Méthode Du Réquisitoire

la mesure où la concession permet d’entrer  dans le raisonnement de l’adversaire pour mieux le dépasser. -       Un réquisitoire : discours prononcé pour accuser -       Un plaidoyer : discours visant à défendre -       Implicite = ce qui est sous-entendu, présupposé -       L’ironie : du grec « eironeia » qui signifie « interrogation ». Le terme doit son sens précis à la méthode de Socrate qui feignait l’ignorance pour faire ressortir l’ignorance réelle de son interlocuteur. C’est une manipulation

consistant à dire le contraire de ce qu’on veut faire entendre (procédés : décalage, oxymore, antiphrase, exagération). litote : figure de rhétorique consistant à dire moins pour faire entendre plus (ex : Va, je ne te hais point.) maïeutique : méthode dialectique dont Socrate usait pour « accoucher » les esprits, c’est-à-dire pour amener ses interlocuteurs à découvrir les vérités qu’ils portaient en eux sans le savoir. manichéisme : toute conception morale, toute doctrine qui oppose le principe

jugement le plus inique sur les indices les plus trompeurs" et "Le motif de l'arrêt était aussi inconcevable que tout le reste" en effet, le jugement s’est exercé sans preuves, sans avocat, sans secret de l’instruction et sur la base de rumeurs avec des méthodes d’inquisition. Il finit par être convaincu de l’innocence de Jean Calas par Pierre et forme un groupe de pression avec ses amis (composé entre autre de pasteurs, de négociants, de banquiers ou d'avocat) et décide d'utiliser son ironie pour prouver

écrit ou discours d’une éloquence violente et injurieuse ; v. réquisitoire, charge. Critique : qui lance une attaque, on dit aussi polémique. Quand le texte est très violemment agressif, on parle de pamphlet. Dérision : Tourner quelqu'un ou quelque chose en ridicule ; moquerie comique que l'on confond souvent avec l'ironie. Didactique : texte qui se donne pour but d’enseigner, de façon agréable. Insistance sur la méthode. Dithyrambe : Louange enthousiaste et exagérée ; v. flatterie

du roman de Maupassant. SEANCE N° 7 : LES RAISONS D UN SCANDALE (1 heure) Objectifs : - revenir sur le problème de la réception d’une °uvre littéraire - étudier les circonstances du procès de Mme Bovary Textes d’étude : le réquisitoire d’Ernest Pinard Prolongement : débat d’idées…La polémique autour de Madame Bovary vous paraît-elle encore d’actualité ? Qu’apprend-on sur les m°urs de l’époque d’après cette polémique ? SEANCE N°8: PRESENTATION DES EXPOSES (2 heures) Objectifs

associant convaincre et persuader et raisonnant rigoureusement. Montaigne expose que le savoir n’existe que dans la rencontre de 2 discours PROBLEMATIQUE : En quoi la démarche argumentative permet-elle d'imposer sa vision de l'éducation au lecteur ? La méthode de Montaigne ne se construit-elle pas autant par une réflexion sur de nouveaux objectifs d’éducation que par une critique de la pédagogie traditionnelle ? I) Une réflexion sur les objectifs de l’éducation A) Les qualités d’un bon précepteur 1. Disponibilité

raillerie consistant à dire le contraire de ce qu’on veut faire entendre (procédés : décalage, oxymore, antiphrase, exagération) litote : figure de rhétorique consistant à dire moins pour faire entendre plus (ex : Va, je ne te hais point.) maïeutique : méthode dialectique dont Socrate usait pour « accoucher » les esprits, c’est-à-dire pour amener ses interlocuteurs à découvrir les vérités qu’ils portaient en eux sans le savoir manichéisme : toute conception morale, toute doctrine qui oppose le principe

magnifiques comme il l’indique dans son deuxième paragraphe. Il dénonce aussi la violence de cette colonisation à travers les expressions « villes rasées ; nations exterminées » tout ca pour « la négociation des perles et du poivre ». Il fait un réquisitoire. Montesquieu quant à lui fait une argumentation ironique pro-esclavagiste sous la forme d’une hypothèse : « Si j’avais à soutenir le droit.. » où il dénonce la mauvaise foi des esclavagistes, le détournement de la religion pour arriver à ses

Gurson. Il prolonge une réflexion entamée dans le chapitre précédent (I, 25, « Du pédantisme ») et est un véritable traité d’éducation. Montaigne y expose ses idées pédagogiques. Celles-ci concernent l’éducation des garçons d’origine noble : les méthodes pratiquées dans les collèges étaient livresques, trop savantes pour leur convenir – Montaigne lui-même en avait gardé de cuisants souvenirs. Mais les préoccupations de Montaigne débordent ce cadre socialement limité et écartent toute attitude doctrinaire

l’embauche. Il veut en particulier « sonner l’alarme des pouvoirs publics et des professionnels des RH, ANDRH en tête », sur des pratiques comme l’usage de la graphologie – honorée d’une norme Afnor du recrutement –, la certification de coachs aux méthodes ésotériques, le piston, toujours présent, mais mieux considéré aujourd’hui sous les apparences modernes de l’effet réseau. Est ainsi passée au crible une série d’aberrations qui gangrènent le monde du travail, faisant des entreprises des lieux de