Nana Figures

Montserrat, ROBLES - III, 2 -"soldat de dieu" - 1948 1- Quelle figure de style de l’opposition est présente dans la tirade de Salcedo ? Justifiez sa présence. 2- Quel est le ton (registre) utilisé par le père Coronil ? 3- Comment réagit ce dernier aux accusations de Salcedo ? ? 4- Quelle est la particularité du syllogisme utilisé par le p. Coronil et repéré par Izquizerdo ? Poussière : « tu es poussière et tu retourneras en poussière » célèbre phrase biblique Miséricorde : bonté, générosité

comme un tableau impressionniste. _ La province, place incontestable mais le véritable théâtre de l’œuvre de l’auteur reste Paris (personnification de Paris). * Chaos gigantesque + intensité du rêve + mysticisme (religion) * Abondance de figures de style * Balzac, inventeur du roman moderne. Il inspire les auteurs contemporains tels que Flaubert dans l’Education Sentimentale. * Films basés sur les œuvres de Balzac cf. sur le style du narrateur et descriptions minutieuses.

La conception de la poésie que Cocteau refuse est celle d’un art nécessairement associé à l’Idéal, à la recherche d’une beauté inaccessible. Cette conception, héritée de l’Antiquité et revisitée par les poètes de la Pléiade, est évoquée ironiquement dans la première phrase sous la forme d’une allégorie, « une dame voilée, langoureuse… », renvoyant à la muse inspiratrice. Reprise au début du troisième paragraphe, plus explicitement cette fois, elle vise par le terme de « mauvais poètes ».

Le livre permet aux lecteurs de comprendre l’art de la littérature. En effet, la manière dont l’auteur a écrit ce livre est strictement et tout simplement parfait. L’histoire écrite est bien structurée, sa composition au niveau des rimes et des figures de style est très complète. Les vers sont magnifiques et touchent directement le cœur du lecteur. A l’exemple de l’acte I, scène IV, la manière dont Cyrano interrompt Monfleury est spirituel, lyrique et hilarant ce qui entraine le lecteur dans la

Poésie d’un éloge Eh ! Ma douce mignonne mon très cher lecteur ! La poésie n’est pas qu’un truc qu’on sait par cœur ! Oui, petits on doit l’apprendre et la réciter Grossière erreur de ne pouvoir l’expliquer Et pourtant, la beauté d’un poème nous vient De son sens intérieur, de ce qui est son lien En esprit étroit, fermé, ou encore ouvert La poésie à chacun peut plaire ou déplaire Anaphore, métaphore et autre oxymore Parlent à votre inconscient de vie et de mort Ou encore de

valeur de grandes actions de l’héroïsme. | La caractéristique principale : tous ce qui tant à amplifié les individus et les choses.Lexique laudatif (qui fait l’éloge) :Champ lexical du courage, de la force, de la beauté, de l’intelligence …Nombreuses figures de style : hyperboles, personnifications, énumération, superlatif.Autres indices : souvent intervention du surnaturel, les personnages sont souvent stéréotypé et sans véritable profondeur psychologique.Le point de vue est omniscient.Il y a de nombreux

discours d’un groupe correspondant ‘a une étape historique déterminée. Ce sont ces deux données qui décrivent et expliquent l’évolution lexicale d’une langue, la création des mots nouveaux ou des sens nouveaux donnés à des mots. La métaphore est une figure de style qui a souvent été décrite comme une comparaison sans outil de comparaison. Mais c’est une erreur. La comparaison établit un rapport rationnel entre deux ensembles sémantiques qu’elle laisse intacts, mais la métaphore induit une correspondance

paradoxe rends le texte plus fort, plus marquant, plus percutant. (Un paradoxe désigne une idée ou une proposition à première vue surprenante ou choquante, c'est-à-dire allant contre le sens commun. En ce sens, le paradoxe désigne également une figure de style consistant à formuler, au sein d'un discours, une expression, généralement antithétique, qui va à l'encontre du sens commun.)

Cet éloge place la scène dans un registre comique, et est lui-même comique à plus d’un titre. Il débute avec une référence à la philosophie antique totalement absurde et farfelue, car ce n’est pas un sujet digne de l’intérêt d’un philosophe, d’autant que le tabac n’y était pas consommé. Il s’agit donc pour Sganarelle de se donner un air savant et érudit alors même qu’il invente ses références et trahit par là son manque de culture. Il continue à donner une patine savante à son discours en prenant

combat. L'énumération des instruments de musique donne l'impression d'assister à un concert plutôt qu'à une guerre. L'expression “ six mille hommes de chaque côté ” souligne la symétrie dont fait preuve cette parade militaire. Cette syntaxe, ces figures de styles et ce rapprochement entre un défilé militaire et la bataille révèlent une parodie du registre épique. Mais Voltaire nous fait brusquement revenir à la réalité. Le fabuleux spectacle tourne au désastre. Le mot “ canons ” placé à la suite