1965, p 30

l'existence d'un homme areligieux. Il y a avant tout ce fait : l'homme areligieux refuse la transcendance, accepte la relativité de la « réalité », et il lui arrive même de douter du sens de l'existence. » Mircea Eliade, Le Sacré et le Profane (1965), Éd. Gallimard, coll. «Folio», 1965, pp. 171-172.   Analyse : Il s’agit de définir l’homo religiosus, c’est-à-dire le propre de l’attitude religieuse quelle que soit la forme qu’elle peut prendre. Attitude religieuse ou mode d’être

est d’autant plus facile à penser et à appréhender lorsque l’on pense à la transition profane/religieux. En effet, pour l'homme religieux, l'espace n'est pas homogène ; il présente des ruptures, des cassures : il y a des portions d'espace qualitativement différentes des autres. Il y a donc un espace sacré, et par conséquent « fort », significatif, et il y a d'autres espaces, non-consacré : on parle d’espace profane. Plus encore, pour l'homme religieux, cette non-homogénéité spatiale se traduit par

variables, au moins s’efforce-t-elle de dégager la constante ». Elle parait-être parfaitement compléter par l’ouvrage de M. Eliade, le sacré et le profane qui montrera une conception plus symbolique du même phénomène. CITATIONS : I. Rapports généraux du sacré et du profane « Toute conception religieuse du monde implique la distinction du sacré et du profane, oppose au monde où le fidèle vaque librement à ses occupations, exerce une activité sans conséquence pour son salut, un domaine où la crainte

lui aussi, sur le point de séteindre? Peut-être a t-il changé de forme? Où se serait-il réfugié? Dans sa plus simple description, le sacré est la force qui s'oppose au profane. C'est aussi un moyen d'entrer en contact avec le monde divin et de lui demander comment guider notre vie. C'est donc le sacré qui impose ce qui est profane et ce qui ne l'est pas. Il défini l'interdit, il pose une barrière. C'est probablement la raison pour laquelle nous ne pouvons pas nous en passer. D'un autre côté, c'est

principe même de la cohésion sociale. La religion contribue à développer l’idéal moral dans la nature humaine, ce qui fait que l’homme est double : il y a deux êtres : un être individuel et un être social. b) La division du monde entre sacré et profane Durkheim tente de définir le phénomène religieux dès le premier chapitre de formes élémentaires de la vie religieuse. Il commence par rejeter diverses conceptions prétendues à son époque. L’idée de surnaturel est insatisfaisante pour définir la