Nappe phréatique

couverte en majorité d'eau, l'eau douce n'en représente qu'une petite partie : 97% est de l'eau salée. 2% est à l'état solide, sous forme de glace. 1% de l'eau de la planète est donc de l'eau douce accessible aux hommes. On la trouve dans les nappes phréatiques, les lacs et les cours d'eaux, et les précipitations. Essentielle pour la vie humaine, cette ressource rare est renouvelable : le cycle de l'eau permet de maintenir le même niveau d'eau sur la Terre. Toutefois, les nappes fossiles, situées en grandes

date l'adduction des eaux de Brédéah jusque là de bonne qualité avec un débit voisin de 80 l/s. Les sources de Brédéah se sont ainsi transformées en station de pompage avec des débits allant progressivement jusqu'à 350 l/s. Ces pompages rabattant la nappe jusqu'à plus de 7 m ont provoqué une invasion d'eaux salées. Le résidu sec des eaux pompées augmente sans cesse avec l'intensité et la fréquence de ces pompages; il est passé de 0,76 g/l en 1888 à 5 à7 g/l actuellement selon les analyse de la station

litres d’eau pour remplir ses bouteilles Accusations  * Pomper une quantité énorme d’eau potable pour la production des bouteilles de coca (même dans les zones très arides comme le Rajasthan) => assécher les nappes phréatiques * Contaminer les nappes phréatiques : pollution (les eaux polluées dans la nature (présence de métaux toxiques, taux anormal de plomb et cadmium...) * l’usine de mise en bouteilles «Hindustan Coca-Cola Beverages» située dans la ville de Palakkad a pollué l'eau

douce est une ressource à ménager car elle est très rare et ne représente que 3 % de l’eau existante sur la terre. L’eau douce provient des glaciers, des précipitations d’eau de pluies qui vont alimenter les rivières, les fleuves et les nappes phréatiques en eau renouvelable, ainsi que les nappes fossiles en grande profondeur qui ne sont pas alimentées régulièrement. Cette eau est inégalement répartie sur la surface de la terre : 15 pays, contrôlent l’eau disponible sur la planète dont la Russie

sur une longueur de quelques six kilomètres. La profondeur du lac se situe entre 0,5 mètres et 2,5mètres. Cette profondeur varie selon les saisons et en fonction de la pluviométrie. Le lac de Sidi Boughaba est alimenté essentiellement par une nappe phréatique qui est la dernière étendue d’eau douce de la côte nord-ouest. Nous avons pu admirer les différentes espèces d’oiseaux avec des télescopes. L’après-midi, nous avons fait une étude des microorganismes qui vivent dans une petite mare dans le

construire plusieurs grands barrages comme Hoover Dam ou Davis Dam pour maîtriser la fureur des eaux de ce fleuve. * Des aménagements colossaux ont été réalisés pour permettre l’exploitation des ressources en eau  * Pompage dans les nappes  phréatiques  * Réduction du débit du  fleuve par des prélèvements massifs  * Salinisation des eaux  par l’évaporation des terres irriguées, * nécessitant la création  d’un égout de désalinisation  * canaux  2) Des paysages construits

périodes durant lesquelles les précipitations sont anormalement faibles ou insuffisantes pour maintenir l'humidité du sol et l'hygrométrie normale de l'air. - il peut être aggravé ou expliqué par des pompages, une baisse du niveau de la nappe phréatique, l'érosion et la dégradation des sols ( l'humus favorise la rétention de l'eau, la coupe à blanc de zones forestières dans la région de l'Amazonie, par exemple, entraîne rapidement la perte de cet humus essentiel à la rétention de l'eau et cause

énormément (environ 60 % de ce qui est utilisé pour l’irrigation). C’est pour cette raison que l’amélioration des pratiques et des techniques agricoles fait partie des moyens d’économiser l’eau. Plus de 2 milliards de personnes dépendent des nappes phréatiques pour leur accès à l’eau potable et 1000 km3 d’eau sont pompés chaque année dans les nappes dans le monde, ce qui représente 26 % du total des prélèvements. Ces chiffres laissent imaginer à quel point la maitrise de la pollution et du niveau des

perturbation plus ou moins importante de l'écosystème[3]. Selon le polluant et le contexte, ses impacts seront * directs ou indirects ; * immédiats ou différés ; * sur la santé [4] humaine ou animale, dont via l'eau en touchant des nappes phréatiques ou via l'alimentation (en contaminant par bioaccumulation les cultures poussant sur ces sols d'autre part, ou via une pollution secondaire de l'air (émanations gazeuses toxiques, aérosols toxiques emportés par le vent lors de processus de sécheresse

d’appui, remplacées par des politiques d’ajustement structurel, ce qui signifiait une baisse des crédits. D’un point de vue environnemental, la situation était critique avec de nombreuses catastrophes écologiques : baisse de 60 m du niveau de la nappe phréatique du Gange, salinisation du sol, eaux chargées en métaux lourds, pollution par les engrais. Les analyses montraient que nous courrions à une catastrophe environnementale. La solution était d’augmenter les rendements en respectant l’environnement