Narine

étendu dans l'herbe, sous la nue,Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant commeSourirait un enfant malade, il fait un somme :Nature, berce-le chaudement : il a froid.Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. ConneriesIJeune goinfre CasquetteDe moire,QuéquetteD'ivoire, ToiletteTrès noire,Paul guetteL'armoire, ProjetteLanguetteSur

pour quelques centaines d'espèces: la perception des modifications du champ électrique. Leurs organes sensoriels sont les yeux pour la vue, les oreilles internes et la ligne latérale pour l'audition, les bourgeons en tonnelets pour le goûts, les narines et leurs sacs olfactifs pour l'odorat, la peau pour le toucher et les électrorécepteurs de la peau de certains poissons pour le sens électrique( production d'électricité pour s'orienter, localiser des proies et communiquer). C'est pourquoi on peut

poils longs qui la rendent douce, soyeuse et brillante. Ses yeux sont munis d'une double paupière transparente qui se referme lorsqu'il plonge sous l'eau. Il peut ainsi poursuivre ses activités normalement. Son gros museau court est muni de deux narines qui se referment sous l'eau pour empêcher l'eau d'entrer. Ce qui caractérise sans doute le plus le castor, ce sont ses quatre longues incisives brillantes de 2,5cm de longueur, recouvertes d'un émail orange très dur sur le devant et blanc à l'arrière

superficiel Fonction annexes: Poils: Protéction contre le froid et pression mécaniques Cheveux: Protéction contre le soleil et les traumatismes Cils: Protéction contre la les corps étrangers Sourcils: Protection contre la sueur qui s'écoule Poils narines/oreille: Prévient la pénétration d'inscte et de poussière. Glandes sébacées: Sébum protège du desséchement Souplesse de la peau évite perte d'eau Epêche le développement des bactéries Glandes sudoripares: Régulation thermiques élimination de produits

baignés, Laissant pencher parfois leur tête encor naïve, L'un déjà curieux, l'autre déjà pensive! Seul et triste au milieu des chants des matelots, Le soir, sous la falaise, à cette heure où les flots, S'ouvrant et se fermant comme autant de narines, Mêlent au vent des cieux mille haleines marines, Où l'on entend dans l'air d'ineffables échos Qui viennent de la terre ou qui viennent des eaux, Ainsi je songe! - à vous, enfants, maisons, famille, A la table qui rit, au foyer qui pétille,

sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. 8 Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le chaudement: il a froid. 11 Les parfums ne font pas frissonner sa narine, Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. 14 Arthur RIMBAUD1 1. La dimension énonciative et communicative du poème de Rimbaud. 1.1. La voix et le regard du sujet énonciateur et la visée

« follement » v.2. Le cadre est lumineux, avec un champ lexical de la lumière avec : « argent » v.3, soleil » v.3,  «  luit » v.3, ou encore « lumière » au v.8. C'est aussi un cadre parfumé, avec l'expression « les parfums ne font pas frisonner sa narine » v. 12. Rimbaud place donc le jeune homme au milieu d'une nature accueillante gaie pour mieux mettre en valeur la mort et mieux surprendre le lecteur. d) Un cadre en sympathie avec l'homme : C'est un endroit qui à des dimensions réduites, comme

tissus, répéter le mouvement 3fois. En utilisant le bout des doigts, dessiner 3 diagonales en spirales sur la joue. La première sur l’ovale du visage, la deuxième du coin de la bouche aux oreilles et la troisième des narines aux tempes. Repositionnez vos doigts au niveau des narines puis effectuez de légers mouvements circulaires sur le sillon naso gènien par des mouvements descendants. Remontez aux tempes sens perdre le contact puis massez légèrement ces dernières. Dessinez des spirales en partant

récit est teinté d’humour et de théâtralité : · voir les mouvements / gestuelle / mimique de l’ours, explicitement évoquée dans une sorte de didascalie interne (« boucha sa narine » v. 16, « cette mine » v. 17, « sa grimace » v. 18)· voir le décalage burlesque[footnoteRef:2] entre le geste trivial de l’ours (« l’ours boucha sa narine » v. 16) et la référence noble (mythologique) à Pluton (= euphémisme pour évoquer la mort, v. 19) [2: Le burlesque est une forme de comique qui provient du contraste entre

soleil luit 5. Certains détails créent une impression de trouble, de malaise: Pâle dans son lit vert il dort, souriant comme sourirait un enfant malade Nature, berce-le chaudement: il a froid! Les parfums ne font pas frissonner sa narine Il a deux trous rouges au côté droit. 6. Ce poème est construit sur une opposition. Dans un décor qui respire la beauté, la fraîcheur, le bonheur, dans un cadre presque paradisiaque, apparaît le scandale absurde de la guerre et de la