Mythe D Ulysse

romantique Victor Hugo (1802-1885) revient à une conception épique du roman : il devient la conscience du peuple, qui doit accentuer, dramatiser les événements pour leur donner un sens symbolique. → Les misérables de V.Hugo : il élève jusqu'au mythe le personnage du forçat (Jean Valjean) et deux enfants => Causette : enfant persécuter et Gavroche : symbole du courage et de la liberté. Hugo rend hommage à Gavroche dans un oxymore célèbre :  « Cette petite grande âme venait de s'envoler »

la joie et de la vie. Athéna est la déesse de la guerre savante et de la sagesse. Elle vit dans l’acropole d’Athènes qui a été bâtis en son honneur. Elle symbolise le travail et les actions dirigés par les voyantes. On dit qu’elle aurait inspiré Ulysse afin qu’il revienne victorieux de ses batailles. Poséidon est le dieu de la mer. Il a eu cette partie du monde lors du partage de celui-ci avec ses frères (Zeus et Hadès). Il est armé de son légendaire trident et c’est de cette manière qu’il faisait

d'interdit et de permission et que cette morale peut être transmise par des histoires, c'est-à-dire, des mythes et des contes qui ont été les premières législations. Par exemple, deux interdits sont souvent critiqués: - l'interdit de l'inceste ( le mythe d'Oedipe, la belle aux bois dormants, " Podan ou peau d'âne" ) - Meurtre au sein du même groupe ( Caïn et Abel, Remus et Romulus) => Ce serait l'utilité de la littérature réputé inutile. L'Iliade: Ilion c'est l'autre nom de Troie, cette épopée

quand nous tirâmes au sort. À Hadès, échurent les ténèbres brumeuses, à Zeus échut le vaste ciel, dans l’éther et les nuées. La terre nous est commune, comme le vaste Olympe. » Homère, Iliade XV, 187-193 3 - L’enlèvement de Perséphone et le mythe des saisons Hadès (Pluton) tombe amoureux de Perséphone (Proserpine), fille de Zeus (Jupiter) et de Déméter (Cérès), la déesse des moissons. (Perséphone est donc la nièce d’Hadès, à la fois par son père et par sa mère - puisque Zeus, Hadès et Déméter

ceux qui lui sont soumis, comme l’explique La Boétie dans le Discours de la servitude volontaire (1553). Mais l’imagination permet aussi à l’esprit de juger et de connaître ; l’image est le vecteur nécessaire de l’idée, comme le montre l’exemple du mythe. Mieux encore, l’imagination est anticipation, expérimentation possibles dans des domaines aussi distincts que la science ou la poésie. Il est commun de rappeler que Platon, aux livres VI et VII de La République, avait dévalorisé l’imagination comme

forme ou du fond, on rencontre l’infinie variété des réécritures plus L E S M O T S D U C E R C L E La réécriture, quelle que soit son amplitude peut toucher des aspects du texte très différents. On réécrit, comme dans un passage de témoin, un mythe, un personnage, une situation, une formulation, voire un style, comme le pratiqua Proust dans ses Pastiches, réécriture d’un fait divers « à la manière » de Balzac ou de Flaubert. On pense par exemple aux réécritures de mythes grecs, passés des récits

Barca, Hannibal, Achille, Ariane, Artémis, Athéna, Bacchus, Créüse, Chronos, Déméter, Dionysos, Œdipe, Médée, Méduse, Narcisse, Ulysse, Pégase, Perséphone, Pollux, Prométhée, Psyché, Vénus et Zeus sont quelques-uns parmi les personnages cités dans ses textes. 4Depuis sa toute première publication psychanalytique, L’Interprétation des Rêves (1900), Freud réunit le rêve, le mythe et la réalité en un continent unique. En évoquant le pouvoir divinatoire des rêves – ce qui nous renvoie à l’idée d’oracle –

avait été appelé le Magenta a changé son nom…lors de la publication suivante. Présidents Américains et degrés honorifiques : 1776 : George Washington 1781  John Adams 1787  Thomas Jefferson 1822  John Quincy Adams 1833  Andrew Jackson 1872  Ulysses S. Grant 1905  William Howard Taft 1907  Woodrow Wilson 1917  Herbert Hoover 1919  Theodore Roosevelt 1929  Franklin Delano Roosevelt 1946  Dwight Eisenhower 1956  John F. Kennedy L’Architecture: L’architecture à Harvard est impressionnante

principe de son ironie initiatique et dénonce, grâce au « théâtre des Compagnons d’Ulysse » (selon Marc Fumaroli, dans le poète et le roi ) , les dures vérités des mortels, telles « nul n’est accrédité à pontifier ». Toujours « esclaves d ‘eux même », Ulysse croit pouvoir exhorter son compagnon devenu loup : « - Quitte ces bois et redeviens, - Au lieu de loup, homme de bien. - En est-il dit le loup. Pour moi je n’en vois guère. - Tu t’en viens me traiter de bête carnassière : - Toi qui

est régie par la règle des trois unités ainsi que par celles de la bienséance et de la vraisemblance. - Au XIXe siècle, la tragédie disparaîtra au profit du drame romantique, avant de réapparaître au XXe siècle sous forme de mythes tragiques (le mythe d’Électre, d’Œdipe) sans que le genre renaisse réellement de ses cendres. D’ailleurs, Jean Giraudoux parle de "comédie tragique" à propos de La guerre de Troie n’aura pas lieu (1935) et Jean Anouilh de "pièce noire" à propos de son Antigone (1944)