Nationalisme Au Moyen Orient

de rebondissements : .................................47 Les enjeux de la crise ..................................................................................................................….49 La dynamique de prolifération nucléaire au Moyen-Orient : .........................................................50 L’impact sur les équilibres stratégiques dans le Golfe ....................................................................51 Conclusion……………………………………………………………………………………………………………………………………

classes exploiteuses • L’intégrisme juif : quand les politiciens laics font le lit des religieux o Des capitulations qui tirent toute la société en arrière • L’islamisme : une tradition politique réactionnaire o Pour les peuples du Maghreb et du Moyen-Orient, des siècles d’histoire commune o L’islamisme et la création de l’Arabie Saoudite o Luttes d’émancipation coloniale : les laics et « modernistes » sur le devant de la scène o L’unité arabe : espoir des peuples et faillite des dirigeants o Le

E.U. et MOYEN-ORIENT LA SPECIFICITE DE L'ETAT D'ISRAËL Sommaire Partie I : Les Etats-Unis et le Tiers monde La stratégie des moyens La lutte contre la prolifération des armes de destruction massive L'intervention par un pays tiers Partie II : Les Etats-Unis et le monde arabe Etats-Unis et Etats arabes Etats-Unis et Islamisme Etats-Unis et Irak Partie III : Les Etats-Unis et Israël La politique américaine après 1967 La chute de l'URSS et Israël Les

S’interroger sur le sens de l’espace au Proche-Orient revient à s’interroger sur de multiples définitions données par des acteurs différents dans une région fortement marquée par des empreintes géo-historiques qui se croisent, se superposent, se confrontent, et qui ont été parfois amenées à cohabiter. Le sens de l’espace est aujourd’hui encore le fruit de nombreuses interprétations, essentiellement parce que certaines frontières ne sont par reconnues de manière multilatérale. Cela pose ainsi le problème

qui, aujourd’hui encore, perdure ? Un premier axe sera consacré au désir d’unité du peuple juif, un second à l’accumulation des tensions, de la création de l’Etat hébreu, à l’élargissement d’Israël en 1967, et enfin un troisième abordera le Proche Orient de 1973 à nos jours, témoin d’une paix impossible entre les populations… I. Le désir d’unité du peuple juif 1) La création d’Un Etat Hébreu ; un désir ancien a) La destruction du royaume juif dans l’Antiquité. Suite à

écoles laïques. Voir l’échec du gouvernement fédéral dans cette politique néfaste, les Autochtones ont commencé à se lever contre ses nouvelles règles pour demander l’autonomie en matière de l’éducation. Pour y arriver, les missionnaires se sont orientés par la méthode d’assimilation à la ségrégation en passant par les habiletés rurales. C’est à la suite de cette assimilation qu’il retournait les jeunes adultes dans leur communauté. C’est alors que les pensionnats ont vu le jour. Leur première mission

le PACOM est un édifice imposant mais souple, et ses chefs comprennent ce que beaucoup dans les mondes médiatiques et politiques ne savent pas : le centre de gravité des priorités stratégiques américaines est situé dans le Pacifique, et non au Moyen-Orient. Seule une approche pragmatique nous permettra de faire face à l'inévitable retour de la Chine en tant que grande puissance, sous peine de voir la Terre du XXIe siècle se muer en un vaste champ de bataille. Chaque fois que des grandes puissances

certains pays ont eu une part de responsabilité dans son fonctionnement. On se demandera enfin si des idéologies, des pays, des hommes, auraient pu empêcher la guerre d'éclater. I La montée du nationalisme a préparé les opinions à l'idée d'une guerre inéluctable Le 19è siècle voit la montée d’un nationalisme d’exclusion, fondé sur l’idée de la supériorité de sa nation sur les autres, et non plus sur l’amour de la patrie. Ce sentiment touche tous les pays européen et est porté par le développement

convergeant avec celle de la fin des années 20 (crise de 1929). Ces mêmes avis voient leur thèse étayée par la forte montée de ce qui est aujourd’hui appelé à tort le fascisme européen, lequel mouvement politique serait plus justement défini par un nationalisme extrême. Cette montée se traduit concrètement- c’est à dire de façon élective- en Europe de l’Est ou encore en Italie, et se manifeste indifféremment par des groupuscules violents au pouvoir politique limité mais à l’impact réel sur les mœurs de

et qu’il est interdit de critiquer ; - un parti de masse, seul autorisé et dirigé par un chef charismatique ; - l’exercice de la terreur à l’égard des récalcitrants et des réfractaires ; - l’usage d’une propagande intensive, grâce au monopole des moyens de communication et des modes d’expression artistiques ; - le contrôle par l’État de la vie sociale et de l’économie. ● Un régime totalitaire ne doit donc pas être confondu avec une « simple » dictature ou un régime autoritaire. Une dictature impose