Nationalisme Au Moyen Orient

révolution de 1789 puisait sa source idéologique dans les pensées anticléricales des célèbres franc-maçons de l'époque. En outre, cet aspect n'est pas caché par les professeurs d'Histoire qui ne se lassent d'expliquer les influences dogmatiques du Grand Orient et de la Grande Loge unie d'Angleterre sur les élites parisiennes du Tiers-Etat. Le conspirationnisme se distingue de la « très sérieuse » doctrine originelle du complot, en ce qu'il considère tout événement dont les faits ne sont clairement établis

Plan : I) La crise de 1929, l'élément déclencheur a) Des signes avant coureurs b) Propagation de la crise II) Les conséquences de la crise a) Instabilité politique b) Le besoin d'un État fort c) Les nouvelles tendances sociales II) Les moyens mis en œuvre pour pallier la crise a) Vers de nouveaux gouvernements... b)... Et de nouvelles réformes économiques Introduction : Le président des États-Unis, Herbert Hoover, en assumant sa position de président des Etats-Unis, déclare en

en guerre (depuis 1939) Dans la seconde moitié du XXe siècle, le bilan des multiples guerres et conflits qui se succèdent dans le monde n’équivaut pas à celui, terrible, de la Seconde Guerre mondiale, guerre d’anéantissement pendant laquelle les moyens industriels, techniques et scientifiques les plus perfectionnés ont été mobilisés pour réaliser une mort de masse : Auschwitz et Hiroshima sont les noms emblématiques de cette capacité inédite de destruction. En 1945, renaît l’espoir d’un ordre mondial

est chez les Chiites plus souple, elle s’adapte Place particulière accordée : au martyre, aux pèlerinages aux tombeaux des imams. L’islam chiite, le plus souvent minoritaire dans l’histoire, est plus politique et contestataire. Le nationalisme arabe Introduction : cohabitation de mouvements laïques et religieux La Renaissance culturelle : al-Nahda Au début du XXe siècle : lutte contre l’Empire ottoman et le colonialisme Les luttes pour l’indépendance Son incarnation : Gamal Abd

LA FRANCE ET LA MONDIALISATION Notre pays a toujours été un grand acteur des mondialisations. Hier grande puissance, de nos jours puissance moyenne, il est désormais saisi par le doute voire l’idée d’inéluctable déclin. Pourtant la mondialisation ne tue pas la nation mais elle réclame adaptation et imagination. LA FRANCE DANS LE MONDE AUJOURD’HUI Ouverte sur le monde mais se percevant comme « terrienne », fille aînée de l’Église mais résolument laïque, la France se présente comme la patrie de

secrétaire général viendra largement récompenser cette volonté de « rénover les Nations unies ». De manière également réussie mais peut-être plus originale, K. Annan encouragera une forme de réflexion stratégique afin d'aider les États à définir les moyens d'adapter et de transformer les capacités de l'Organisation et à prendre les décisions conséquentes. Trois rapports, confiés à des groupes de personnalités, ont marqué cet effort de planification stratégique. En premier lieu, le rapport du Groupe

traduit par le chômage dans les campagnes et les entassements dans les villes. - l’émergence d’une bourgeoisie et d’une élite indigène attaquée à l’européenne mais consciente du décalage entre la réalité et la théorie, favorise la montée du nationalisme qui s’incarne dans des zones comme Ghandi, Gour guida (Tunisie) et HO Chi Minh (Vietnam). Dans les mouvements d’indépendance, plusieurs projets sont sous-entendus : - projet communiste - projet libéral - projet s’appuyant

ses fondateurs figure Mao Zedong. En 1923, Sun Yat-sen recourt à l’aide soviétique pour réorganiser le Guomindang désagrégé et militairement faible, et accepte, en échange, d’y admettre les communistes chinois. Les « Trois Principes du Peuple » (nationalisme, démocratie et socialisme), qui constituent l’idéologie du Guomindang, sont fortement empreints d’anti-impérialisme et du désir d’unification nationale. Malgré la mort de Sun Yat-sen en 1925, le Guomindang régénéré, sous le commandement du jeune

fronts. En Amérique centrale, le régime communiste est instauré au Nicaragua en renversant le dictateur pro-américain Somoza. L’Afrique est le continent où les communistes s’implantent le plus (ex : Angola, Ethiopie, Mozambique, Madagascar…). Au Moyen-Orient, le Shah est renversé par une révolution islamique mené par Khomeiny et soutenu par les russes en 1979. En Afghanistan l’URSS intervient pour soutenir les communistes mais les populations ne se sont pas laissé faire : les russes s’enlisent dans

juillet 1972. Il favorise la fusion avec la Libye et la Syrie dans une éphémère Union des Républiques arabes mais rapidement, les difficultés se développent. En Libye par un coup d’Etat le 1er sept 1969, le colonel Kadhafi prend le pouvoir. Le Proche-Orient La région est très riche (pétrole) et constitue un important passage stratégique ce qui suscite l’intérêt des Grands. Les Arabes sont unis par la religion mais il existe de puissants facteurs de division : possession fort variable de pétrole, d’eau