Mythologie celtique

Au commencement, était Apsu et Tiamat. Apsu, le mâle, était l'eau douce, et Tiamat, son épouse, était le grand océan chaotique primitif, et le Dragon. Ils donnèrent naissance à de nombreux Dieux, et à Muumuu, la brume, qui devint le conseiller d'Apsu. N'ayant rien d'autre à faire, les Dieux faisaient la fête tout le temps, en faisant tellement de bruit que Tiamat et Apsu ne pouvait pas dormir. Apsu en eu assez, et voulu tuer tout les Dieux, encouragé dans cette idée par Muumuu. Il alla voir Tiamat

morceaux éparpillés. Ils constituent alors Osiris le temps d'une union d'où naquit Horus (le dieu de la royauté). Horus vainquit Seth en duel et régna sur l'Égypte. Osiris, lui, devint le roi du royaume des morts. [pic] 4.Noun : Dans la mythologie égyptienne, l’océan primordial est appelé le « Noun ». On peut considérer le Noun comme un concept plutôt qu’un dieu. Il est l’océan qui a fait la Vie et qui fera la Mort. Il est sans créateur, il s’étend autour du monde. Tous les mythes de création

L’âge d'or est un mythe qui apparaît principalement dans la mythologie grecque puis la mythologie romaine (qui s'y réfère sous le nom de « règne de Saturne »). L’âge d'or fait partie du mythe des âges de l'humanité, avec l'âge d'argent, l'âge d'airain et l'âge de fer. Voir l'article sur le mythe des races. La description de cinq races apparaît dans la Théogonie (littéralement naissance des dieux) et dans Les Travaux et les Jours d’Hésiode, deux ouvrages du viiie siècle av. J.-C. Le poète romain

du mythe apollinarien lui-même. Fidèle à ses maîtres grecs, il n'oublie pas la devise de Platon "le vrai poète est celui qui crée des mythes". Il puise son inspiration dans la réalité du XXe siècle naissant, tout en se servant de symboles de la mythologie grecque, assurant ainsi la continuité entre deux ères qui semblent s'exclure. Bibliographie 1. Alcools et Calligrammes, présenté par M. Décaudin, Paris, éd. Du Limon, 1991 2. Oeuvres poétiques, édition établie et annotée par M. Adéma et M

la bouche, front, visage. Le visage semble dans ce passage acquérir une dimension fantastique. Le visage acquiert une véritable autonomie. Il fascine comme le souligne tout le lexique de la beauté, en fait il renvoie à Méduse : personnage de la mythologie grecque, elle est l'une des trois gorgones, très belle jeune femme mais Athéna transforme sa chevelure en serpent et va pétrifier ceux qui la regarde en face. Duras ne manque pas de montrer l'aspect monstrueux de son visage par des termes forts

du naufrage => dangers communs). Le quatrième se situe dans la mythologie et les liens filiaux qui existent entre la mer, la déesse de l'amour et le dieu de l'amour. 3. Les différences entre la mer et l’amour : dans les tercets, les 2 thèmes ne sont plus assimilés - Les images des vers 9 et 10 : La mère de l'amour eut la mer pour berceau, Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau. Marbeuf fait allusion à la mythologie grecque et romaine. La mère de l'amour est Vénus ou Aphrodite. Selon

des deux mains un énorme rocher. » Chant XI vers 593 et 594 ici peint en 1549 sur toile par Titien, un peintre italien de la renaissance Ulysse et les sirènes : John William Waterhouse est un peintre néoclassique qui s’est souvent inspiré de la mythologie grecque pour ses tableaux. Il a souvent représenté les sirènes, comme sur ce tableau intitulé « Ulysse et les sirènes » et peint en 1891. On y voit Ulysse attaché au mat de son bateau afin d’entendre chanter les sirènes sans pouvoir les rejoindre

précédente. Le 21 avril 1699 : Inhumé à Port-Royal. Les codes théâtraux : Phèdre est une tragédie (classique) en cinq actes et en vers de Jean Racine. En effet, Phèdre appartient au théâtre antique puisqu’elle reprend des personnages de la mythologie grecque (voir livre). L’Homme est livrée à un combat inégal contre la fatalité (dieu), contre son destin. Dans cette pièce c’est Vénus (déesse de la passion amoureuse) qui impose à Phèdre sa destinée tragique, elle se venge du Soleil qui l’a trahie

HESIODE VIIIe-VIIe siècle av J.-C. Poète grec qui occupe une place particulière dans la littérature grecque pour ses préceptes moraux et pour son éloge de la paix et du labeur. Le nom d'Hésiode est souvent associé à celui d'Homère, dont il avait été le contemporain. Les deux poètes s'opposent dans leur art, car, si Homère est le chantre des guerriers et des héros, Hésiode chante la paix et les paysans. Hésiode est né à Ascra, en Béotie. Après la mort de son père il s'installa à Naupaktos

histoire, mais aussi comme une théorie, ou comme une morale, une métaphysique, une ontologie. Le mythe est « histoire fondamentale » car il fonde la pensée humaine, autrement dit il fonde l’humain. « L’homme ne s’arrache à l’animalité que grâce à la mythologie ». Nous pouvons préciser cette idée grâce au texte de Serge Boimare selon qui le mythe, propice à l’accès au symbolique, contient en lui les « questions premières » de l’Homme, celles qui « ont contribué à forger l’esprit humain ». Ce sont ces questions