Nambikwara

rencontrions dans les chemins se rangeaient à côté pour nous laisser passer » (ligne 14-15). Cette notion de respect ressort aussi dans l’étude de Claude Levy-Strauss racontant son expérience vécue auprès d’un peuple du sud-ouest du Brésil, les Nambikwara « On devine chez tous une immense gentillesse … de la tendresse humaine » (ligne 13 à 15). Gauguin peint un tableau qui reflète cette notion d’hospitalité, on ressent une certaine sérénité contrairement à la couverture du livre The Giant Book

considéré comme le plus grand anthropologue de son temps et l’un des fondateurs du structuralisme français. Philosophe de formation, il est devenu ethnologue au Brésil, not. dans le Mato Grosso et en Amazonie où il étudia les Indiens Caduveo, Bororo, Nambikwara et Tupi-Kawahib. Plus tard, sa thèse vit le jour à New York, où il fut obligé de s’exiler sous la menace Nazie. Elle fut soutenue à Paris en 1949. La pensée de CLS se révèle dans Les structures élémentaires de la parenté : les structures inconscientes

partie « Nambikwara » dont nous allons parler ici, afin de retracer la vie et l’organisation sociale de cette tribu, que Claude Lévi-Strauss, ici ethnologue au sens propre du terme, transmet au lecteur. Ce dernier effectua une expédition à Cuiaba, dans le Brésil Central dans le but de rechercher des représentants des peuples colonisateurs de celui-ci. Et c’est lors de cette expédition que Claude Lévi-Strauss s’est intéressé à une région au sein de laquelle se trouvaient les Nambikwara, peuple

rencontres avec plusieurs tribus indiennes d’Amazonie. Les comparaisons qu’il établit entre ces peuples et la société occidentale ont mené le grand public à l’ethnographie. Texte dans l’œuvre : Extrait de la 7ème partie du livre consacré à la tribu Nambikwara. Thème : L’auteur décrit un campement nocturne dans la savane. Il analyse le comportement de la tribu dans son rapport au milieu. Thèse : Lévi-Strauss insiste sur le contraste entre l’environnement naturel hostile et l’attitude solidaire, la simplicité

l’hospitalité qu’ont les Tahitien envers les européens qui étaient sur l’île. Le texte 4 est un extrait du livre Tristes Tropiques écrit en 1995 par l’ethnologue Claude Lévi-Strauss. Ce texte parle d’un moment d’humanité qu’a pris un visiteur chez un peuple Nambikwara se situant au sud-ouest du Brésil. La première image du document 5 est un tableau s’intitulant Les seins aux fleurs rouges peint par Gaugin en 1899, qui représente une femme avec les seins nus portant des pétales de fleurs rouge. La deuxième image

Relations hommes/femme chez les Bororos Mon article aujourd'hui serra consacré sur les relations hommes/femmes chez les Bororo et les Nambikwara et ce que nous apprend l'ethnologie. L'ethnologie et avant tout une étude sur les culture et les différente ethnie. Pour commencer, les hommes et les femmes sont très différent. En effet concernant la description physique, les hommes Bororos sont très grand, très bien battis et ont une carrure d’athlète alors que les femme son plus petite en général.

célébré le 28 novembre 2008. Il enseigna au Brésil où il organise et dirige plusieurs missions ethnographiques dans le Mato Grosso. Au cours d’une d’entre elles, il fait la rencontre des Nambikwara qu’il étudie en 1939 et dont il fait le sujet de sa thèse complémentaire, La vie familiale et sociale des Indiens Nambikwara. Il fut un des théoriciens du structuralisme. Professeur honoraire au Collège de France, Claude Lévi-Strauss reçût de nombreux prix et distinctions et est devenu l’un des ethnologues

l’Islam. Il mêle souvenirs de voyage et méditations philosophiques. L'ouvrage comprend neuf parties : 1. La fin des voyages 2. Feuilles de route 3. Le nouveau Monde 4. La terre et les hommes 5. Caduveo 6. Bororo 7. Nambikwara 8. Tupi-Kawahib 9. Le retour Idée d’intro, de plans… Tristes Tropiques a été rédigé entre octobre 1954 et mars 1955. Ce livre nous raconte le récit des voyages de Lévi-Strauss à l’intérieur du Brésil, ses rencontres avec des tribus

 Claude Lévi-Strauss TRISTES TROPIQUES (1955) NAMBIKWARA […] On se doute que les Nambikwara ne savent pas écrire ; mais ils ne dessinent pas davantage, à l’exception de quelques pointillés ou zigzags sur leurs calebasses. Comme chez les Caduveo, je distribuai pourtant des feuilles de papier et des crayons dont ils ne firent rien au début ; puis un jour je les vis tous occupés à tracer sur le papier des lignes hori­zontales ondulées. Que voulaient-ils donc faire ? Je dus me rendre à l’évidence :

-Ce sont surtout leurs qualités de cœur qui frappent les observateurs. Il y a chez eux une « bonté », une « libéralité » (générosité), une « franchise » qui en a fait la victime facile de nos « ruses » (Montaigne). Lévi-Strauss retrouve chez les Nambikwara cette « immense gentillesse ». Ce sont des peuples gais, insouciants (Lévi-Strauss), qui aiment « rire » (Léry). Ils ont une forme d’innocence naturelle. Ils sont proches de la nature et lui font confiance car elle les « a nourris » et « les nourrira »