Médium Saignant

(mi:l) médium menu (mènîou) napkin ordcr oven pan plate pour' rare (ouè:) recipc (ouècipi) set thé table side order amuse-bouches cuire au four boisson addition chef porcelaine haché débarrasser la table cuisinier / cuisiner couverts dessert coupé en dés plat parfum, arôme fourchette frites hôte, client portion couteau plat principal maître d'hôtel repas à point carte serviette de table commande / commander four casserole assiette verser saignant recette

sombres Indulgences : Mais ni Renan, ni le chat Murr N’ont vu les Bleus Thyrses immenses ! Toi, fais jouer dans nos torpeurs, Par les parfums les hystéries ; Exalte-nous vers les candeurs Plus candides que les Maries... Commerçant ! colon ! médium ! Ta Rime sourdra, rose ou blanche, Comme un rayon de sodium, Comme un caoutchouc qui s’épanche ! De tes noirs Poèmes, − Jongleur ! Blancs, verts, et rouges dioptriques, Que s’évadent d’étranges fleurs Et des papillons électriques ! Voilà 

graisse et de graillon On eut vingt potages dont trois couleurs d'urine Et le roi prit deux oeufs pochés dans du bouillon Puis les marmitons apportèrent les viandes Des rôtis de pensées mortes dans mon cerveau Mes beaux rêves mort-nés en tranches bien saignantes Et mes souvenirs faisandés en godiveaux Or ces pensées mortes depuis des millénaires Avaient le fade goût des grands mammouths gelés Les os ou songe-creux venaient des ossuaires En danse macabre aux plis de mon cervelet Et tous ces mets criaient

libération des pays africains. La prise en charge de ces différentes temporalités dans leurs œuvres permet aux écrivains francophones d’Afrique noire de confronter les personnages aux situations et aux convulsions inhérentes à leur époque. En tant que médium, le cinéma interpelle en effet tous les mécanismes d’interprétation et d’agissement de l’individu et couvre pour ainsi dire tous les aspects tant de la présence que de la conscience humaine. Soit donc un vaste champ qui sollicitera l’homme dans

un peu sur la montagne, Quelque chose du coeur enfantin et subtil, Bonté, respect! Car qu'est-ce qui nous accompagne, Et vraiment, quand la mort viendra, que reste-t-il? VI O vous, comme un qui boite au loin, Chagrins et Joies, Toi, coeur saignant d'hier qui flambes aujourd'hui, C'est vrai pourtant que c'est fini, que tout a fui De nos sens, aussi bien les ombres que les proies. Vieux bonheurs, vieux malheurs, comme une file d'oies Sur la route en poussière où tous les pieds ont lui,

où se lève la foule, La foule épouvantable avec des bruits de houle Hurlant comme une chienne, hurlant comme une mer, Avec ses bâtons forts et ses piques de fer, Ses tambours, ses grands cris de halles et de bouges, Tas sombre de haillons saignants de bonnets rouges; L'Homme, par la fenêtre ouverte, montre tout Au roi pâle, et suant qui chancelle debout, Malade à regarder cela! «C'est la crapule, Sire. Ça bave aux murs, ça monte, ça pullule: —Puisqu'ils ne mangent pas, Sire, ce sont

fourmille, où se lève la foule, La foule épouvantable avec des bruits de houle, Hurlant comme une chienne, hurlant comme une mer, Avec ses bâtons forts et ses piques de fer Ses tambours, ses grands cris de halles et de bouges, Tas sombre de haillons saignant de bonnets rouges : L'Homme, par la fenêtre ouverte, montre tout Au roi pâle et suant qui chancelle debout, Malade à regarder cela ! « C'est la Crapule, Sire. Ça bave aux murs, ça monte, ça pullule : - Puisqu'ils ne mangent pas, Sire, ce sont des

où se lève la foule, La foule épouvantable avec des bruits de houle, Hurlant comme une chienne, hurlant comme une mer, Avec ses bâtons forts et ses piques de fer, 18 Ses tambours, ses grands cris de halles et de bouges, Tas sombre de haillons saignant de bonnets rouges : L’Homme, par la fenêtre ouverte, montre tout Au roi pâle et suant qui chancelle debout, Malade à regarder cela ! « C’est la Crapule, Sire. Ça bave aux murs, ça monte, ça pullule : — Puisqu’ils ne mangent pas, Sire, ce sont des

fourmille, où se lève la foule, La foule épouvantable avec des bruits de houle, Hurlant comme une chienne, hurlant comme une mer, Avec ses bâtons forts et ses piques de fer, Ses tambours, ses grands cris de halles et de bouges, Tas sombre de haillons saignant de bonnets rouges : L'Homme, par la fenêtre ouverte, montre tout Au roi pâle et suant qui chancelle debout, Malade à regarder cela ! « C'est la Crapule, Sire. Ça bave aux murs, ça monte, ça pullule : - Puisqu'ils ne mangent pas, Sire, ce sont des

fourmille, où se lève la foule, La foule épouvantable avec des bruits de houle, Hurlant comme une chienne, hurlant comme une mer, Avec ses bâtons forts et ses piques de fer Ses tambours, ses grands cris de halles et de bouges, Tas sombre de haillons saignant de bonnets rouges : L'Homme, par la fenêtre ouverte, montre tout Au roi pâle et suant qui chancelle debout, Malade à regarder cela ! " C'est la Crapule, Sire. Ça bave aux murs, ça monte, ça pullule : - Puisqu'ils ne mangent pas, Sire, ce sont des