Médée Sénèque

dénouement de la Médée de Max Rouquette Q° : Comment Max Rouquette crée-t-il une nouvelle Médée ? Intro : 2500 ans après la version d'Euripide, Max Rouquette nous propose une nouvelle et énième version de la tragique Médée. Dans cet extrait nous assistons au dénouement de la pièce, lorsqu'un dialogue oppose Médée à Jason venu réclamer leurs enfants, ignorant leur mort. Nous pouvons nous demander comment le dramaturge du XXe siècle reprend un mythe de la Grèce antique et crée une nouvelle Médée. Nous verrons

Amante aujourd'hui me tienne lieu de Fille. 1. Chers : comptés et précieux 2. Profane : sacrilège 3. Instruit : informé 4. Ne découvrit un feu : ne rendît public un amour 5. Abusant : profitant avec excès 6. Je laissais : j’aurai laissé 7. Médée : illustre magicienne 8. Le venin : le poison 9. Expirer la mémoire : s’éteindre le souvenir 10. Je déteste : je maudis 11. Qu’il a trop métités : qu’il n’a que trop mérités 12. D’une injuste famille : celle des Pallantides, à laquelle appartient

signification du furor latin), est employé par la reine elle-même, notamment lors de son aveu à Hippolyte. (Les philosophes antiques, en particulier les stoïciens comme Sénèque, considéraient également les passions comme des maladies.) Phèdre compare d'ailleurs cet amour à un poison (vers 676). Le moyen qu'elle choisit pour mourir, "un poison que Médée apporta dans Athènes", revêt donc une grande importance symbolique : l'épée du héros, instrument de destruction des monstres, lui fut refusée, et c'est le venin

monstre marin. Phèdre avoue tout à Thésée et meurt après avoir avalé un poison amené par Médée. Oenone se suicide en se jetant dans la mer et Thésée apprend de Théramène la mort de son fils. Il décide alors d’exaucer ses volontés et il prend Aricie pour fille. Le contexte historique : Phèdre est une réécriture de la pièce d’Euripide : Hippolyte écrite en 428 av J.-C. Ce récit serra ensuite repris par Sénèque, Robert Garnier, Racine et d’autres. Racine était fils de procureur. Il poursuivait

littérature grecque a trois grands auteurs de tragédie : Eschyle, Sophocle et Euripide. Le théâtre romain ne semble pas avoir assez apprécié la tragédie pour que se développe une littérature tragique importante. Sénèque, cependant, a adapté en latin des tragédies grecques comme Phèdre ou Médée. La tragédie humaniste[modifier | modifier le code] La tragédie humaniste est un genre théâtral du Théâtre de la Renaissance. Elle consiste en une déploration passive d'une catastrophe. Le personnage est une

logiquement des données de la pièce. Ici, c’est bien le cas ; ce dénouement est en effet très vraisemblable psychologiquement, l’aveu de Phèdre correspondant bien au caractère dont elle a fait montre dans le reste de la pièce. Si, chez Euripide et Sénèque, Phèdre meurt avant d’avoir pu réhabiliter Hippolyte, voire en l’accusant, la Phèdre racinienne est nimbée d’une certaine grandeur qui rend vraisemblable sa volonté, au moment de mourir, de mourir en femme honnête. Dans le même temps, son amour non

véritable dramaturge français, Racine. Dans la littérature, l’histoire de Phèdre et d’Hippolyte est utilisée par plusieurs écrivains. Dans la période hellénique, Euripide a écrit une pièce de théâtre sur ces deux personnages. A l’époque romaine, Sénèque en a écrit une aussi et après Racine, Eugene O’Neil et Robinson Jeffers ont fait le même travail au XXe siècle. Ce mythe, à part sa forme de tragédie, se présente dans les folklores ou les contes de fée. Cependant parmi toutes ces versions de la réécriture

Commentaire composé Phèdre, acte V, scène 7 (et dernière) En faisant représenter Phèdre en 1677, Racine revient au récit mythologique qu’avaient déjà repris Euripide et Sénèque : l’épouse de Thésée, frappée par Vénus, se prend d’une passion aussi irrésistible que condamnable pour son beau-fils, Hippolyte. Chez Euripide, Hippolyte donnait son titre à la tragédie (Hippolyte porte-couronne), et Racine, dans un premier temps, intitula sa pièce Phèdre et Hippolyte ; mais c’est finalement Phèdre

Songe d'une nuit d'été, 1595-1596). Sénèque Cependant, tandis que moralités et interludes s'acheminaient peu à peu vers une expression dramatique à la fois plus proche de la vie et plus complexe, une influence capitale vint stimuler le développement du théâtre élisabéthain, dont la forme et l'esprit furent tributaires, dès le milieu du XVIe siècle et jusqu'à son extinction, de l'œuvre dramatique de Sénèque. C'est, en effet, le théâtre de Sénèque, et non celui de ses illustres modèles

Plan du Commentaire I] Souhait de Médée a) Utilisation de l'Anaphore b) Utilisation de la Gradation II] Dialogue entre le Garde et la Nourrice a) Utilisation de l'énumération à travers la tirade de la Nourrice b) Utilisation de l'Hyperbole de façon désagréable employée par le Garde Exemples pour chaque Sous-Parties I] a) mon frère, mon père (ligne 9) ton petit frère et ta femme (ligne 15) Regarde-moi avant de rester seul dans ce monde déraisonnable, regarde-moi bien, Jason